La piste terroriste a d'ores et déjà été écartée et celle de l'agression sexuelle est privilégiée. Une femme a été attaquée au couteau, ce dimanche matin, allée de la Plaine à L'Haÿ-les-Roses. Rapidement sur place, les policiers du Kremlin-Bicêtre sont parvenus à neutraliser le suspect.
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L’homme a été interpellé à Chevilly-Larue. La victime, qui pourrait avoir été la cible d’une agression sexuelle, serait légèrement blessée.
Les fonctionnaires ont fait usage de leur arme à feu. L'individu aurait en effet tenté de se jeter sur un des policiers, malgré deux premiers coups de pistolet à impulsion électrique (PIE).
Selon nos informations, l'homme a reçu une balle dans le ventre. Il est parvenu à se relever et a tenté de prendre la fuite. Au terme d'une course-poursuite, il a été interpellé un peu plus loin rue, à Chevilly-Larue, rue de Picardie.
« L'individu aurait essayé de l'attirer dans une cave »
Une arrestation difficile. « Les collègues ont utilisé à deux reprises le pistolet à impulsion électrique mais le type se relevait », précise une source policière. Il a finalement été neutralisé à l'aide d'un PIE, dans un hall d'immeuble où il s'était réfugié.
Ce dimanche vers 10 h 30, l'agresseur présumé était pris en charge par les secours. La femme qui a reçu le coup de couteau serait légèrement blessée, au niveau de la main. « L'individu aurait essayé de l'attirer dans une cave, ajoute une autre source. Apparemment ils ne se connaissaient pas. Mais il est encore trop tôt pour être catégorique. »
Le SDPJ 94 est chargé des investigations. L'IGPN a part ailleurs été saisie pour enquêter sur les conditions dans lesquelles les policiers ont fait usage de leur arme.
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Mdr oh non je pleure pic.twitter.com/acRycl71Hc
— Jean Louis Groseille (@GroseilleJlouis) February 26, 2020
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MARDI 03 MARS 2020
Il est assurément trop tôt pour prévoir où conduira véritablement, et jusqu'où ira, la volonté affichée du gouvernement turc d'inonder l'Europe de réfugiés et d'immigrants. Certains prenaient peut-être jusqu'ici cette menace, maintes fois réitérée par Erdogan, pour une rodomontade qui ne serait jamais mise à exécution. Sur la forme la tradition ottomane retrouvée ne se dément pas. Et c'est sans doute ce qui, le 28 février en fin de matinée encore, amenait le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg à exprimer la "totale solidarité" des membres du Conseil Atlantique avec leur inconstante et infidèle alliée.
Après un entretien téléphonique du 27 avec Mevlut Cavusoglu, ministre des affaires étrangères à Ankara, l'article 4 du traité signé à Washington en 1949 avait même été invoqué. Or, c'est dans l'affaire syrienne que la clause était supposée fonctionner. Depuis 2011, Erdogan en compagnie des islamistes, prétend défendre les droits de l'homme dans ce pays, contre ce que les médias ont pris l'habitude d'appeler l'armée du régime, élément de langage désignant tout simplement l'armée régulière, d'un pays juridiquement souverain depuis 1946, détaché de l'Empire ottoman depuis le traité de Sèvres.
Or, dès le lendemain 29 février, encouragés sans doute par cette affirmation hasardeuse d'une complaisance de principe, les agents du pouvoir d'Ankara déclenchaient, depuis Istanbul, la marche vers l'Europe de milliers d'illégaux.
L'activation du chantage migratoire a donc d'ores et déjà introduit une nouvelle dimension dans les relations avec la Turquie. Et cette perspective ne sera pas si facilement éliminée. Tout le monde a compris en effet, qu'en fonction des développements futurs, et si son utilisation devait demeurer impunie, cette arme d'un genre nouveau sera activée chaque fois que l'actuel gouvernement d'Ankara et les réseaux des Frères musulmans la jugeront utile. Ceci jusqu'à ce qu'un mécanisme éliminatoire intervienne.
