Quand un détenu filme l’évacuation de la surveillante sérieusement blessée à Lyon sous les cris de joie de la population pénale
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Cette vidéo est insupportable pour les surveillants pénitentiaires. Tournée hier après-midi par un détenu après la sanglante attaque au couteau à la maison d’arrêt de Lyon, elle a ensuite été diffusée sur les réseaux sociaux.
Hier, vers 17h00, une surveillante stagiaire de la maison d’arrêt de Lyon a subi une violente attaque qualifiée de tentative de meurtre par les syndicats de l’établissement.
Le détenu avait dans un premier temps refusé de réintégrer sa cellule. Alors que la surveillante s’apprêtait à demander des renforts, le détenu s’est jeté sur elle armé d’un couteau de type Opinel. Il a visé ses yeux en lui portant plusieurs coups. Elle sera touchée à au moins trois reprises. Blessée elle sera conduite à l’hôpital au service des urgences. Elle présente des plaies ouvertes au niveau de la pommette, de l’arcade sourcilière et de la nuque.
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La vidéo est apparu quelques minutes après cette attaque. Filmée par un détenu équipé d’un téléphone portable on peut voir l’évacuation de la surveillante, sous les cris des détenus qui semblent se réjouir de voir la victime évacuée par le service médical et les surveillants. Sur la vidéo on peut également lire » un surveillant en moins dans la maison ».
Ce matin ses collègues ont décidé de bloquer leur établissement en signe de soutien. La victime a été opérée hier soir. Ses jours ne sont pas en danger mais les séquelles sont bien présentes.
actupetnit.com
Le dispositif Linky
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Sans le cash, il suffira d'un "clic" pour que votre argent soit bloqué !
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Les Suisses sont connus pour être des personnes prudentes . C'est donc avec étonnement, mais surtout beaucoup d'intérêt, que j'ai lu l'enquête réalisée par le journal suisse Le Temps consacrée à la disparition programmée du cash dans nos sociétés.
En effet, des pays comme le Danemark étudient la possibilité de supprimer le cash. D'autres, comme la France, la Belgique ou l'Espagne, interdisent déjà les transactions en cash au-delà d'un certain montant. Et des banques américaines comme JP Morgan ont interdit à leurs clients de déposer des espèces dans les coffres qu'ils louent. Mais cela ce n'est que la partie émergée de l'iceberg.
En réalité, comme le rappelle le journal suisse Le Temps, des économistes de renom plaident pour la disparition du cash. Officiellement, c'est pour lutter contre le blanchiment d'argent, le crime organisé, le terrorisme ou la fraude fiscale, sans oublier que le secteur bancaire est en faveur de cette suppression du cash uniquement dans le but de "nous simplifier la vie". Cependant, la suppression du cash serait une attaque contre nos libertés, selon d'autres commentateurs dont Simone Wapler, la très avisée rédactrice de la lettre d'information financière La Stratégie de Simone Wapler.
Sans le cash, il suffira d'un "clic" pour que votre argent soit bloqué !
En fait, comme nos gouvernements sont surendettés, aucune transaction, même la plus petite, ne doit leur échapper. Or, quoi de plus simple que de lever des impôts supplémentaires quand il n'y a plus de cash ? Le jour où tous vos avoirs seront bancarisés sous forme de livrets ou comptes d'épargne, que vos déclarations d'impôts, vos facturations, vos numéros de compte, vos allocations, vos salaires et bientôt vos dépenses de santé seront en ligne, et comme tout cela est connecté, il suffirait en gros d'un "clic" pour que votre argent, votre propriété soit... bloquée !
Quant aux banques, leur pire cauchemar, c'est qu'en cas de manque de confiance, les épargnants sortent leur argent de la banque - c'est ce qu'on appelle le "bank run". Mais là encore, s'il n'y a plus de cash, il n'est plus possible de quitter sa banque, comme l'indique Simone Wapler. Priver les déposants de la faculté de retirer des billets permet de les garder captifs !
Sans compter que s'il n'y a plus de cash, les autorités monétaires peuvent nous imposer un taux d'intérêt négatif sur nos comptes bancaires, car comme il n'y a plus de cash, nous ne pouvons pas retirer nos avoirs. Or, comme l'a fait remarquer un économiste de la banque américaine Citibank, si la Banque centrale américaine avait pu imposer un taux d'intérêt négatif de 6%, elle aurait pu limiter la crise de 2008 !
