
La veuve d’Olier Mordrel, une des personnalités bretonnes majeures du siècle passé, est décédée paisiblement à l’hôpital de Pont-l’Abbé, capitale du Pays bigouden, le lundi 23 janvier.
L'avis audible d'un communiste français ...

Davos… Ce lieu de la Montagne magique de Thomas Mann (ce livre méphitique annonçait bien l’écroulement de notre Europe maladive et toxique) est devenu la caverne d’Ali Baba de tous les Blofeld de la mondialisation, dont les excès verbaux (notamment ceux du crâne d’œuf israélien Harari) ont fini par défrayer la chronique.
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Le 19 janvier dernier, ils étaient près de 1 million à défiler dans la rue contre le projet de réforme des retraites d’Emmanuel Macron. De multiples professions étaient représentées. On y trouvait entre autres le personnel des raffineries, les représentants des forces de l’ordre, des ouvriers, des jeunes. Bref la vraie France, la majorité réelle, comme l’appellerait le géographe Christophe Guilluy, est en colère. Et les syndicats ne sont pas les seuls moteurs de cette expression.
Pourtant, le Rassemblement national, qui a fait campagne sur le pouvoir d’achat des classes populaires, n’a pas participé aux rassemblements qui se sont déroulés un peu partout en France. Et les explications des cadres du mouvement ont laissé fort à désirer.
Ces deux militantes, d’abord connues dans les milieux de la gauche féministe sont-elles passées du côté obscur ? Sont-elles transphobes ? Dora Moutot (T'as Joui sur Instagram) et Marguerite Stern ex-Femen) reviennent sur ce qui leur a valu d’être mises au ban des luttes féministes à cause de leur opposition philosophique à l’idéologie transgenre, et sur leur combat pour que les femmes restent des femmes.

L'immigration de masse, le multiculturalisme, la substitution démographique sont la conséquence du paradigme idéologique actuel, de la superstructure idéologique - comme dirait Marx - qui détermine la structure sociale et économique. Ce paradigme, que beaucoup appellent désormais mondialisme ou mondialisation, n'est rien d'autre que le développement logique des principes de l'idéologie libérale. Pour guérir une maladie, la première chose à faire est de poser un bon diagnostic, d'examiner les symptômes et de déterminer la cause. Soyons clairs: le libéralisme est la cause principale de tous les problèmes angoissants dont souffrent les sociétés européennes aujourd'hui. Par conséquent, il est le grand ennemi à détruire.
Il ne faut vraiment pas avoir honte...

Jean Mabire, me dit-on, était fasciné par les « éveilleurs de peuple », Grundvigt, Petöfi, Pearse, etc. Par l’Abbé Cyriel Verschaeve mais aussi par le personnage juif viennois Theodor Herzl qui a lancé l’idée d’un retour à une terre pour les populations juives d’Europe centrale et orientale, et, au départ, ce n’était pas nécessairement la Palestine alors sous administration ottomane. Examinons d’abord le contexte dans lequel Herzl a évolué à Vienne à la fin du 19ème siècle : c’est tout d’abord le fameux « mouvement des nationalités » qui a animé toute l’Europe depuis l’effondrement des projets napoléoniens suite à la campagne désastreuse de Russie et à la bataille de Waterloo. L’émancipation par les idées universalistes des Lumières et de la révolution française ne fait plus recette. Les peuples entendent se libérer en adoptant des valeurs qui leur sont propres, dans des territoires matriciels, légués par leurs ancêtres, organisés par le droit coutumier (et non plus par les codes dérivés de l’idéologie des Lumières). Herzl nait dès lors dans un monde juif, travaillé lui aussi par les idées du « mouvement des nationalités ». Des penseurs juifs comme Léon Pinsker et Moses Hess ont pensé, sans succès, l’émancipation juive, l’hypothèse sioniste et la problématique des langues à adopter bien avant Herzl, de loin leur cadet.
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