
Chad Crowley explore l'interaction entre la philosophie de la maîtrise de soi de Nietzsche et l'accent mis par Solon sur la responsabilité communautaire, mettant en lumière la dynamique complexe de l'autorité, de l'obéissance et de la poursuite de l'excellence.
La dialectique de l'autorité, de l'obéissance et du commandement a captivé les philosophes pendant des siècles. Deux citations, l'une de Friedrich Nietzsche, « Celui qui ne peut s'obéir à lui-même sera commandé », et l'autre de Solon, législateur athénien du 6ème siècle avant J.-C., « Celui qui a appris à obéir saura commander », fournissent un cadre intrigant pour explorer cette dialectique. Malgré l'abîme temporel, ces philosophes s'engagent dans un dialogue qui éclaire notre compréhension de l'identité, de l'autorité et de la dynamique du pouvoir.
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Décidément, ça ne cause que de l’Ecole Alsacienne de Paris en ce moment !
On se souvient que Pap Ndiaye a mis ses enfants dans cette école de l’Ultra-élite parisianno-administrativo-show-bizo-merdouilleuse. Et ce, selon ses dires, « pour qu’ils aient une scolarité sereine », en clair, loin des racailles de la diversité enrichissante.
Lire la suite : L’Ecole Alsacienne, temple de la petite bourgeoisie de gauche ?

Ce qu'ils ont en commun :
1) l'idée que l'Occident peut se passer des combustibles fossiles et abandonner les moteurs à combustion alors que le reste du monde n'y pense même pas ;
2) l'idée que l'armée russe est technologiquement arriérée, qu'elle se bat avec des piques, qu'elle est dirigée par un fou et qu'elle s'effondre parce que nous envoyons nos armes aux Ukrainiens ;
3) l'idée que si vous êtes un homme mais si vous décidez ce matin d'être une femme, cela signifie que vous êtes une femme, point final, et que le reste n'est qu'arguties conservatrices et scrupules d'anachronique ;
4) l'idée que l'Europe peut survivre en tant que puissance économique en l'absence d'approvisionnement en énergie bon marché ;
etc. etc. ?

Ernst Jünger fut un maître inégalé de la contemplation, un mémorable exemple d'action, un théologien des temps nouveaux, un platonicien morose, un entomologiste compétent, un pédagogue de la liberté. Enfin, un amoureux de l'Italie, de la Dalmatie irrédente à la Sicile ensoleillée, de Naples à la plus aimée de toutes, cette Sardaigne à la « terre rouge, amère, virile, tissée d'un tapis d'étoiles, de tout temps fleurie à chaque printemps, berceau primordial ».
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Le sommet de l'OTAN a clairement montré que la patience de l'Occident à l'égard de l'Ukraine dans son ensemble, et de Zelenski en particulier, touche à sa fin. L'OTAN est à bout de souffle.
En fait, je voulais écrire ma propre analyse sur ce que le sommet de l'OTAN a apporté à l'Ukraine et à Zelenski. Mais comme je suis actuellement en déplacement dans le Donbass, je n'ai pas pu le faire. Je traduis donc ici une analyse de l'agence de presse russe TASS que je trouve très pertinente et que j'aurais écrite moi-même de la même manière.
Lire la suite : Après le sommet de l'OTAN: la finale pour Zelenski se rapproche

Les âpres batailles dans la plaine de Troie racontées par Homère ont façonné l'imaginaire collectif des Européens pendant des millénaires. Nous avons tous lu ou entendu au moins une fois les récits de la colère du puissant Achille, de la fureur de Diomède ou de la loyauté dévouée d'Hector, et nous nous sommes délectés des voyages du rusé Ulysse pour rentrer chez lui après plus de dix ans de guerre. La guerre de Troie occupe une place si importante dans notre patrimoine culturel que, pendant des siècles, les historiens et les érudits se sont efforcés de rechercher sa véracité historique dans des documents ou, comme le grand Heinrich Schliemann, grâce à d'heureuses découvertes archéologiques.
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