En résumé, je ne dis pas que ce scénario envisagé par des personnes sérieuses, et notamment par le journal suisse Le Temps, va se produire, mais c'est vrai qu'il faut bien reconnaître que l'existence du cash dans nos sociétés permet d'échapper aux taux négatifs, à l'impôt arbitraire et à la faillite d'une banque. Donc, ces commentateurs - que certains considéreront comme des visionnaires et d'autres comme des fous - considèrent qu'il faut en quelque sorte prendre le maquis, entrer en résistance et défendre coûte que coûte une société avec du cash. Comment ? En utilisant au maximum le cash, car il est plus facile de faire disparaître quelque chose qui n'est plus en usage que quelque chose qui sert beaucoup. Au moins, le débat peut commencer.
Amid Faljaoui, directeur des magazines francophones de Roularta.
Islamisme : des populations plus « déséquilibrées » que d'autres ? (vidéo)
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SALUT ROGER
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J’ai toujours eu beaucoup de respect et d’estime pour Roger Holeindre. Il incarnait le meilleur des traditions militaires françaises, aujourd’hui oubliées ou méprisées par ceux qui, y compris au sein d’une soi-disant « droite nationale », n’ont jamais entendu une balle siffler à leurs oreilles et sont incapables de courir cent mètres sans cracher leurs poumons et appeler leur maman.
Roger avait la rugosité, le franc-parler mais aussi la générosité des vrais guerriers. Il a toujours montré, sans mots inutiles, le courage des combattants dignes de ce nom. Il a rejoint le paradis aux portes duquel veillent des anges porteurs d’épée.
Salut à toi Roger.
Pierre Vial
Danheim - Ulfhednar
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Conférence de Geoffroy Lejeune censurée à Sciences Po Lille : les enseignants prennent la défense de leur directeur
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Sur Facebook, ce lundi, les enseignants-chercheurs de l'établissement invoquent le “respect, la tolérance et l'hospitalité”.
Pour « construire leur émancipation », les élèves de Sciences Po doivent occulter les idées dont leurs enseignants estiment qu'elles n'ont droit de cité dans la société française, quand bien même ces idées seraient partie intégrante du débat politique et seraient partagées par une large partie de l'opinion publique. Telle est, en substance, ce qu'affirment le « personnel administratif » et « les enseignants » de l'établissement, ce lundi 27 janvier, après les critiques en cascade qui s'abattent sur leur directeur. La semaine dernière, ce dernier annonçait l'annulation d'une conférence à laquelle devaient participer Geoffroy Lejeune et Charles Consigny, au motif que « la participation de l'un des invités ne [lui] apparaissait pas souhaitable ».
« Les principes d'éthiques de l'école »
Sur Facebook, le texte publié, et daté du 25 janvier, rappelle que Pierre Malthiot, directeur de l'école a pris, le 20 janvier, « la décision de ne pas permettre la présence de l'un des intervenants prévus à un débat organisé par une association étudiante ». « Il avançait la raison que celui-ci avait été l'auteur d'un dossier ayant valu à son journal, Valeurs actuelles, une condamnation (...). C'est en raison des risques manifestes de troubles sérieux à l'ordre public, et au nom des principes d'éthiques de l'école que la décision fût prise en toute responsabilité », poursuivent personnel administratif et enseignants de Sciences Po Lille.
Ils ajoutant dénoncer « avec vigueur les propos haineux, les calomnies et, de manière plus générale, le mépris » dont l'établissement ferait l'objet. « Nous adressons un soutien collectif à notre directeur, Pierre Malthiot, qui a reçu des menaces de mort », disent-ils encore. Et d'ajouter, dans une formule qui semble vouloir inverser les responsabilités : « Nous nous inquiétons aussi de l'outrance verbale et physique avec laquelle certaines associations ou organisations s'emploient à disqualifier, à vouloir interdire, à perturber des conférences dont bien souvent le seul tort est de leur déplaire, de contredire leurs certitudes (...) ».
« Construire l'émancipation des élèves »
Les auteurs du texte tiennent aussi à « réaffirmer » leur « engagement professionnel et éthique à défendre les impératifs de respect, de tolérance et d'hospitalité ». « Nous sommes fiers et heureux (...) d'aider nos élèves à entrer dans la vie, avec non seulement un bagage de connaissances, mais aussi la petite boîte à outils qui leur permettra de construire leur émancipation ». « Nous ne nous laisserons pas impressionner par les petites tribus qui affichent à grand bruit leur ignorance, leur dogmatisme, et qui portent sur leurs fragiles épaules les fantômes des sectarismes les plus éculés », peut-on encore lire.
Valeurs actuelles
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Pour une boussole métapolitique
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par Fabrice Dutilleul 22 janvier 2020
Entretien avec Jean-Patrick Arteault, auteur de Pour une boussole métapolitique aux Éditions de la Forêt
(propos recueillis par Fabrice Dutilleul).
