Catégorie : Terre et Peuple Magazine n°36 - Eté 2008

Droits dans nos bottes

  

Un véritable sida mental empoisonne l’âme de nos frères européens : c’est l’esprit de démission et de soumission. Ce sida mental a des conséquences biologiques puisque l’empoisonnement de l’âme conduit à l’empoisonnement du sang, quand les peuples oublient que leur bien le plus précieux est leur identité ethnique.

Face à cette épidémie, voulue et véhiculée par tous ceux, détenteurs des différentes formes de pouvoir (politique, économique, culturel) qui constituent le Système en place, officiel ou officieux, il faut réaffirmer sans cesse notre mission : incarner, devant l’Histoire, la Fidélité absolue à la cause identitaire ethnique. Ce dernier mot – ethnique – est fondamental car il écarte toute ambiguïté. Ambiguïté d’autant plus dommageable quand elle se manifeste parmi ceux qui sont censés appartenir au même camp que nous. Ne voit-on pas, en effet, un FN qui fut longtemps en pointe contre l’immigration extra-européenne, prétendre maintenant qu’il faut faire avec (puisque « les jeunes », c’est à dire la racaille, sont, paraît-il, « les branches de l’arbre France » …) ?  Ne voit-on pas, aussi, certaines personnes se disant « identitaires » accepter des métis dans leurs rangs sous prétexte qu’ils ont besoin de colleurs d’affiches pour leurs campagnes électorales ? L’argument mis en avant est que ces métis sont très gentils. C’est certainement vrai. Mais là n’est pas le problème. A partir du moment où on transige sur les principes en invoquant des cas individuels (« moi, vous savez, je connais un immigré très sympa »), on ouvre la porte à n’importe quoi. C’est une faiblesse d’âme et une faiblesse d’esprit qui n’est pas tolérable.

Car nos frères gaulois ont besoin de repères simples et clairs, aujourd’hui où on les matraque mentalement tous les jours, à l’école, à la télé, à l’église (pour ceux qui y vont encore…), dans leur profession, sur le thème : tout se vaut, tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, tous les hommes sont semblables, ils sont tous frères, donc embrassons-nous et faisons des enfants de toutes les couleurs.

Nous, nous disons non. Nous disons que le grand magma universel n’apportera le bonheur à personne mais sera au contraire source de beaucoup de larmes et de beaucoup de sang. A cause de cela, les apprentis sorciers de tous poils nous haïssent. Non seulement nous n’en avons rien à faire mais, comme dit l’un de nos chants,  « c’est là notre fierté ». 

Droits dans nos bottes, nous disons, sans haine mais sans crainte, que la situation est parfaitement claire. Hélas. Mais la lucidité est la condition première de toute prise de conscience. Et il est des évidences qu’il faut dire et redire sans cesse, sans se lasser (certains, pour nous décourager, nous disent que nous clamons dans le désert. Peut-être. Mais est-ce une raison pour se taire ? Car se taire c’est accepter, c’est abdiquer, c’est se soumettre. Et nous serons toujours des insoumis) .

Voici donc où nous en sommes :

-         Une partie de la population installée sur le territoire dit français est de nature non-européenne (qu’elle ait des papiers d’identité français ou non, qu’elle soit « régularisée » ou non ne change rien à la réalité) et constitue, de fait, une masse d’envahisseurs, dont certains (en particulier parmi  les « jeunes ») se comportent en conquérants, avec une attitude systématiquement agressive.

-         Les communautarismes, provoquant des affrontements ethniques dont l’actualité se fait l’écho quasiment tous les jours, sont une réalité incontournable. L’école est un terrible révélateur : dans une cour de récréation, chaque gosse sait très bien qui est black, qui est maghrébin, qui est juif, qui est gaulois (ce terme englobant, de fait, tous les Européens). Et le prêchi-prêcha des instits, ces indécrottables aveugles et sourds volontaires, n’y change et n’y changera rien (nous ne versons pas une larme sur ceux de ces crétins qui, au passage, se font casser la tête par leurs chers élèves si gentils).   

-         Face à ces réalités, la population européenne adopte, selon les individus, l’une des trois attitudes possibles : 1) Certains jouent la collaboration avec les envahisseurs, soit par conviction idéologique (mondialistes, « antiracistes » de tous poils, droitsdel’hommistes, ethnomasochistes) soit, pour la plupart sans doute, par lâcheté, pour se faire bien voir, ou au moins accepter, par les futurs maîtres. Ce sont des collabos et il faut les appeler ainsi.   2) La masse des attentistes (la fameuse « majorité silencieuse »), qui peut-être n’en pensent pas moins mais qui, surtout, ne veulent pas d’ennuis, de complications et trouvent, qu’après tout, la situation n’est pas si grave – aussi longtemps qu’ils peuvent mettre un peu d’essence dans la voiture, remplir de choses inutiles au supermarché le caddie de bobonne et s’abêtir chaque soir un peu plus devant  une télé débile. Ce sont les zombies – et heureux de l’être. Qui voleront toujours au secours de la victoire, style résistants du 9 mai 1945, quel que soit le vainqueur.  3) Ceux qui refusent d’accepter l’inacceptable, la démission et la soumission, la lâcheté et la honte. Ce sont les résistants et il faut les appeler ainsi.

      Les résistants se reconnaissent entre eux. Ils savent ne pouvoir compter que sur       eux-mêmes puisque la justice, la police, l’armée, l’école, les églises, les media, les   partis politiques sont infiltrés et noyautés par les collabos. Ils savent que leur  sort, celui de leur famille, de leurs amis repose entre leurs seules mains. Ils ne font et ne feront plus confiance, jamais, aux institutions et aux hommes du Système. L’Histoire dira s’ils réussiront ou s’ils échoueront. Mais au moins        pourront-ils regarder en face leurs enfants. A qui ils auront appris à vivre – et   peut-être aussi, qui sait – à mourir debout, le glaive à la main.

 

                                                                                        Pierre VIAL

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