Même la très incertaine, et si souvent incohérente, Merkel se sait obligée de réagir. Elle doit se prémunir elle-même contre la poussée protestataire qui s'est exprimée dans divers scrutins au niveau des Länder. Elle demeure certes encore accrochée à une chancellerie où elle a fait plus que son temps. Elle sait que sa maladroite politique d'accueil affirmée en 2015 avait déjà engendré son recul dans l'opinion populaire, au mépris de ce qui avait, au contraire par le passé consolidé sa popularité, quand en 2011 elle avait constaté l'échec du modèle multiculturel "Multikülti".
C'est ainsi que le 2 mars, lors d'une conférence de presse à Berlin, Steffen Seibert au nom du gouvernement allemand a voulu affirmer que l'Union européenne attend de la Turquie qu'elle respecte l'accord turco-européen de 2016. Car celui-ci visait à empêcher les migrants d'atteindre l'Europe, et pour cela environ 3,2 milliards d'euros ont déboursés par les contribuables européens pour défrayer Ankara et, notamment, équiper sa flotte de garde-côtes."Nous sommes convaincus de la valeur de l'accord et nous attendons qu'il soit respecté", déclare un peu platement le porte-parole de Merkel.
Ce concept semble très au-dessous d'une situation qui ressemble de plus en plus à une invasion organisée. Elle justifie amplement la requête du gouvernement d'Athènes sur le fondement de l'article 78-3 du traité de l'Union européenne, qui prévoit de façon explicite le cas précis.
Notons cependant sa rédaction très molle : "Au cas où un ou plusieurs États membres se trouvent dans une situation d'urgence caractérisée par un afflux soudain de ressortissants de pays tiers, le Conseil, sur proposition de la Commission, peut adopter des mesures provisoires au profit du ou des États membres concernés. Il statue après consultation du Parlement européen."
C'est en cette occasion que le politiquement-islamiquement correct ne manquera pas de chercher à invoquer la convention de 1951 et l'obligation pour l'Europe d'accueillir et de répartir "toute la misère du monde".
Oui l'Europe est au pied du mur, et c'est au pied du mur qu'on voit le maçon.
Toutes les îles grecques de la mer Égée, jusqu'à Rhodes et jusqu'à la république de Chypre, de même qu'en Méditerranée occidentale les îles de Lampedusa, Malte et le rocher de Gibraltar devraient être désormais, solennellement, proclamées inviolables sentinelles européennes, à défendre solidairement contre toute attaque venue de l'Orient.
Si cette doctrine n'est pas affirmée et mise en pratique, non seulement par Frontex mais par tous les moyens disponibles, ce seront ensuite la Sicile, la Sardaigne, la Corse, les Baléares, puis la Bulgarie, la Provence ou la Campanie.
Les Européens responsables, cela existe, l'ont compris et ils proclament, enfin, leur solidarité.
JG Malliarakis
Sources : https://www.insolent.fr
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Depuis le début de l'épidémie, plusieurs journalistes indépendants, dissidents politiques et lanceurs d'alerte ont été interpellés. Beaucoup ont été assignés à résidence ou placés en quarantaine forcée.
Fang Bin n'a plus donné signe de vie depuis 15 jours. L'homme d'affaires chinois, reconverti en journaliste indépendant pour couvrir l'épidémie de Covid-19 à Wuhan, a disparu des radars, le 9 février. La télévision publique hongkongaise RTHK (en chinois) croit savoir qu'il a été interpellé chez lui. Des pompiers auraient fracturé sa porte pour ouvrir le passage à des policiers en civil, détaille la chaîne. "Fang Bin a révélé la réalité de l'épidémie que le gouvernement voulait taire, accuse un de ses proches, interrogé par franceinfo. Il s'est battu pour la vérité. Les autorités n'ont pas accepté qu'un homme les défie de la sorte."
Pour rassurer les Chinois et le reste du monde sur sa gestion de l'épidémie, le régime s'est engagé dans une bataille de l'information. Lors d'un discours prononcé le 3 février – publié douze jours plus tard par l'agence de presse chinoise –, Xi Jinping a proclamé "une guerre populaire"qui doit s'appuyer sur la "stabilité sociale". Le président chinois a promis de "sévir contre ceux qui profitent de l'épidémie pour lancer des rumeurs".