Jean-Patrick Arteault, qu’est-ce qu’une « Boussole Métapolitique » ?
Sans filer trop loin la métaphore, on rappellera que la boussole est un petit instrument, dont l’aiguille aimantée vers le nord (magnétique) sert, le plus souvent associé à une carte, à s’orienter au cours d’un périple. Dans la brochure éponyme, qui tient d’ailleurs autant de la boussole que de la carte, j’ai surtout voulu rappeler un certain nombre de repères qui m’ont paru utiles quand on est engagé dans le type d’action qu’on associe au mot « métapolitique ».
Vous posez, au départ, une identité albo-Européenne « gentille ». Pouvez-vous en dire plus ?
En Europe, où s’accumulent des populations d’origines, de religions, de cultures disparates, les identités nationales de « papiers » ne veulent plus dire grand-chose. Donc je propose de s’en tenir à des identités plus fondamentales, non solubles dans le cosmopolitisme ambiant. Pour ce qui me concerne, je me définis comme un Albo-Européen Gentil Autochtone. C’est-à-dire un Blanc d’Europe, de tradition spirituelle indo-européenne ou boréenne (comme eut dit Dominique Venner), originaire par voie ancestrale de cette terre d’Europe. Je pourrais ajouter que je suis aussi de langue et de culture française. D’une manière générale, par opposition à la confusion contemporaine des notions et des concepts, je crois à la nécessité de créer et d’user d’un vocabulaire précis, non récupérable. Je crois aussi à la nécessité de se définir de manière positive, par rapport à soi, et non par opposition à ce contre quoi l’on serait.
Vous insistez beaucoup, pour l’efficacité de l’action métapolitique, sur la compréhension d’un contexte fait de l’emboîtement de trois éléments : l’Occident, le Système et le Régime. En quelques mots, que voulez-vous dire par là ?
D’une certaine manière cela retrace une histoire de longue durée. L’Occident est la matrice culturelle et idéologique de notre Système oligarchique dont chaque Régime est l’adaptation contextualisée à l’une des nations de l’Occident géopolitique. L’Occident s’est construit par strates successives, parfois en oppositions dialectiques entre elles, depuis l’irruption du judéo-christianisme dans l’Europe antique jusqu’à l’actuelle hégémonie conjointe et conflictuelle à la fois du gauchisme culturel et du sans frontiérisme ultralibéral. Le Système oligarchique occidental est un système de pouvoir et de domination, issu de la montée en puissance progressive des marchands financiers depuis le XVIIe siècle et dont le principal centre se situe dans le monde anglo-saxon. Aujourd’hui, l’Amérique du Nord, l’ensemble de l’Europe (exceptée la Russie) et une partie de l’Asie se trouvent sous son emprise. La question qui reste ouverte est de savoir s’il est entré en crise au début du XXIe siècle ou s’il est en train de parfaire une domination absolue. Chaque nation a produit un Régime (qui évolue aussi dans le temps) qui est l’adaptation du Système global aux données particulières d’une histoire et d’un système juridique et politique. En ce sens, le « Régime de Macron » d’aujourd’hui est à la fois le produit de l’évolution endogène du Régime républicain occidentaliste né du choc de la Révolution de 1789 et le produit de l’évolution des influences du Système occidental global. C’est dans ce cadre particulier qu’un travail métapolitique dissident peut se mener en tenant compte de sa réalité concrète.
Vous ne semblez pas croire beaucoup à la démocratie ou au populisme…
En réalité, j’aimerais croire en la possibilité du gouvernement du peuple par le peuple, pour le peuple ! Ma formation d’historien m’a convaincu de la « loi d’airain » des oligarchies, c’est-à-dire de l’inéluctabilité du gouvernement des grands nombres par les petits nombres quels que soient les temps, les races et les sociétés. C’est dur à entendre aujourd’hui, y compris par les populistes patriotes qui ont, par ailleurs, toute ma sympathie. Mais c’est un fait. La démocratie moderne a été mise en place, à partir du XIXe siècle, comme le moyen le plus souple et le plus léger pour contrôler le « parc humain » grâce une ingénierie sociale et culturelle devenue de plus en plus scientifique. Il fallait que « tout change, pour que rien ne change », comme dit Tancrède dans Le Guépard de Lampedusa. Dans le meilleur des cas, nous aurons une oligarchie issue du peuple dont les valeurs, à l’opposé de celles de la caste marchande et financière actuelle, seront celles de l’enracinement autochtone et de la spiritualité aristocratique. Mais nous ne nous passerons pas d’oligarchie.
Source : http://eurolibertes.com
40 pages : 9 € + les frais de port :
- France : 1,94 €
- International (y compris U.E.) : 2,80 €
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