Réveil brutal pour une France endormie par 30 années de cette propagande qui nous vante les bienfaits de l'immigration et du multi-culturalisme. L'illusion touche à sa fin, la réalité nous rattrape... Loin de l'idéal bidon d'une France multi-éthnique où toutes les composantes du corps social s'embrasseraient sur la bouche dans la plus belle harmonie, on en arrive au constat que le communautarisme est persistant, vindicatif et ambitieux. Non satisfait de se cantonner dans l'oisiveté et le parasitisme, le communautarisme se veut conquérant et subversif. Rien de plus prévisible que l'action violente, qui n'est que la suite accélérée d'une invasion sournoise aspirant de longue date à frapper le ventre mou d'une société embourbée dans ses difficultés, trompée par ses dirigeants, et vidée de toute réactivité lucide. Car il faut bien admettre que les décennies de paix dont nous avons joui nous ont ramolli, que notre confort nous a éloigné de l'instinct de survie, et même du simple état de vigilance face au danger. Cette faiblesse ne passe pas inaperçue aux yeux de nos ennemis, qui ont le jeu facile de s'infiltrer au sein de l'occident, pour y introduire le désordre et la violence. L'inertie de nos institutions devant les dérives communautaristes, l'hérésie des choix politiques en matière d'immigration massive, l'absence de filtrage des flux migratoires et du transit des marchandises, l'abandon total des frontières, la déliquescence de nos outils de défense, de surveillance et de sanction, suscitent l'enthousiasme de nos agresseurs, qui perçoivent une victoire "à portée de main". Nos valeurs humanistes, nos croyances en la bonté universelle, ne résistent pas à l'épreuve de la réalité : Non, nous ne vivons pas au pays des Bisounours ! Non, tout le monde n'est pas gentil ! Il y a aussi autour nous des gens malveillants, fourbes, haineux et cruels. La naïveté qui consiste à croire le contraire se payent à présent par le prix du sang. Comment imaginer que la guerre est toujours un malheur lointain qui n'arrive que chez les autres ? Merci de partager et faire circuler cette réflexion. Par un policier en poste
Prison des Baumettes : des détenus se lâchent sur Facebook Des selfies dans leurs cellules comme s'ils étaient en colonie de vacances... des détenus de la prison de Marseille ont posté de nombreuses photos et vidéos sur une page Facebook. Les syndicats en profitent pour dénoncer une situation «intenable». Retrouvez cet article sur le site de Libération : http://www.liberation.fr/societe/2015/01/05/prison-des-baumettes-des-detenus-se-lachent-sur-facebook_1174219