L’épisode assez ridicule de la procédure de dissolution de l’association CIVITAS initiée par Gérald Darmanin sert une fois de plus de révélateur des passions liberticides qui animent la fausse gauche et en particulier Jean-Luc Mélenchon un de ses leaders les plus bruyants. Histoire de se refaire une beauté en matière de lutte contre l’antisémitisme, celui-ci approuve pour cette fois le garde-chiourme officiel du système Macron, préposé à la mise en place des dérives autocratiques qui deviennent la grande caractéristique de ce système.
L’Etat français, une nouvelle fois, pris la main dans le pot de confiture. En tout cas, en pleine crise sociale marquée par de violentes manifestations contre la réforme des retraites que Macron veut imposer à tout prix, une nouvelle révélation risque de mettre le gouvernement dans l’embarras.
Et c’est le Nouvel Obs qui donne l’info. En effet, d’après cette source, l’Etat français a dépensé plusieurs milliards d’euros dans le consulting informatique. Le média français a d’ailleurs dévoilé le chiffre faramineux qui risque, dans les jours qui viennent, de susciter une vive polémique en France.
Ghjuventù Libera est le mouvement de jeunesse du parti Corsica Libera, classé à gauche, dont le chef de file est Jean-Guy Talamoni, ancien président de l’Assemblée de Corse.
Loin des gauchisteries du mouvement breton, Ghjuventù Libera est pleinement engagé dans la défense politique, ethnique et sanitaire du peuple corse comme l’illustre le dernier communiqué en date de l’organisation suite à l’affaire de Calvi :
Récemment, il y a eu la « Journée mondiale de la surconsommation ». La surconsommation est, selon le discours vert toxique d'aujourd'hui, la faute des gens ordinaires et a donné lieu à la « crise climatique », à la « couverture de la nature », au manque de ressources renouvelables, et ainsi de suite.
Dans le même ordre d'idées, je suis tombé sur une mise à jour sur le réseau social X (anciennement connu sous le nom de Twitter), dont j'ai pensé écrire brièvement l'essentiel. Cela m'a rappelé un best-seller écologiste des années 70, l'époque de la co rona et de la cupidité (psycho)pathologique des cercles financiers transnationaux. Mais laissons un Italien nous en dire plus.
Lire la suite : La Journée de la surconsommation et les mensonges d'une élite hostile
« Du sublime au ridicule, il n'y a qu'un petit pas » (Napoléon). Si une conception stérile, déconnectée de la réalité, de la métapolitique accepte l'existence durable de communautés d'immigrés avec des structures mafieuses, des sociétés parallèles, des territoires de la peur, des zones de non-droit et de non-État, cela n'a en principe plus rien à voir avec une métapolitique réaliste au sens où l'entendait Antonio Gramsci, le maître à penser du Parti communiste italien. La métapolitique de Gramsci, qu'il a consignée en détail dans ses désormais célèbres « Cahiers de prison », était centrale pour l'organisation politique concrète qu'il représentait et qu'il a même dirigée à un moment donné en tant que président du parti. Un demi-siècle plus tard, Franco Freda, ancien permanent du MSI et futur leader des soi-disant « nazis-maoïstes », a plaidé pour une alliance stratégique entre l'extrême droite révolutionnaire et l'extrême gauche révolutionnaire en vue de créer un État hiérarchique et totalitaire. En fait, les deux camps combattaient la société libérale occidentale, mais leurs points communs ne suffisaient pas à dépasser une petite alliance fortuite donnant lieu à quelques escarmouches contre la police, détestée dans le milieu universitaire.
Lire la suite : La révolution est différente ! Adieu à l'ancienne « Nouvelle Droite »
Au moment où en Europe, aux Etats-Unis, au Canada, en Nouvelle-Zélande et en Australie, en réalité dans tout le monde blanc « occidental », l’univers slave étant pour le moment épargné, les élites ont capitulé devant les délires et les diktats des afrocentristes, la résistance semble venir d’Egypte.
John Lydon, ancien chanteur de l’emblématique groupe de punk britannique Sex Pistols alors connu sous le nom de Johnny Rotten, a adressé une salve de critiques contre les responsables politiques de gauche, les contorsions « woke » du roi Charles III ou encore l’adhésion aveugle des masses à certains dogmes.
Claude Labat de l'association Lauburu, s'attache, entre autres, à l'étude et à la diffusion de la mythologie basque et pyrénéenne. Il s'est spécialisé dans ce qu'il nomme la « vulgarisation ». Selon lui, la culture est une aventure à vivre au quotidien plutôt qu'un bien de consommation. Le livre Libre parcours dans la mythologie basque avant qu'elle ne soit enfermée dans un parc d'attraction, a été conçu pour répondre à toutes ces attentes et pour proposer une réflexion sur ce patrimoine immatériel unique qui constitue, ici comme ailleurs, le socle de toute culture. Ecrit par Claude Labat, il est paru en mars 2012, aux éditions Elkar.
Page 131 sur 614