
Gabriele    Adinolfi est une figure incontournable du néofascisme italien. Au   cours  de ce qu’il est convenu d’appeler « les années de plomb »,   c'est-à-dire  les années 70, un véritable climat insurrectionnel régnait   en Italie.  Le pouvoir démocrate chrétien, lié à la mafia et aux   intérêts  américains, était englué dans une multitude de scandales. Les    terroristes communistes des Brigades rouges multipliaient les actions    violentes et pour beaucoup la nostalgie de la glorieuse époque    mussolinienne commençait à se faire ressentir. Afin d’éviter leur chute    les pourris au pouvoir imaginèrent de fomenter des attentats  meurtriers   et de les mettre sur le dos des organisations    nationales-révolutionnaires. Le plus spectaculaire d’entre eux fit plus    de 80 morts et 200 blessés le 2 août 1980 dans la gare de Bologne.
S’en    suivit une vaque de répression inouïe contre les milieux néofasciste,    en particulier contre le mouvement Terza posizione qu’animait entre    autres Gabriele Adinolfi. Pourtant, jamais sa culpabilité, ni    l’implication de son mouvement, furent prouvées. Trente cinq ans plus    tard, plus aucune charge ne pèse contre eux. Il n’empêche que pour des    dizaines de militants ce fut la prison ou l’exile. Ainsi Adinolfi passa    près de vingt ans dans la clandestinité à Paris. C’est ce qu’il nous    relate dans ce livre captivant, bourré de rebondissement, de  rencontres   inattendues et d’anecdotes truculentes.
Aujourd’hui    l’auteur vit à Rome, il anime l’Institut Polaris et est l’un des    inspirateurs de la Casapound, le mouvement qui se revendique fièrement    du fascisme du XXIe siècle. Gabriele Adinolfi a gardé de nombreux    contacts en France où il revient régulièrement. Ce livre est aussi une    galerie de portraits des militants et responsables nationalistes    français qu’il rencontra au cours de sa longue cavale.
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