
Camille de Polignac à la bataille de Mansfield le 8 avril 1864
Camille Armand Jules Marie de Polignac, né le 16 février 1832 en France et décédé le 15 novembre 1913 à Paris, représente un personnage unique dans l’histoire militaire et aristocratique française. Issu d’une prestigieuse lignée liée à la noblesse française, il s’impose dans des cercles militaires qui s’étendent bien au-delà des frontières de l’Hexagone, notamment grâce à son engagement dans l’armée des États confédérés lors de la guerre de Sécession, où il gagne le titre singulier de « La Fayette du Sud. »
Lire la suite : « Camille de Polignac, le dernier général français de la Confédération »

Dans l’imaginaire européen, peu de traditions ont conservé une telle puissance évocatrice que celles issues du monde celtique. Au croisement du sacré, du merveilleux et de l’inquiétante étrangeté, la Banshee occupe une place singulière : messagère nocturne, figure féminine à la fois redoutée et respectée, elle traverse les siècles comme l’un des symboles les plus tenaces de la culture irlandaise.
Pour comprendre cette présence persistante, nous avons rencontré Frédéric Kurzawa, théologien catholique, fin connaisseur de l’Irlande et membre de plusieurs sociétés savantes dédiées aux études celtiques. À travers son ouvrage consacré à la Banshee (Yoran Embanner) et à l’ensemble des figures féminines féeriques du monde irlandais, il explore ce patrimoine immatériel où se mêlent mythologie, religion, littérature populaire et mémoire rurale.
Son travail met en lumière un univers où les femmes surnaturelles ne sont pas de simples silhouettes légendaires, mais des actrices centrales d’un imaginaire façonné par la mort, l’avertissement, la protection ou la transgression. Un imaginaire encore vivant, transmis de génération en génération, et qui continue de fasciner bien au-delà des frontières de l’Irlande.
Une plongée rare dans ce que l’Europe a produit de plus ancien, de plus mystérieux et de plus enraciné.

Derrière la façade de la démocratie et de la défense, un triangle de pouvoir politique relie Taïwan, les États-Unis et le régime israélien, tandis qu’un lien triangulaire se crée pour défier la Chine. La présence du président taïwanais Lai Ching-te au dîner de l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) qui s’est tenu la semaine dernière à Taipei a marqué un moment symbolique dans l’évolution de la stratégie étrangère de l’île.
Page 4 sur 988