Cette déclaration s'est traduite par une explosion de la censure sur les réseaux sociaux et l'interpellation quasi systématique de ceux qui tentent de la braver. Le cas le plus emblématique est celui du médecin Li Wenliang, le lanceur d'alerte qui a révélé au monde l'existence de l'épidémie quand les autorités locales tentaient encore d'en dissimuler l'ampleur. Avant de succomber à la maladie, contractée dans l'hôpital où il travaillait, il avait été interpellé et forcé à signer un procès-verbal dans lequel il avouait avoir "perturbé l'ordre social" en colportant des "rumeurs".
Interpellation filmée
Avant de disparaître, Fang Bin a lui aussi été accusé par les autorités chinoises de répandre des "fausses informations". En cause : une vidéo postée sur YouTube – dont l'accès est bloqué en Chine – le 1er février. Sur les images filmées dans un hôpital de Wuhan, on voit le reporter compter les corps disposés dans des sacs mortuaires, à l'intérieur d'une camionnette. On suit Fang Bin dans les couloirs de l'hôpital, où il rencontre un homme en sanglots. "C'est mon père", gémit ce dernier, prostré devant la dépouille d'un homme âgé que les médecins n'ont pas pu ranimer. Bouleversante, la séquence suscite une vague d'émotions sur les réseaux sociaux.
Quelques heures après la mise en ligne de ces images, le journaliste citoyen reçoit la visite des autorités chez lui. "Qui êtes-vous ?", demande Fang Bin aux hommes équipés de masques et de combinaisons postés derrière sa porte, tout en filmant la scène. "Vous vous êtes rendu dans un lieu très dangereux. Vous auriez pu être infecté" par le virus, martèlent-ils. "Ma température est normale !", réplique le journaliste, exigeant qu'on lui montre un mandat d'inspection. Les hommes masqués finissent par interpeller Fang Bin, hors caméra.
Ce n'est pas une première pour l'homme d'affaires. Avant de couvrir l'épidémie de coronavirus à Wuhan, Fang Bin s'était déjà engagé contre le gouvernement chinois : "Il a milité pour la défense des pratiquants du Falun Gong [un mouvement spirituel réprimé en Chine] et est venu en aide à des activistes détenus par le gouvernement, raconte son ami. Par le passé, Fang Bin a déjà été détenu par les autorités pendant plusieurs mois."
Il connaît les méthodes de la police, c'est pour ça qu'il a filmé l'interpellation. Le gouvernement est sous pression, car Fang Bin a l'opinion publique avec lui.à franceinfo
A sa libération, le lendemain, il raconte son interrogatoire au Los Angeles Times (en anglais). D'après son récit, les hommes qui ont frappé à sa porte n'étaient pas des médecins, mais bien des policiers, qui l'ont accusé de recevoir de l'argent d'organisations étrangères pour faire ses vidéos. Son matériel électronique a été confisqué et Fang Bin sommé d'arrêter de "répandre la panique". Fang Bin continue de mettre en ligne des vidéos. Jusqu'à sa disparition, le 9 février.
"Devant moi il y a le virus, derrière moi le pouvoir"
Chen Qiushi n'a plus donné de nouvelles à ses proches depuis le 6 février. L'avocat de formation de 34 ans, est journaliste indépendant depuis 2019, quand il s'est rendu à Hong Kong pour documenter les manifestations pro-démocratie. Fin janvier, il parvient à se rendre à Wuhan, juste avant le placement de la ville en quarantaine. Avec son smartphone monté sur une perche à selfie, il se rend dans les hôpitaux et filme les conditions de prise en charge des patients, le manque de masques et de matériel de dépistage.
L'exercice est périlleux : en Chine, les reporters doivent disposer d'un certificat officiel, délivré aux seuls journalistes qui travaillent pour des titres de presse autorisés. "Ces journalistes indépendants devraient être encouragés et protégés pour produire de l'information accessible à tous, mais le gouvernement leur impose une censure stricte", regrette Renee Xia, directrice de l'ONG Chinese Human Rights Defenders (CHRD), basée à Washington. Banni des réseaux sociaux chinois, Chen Qiushi contourne la censure grâce à un VPN (un logiciel qui permet de modifier sa géolocalisation) pour poster ses vidéos sur Twitter et YouTube. "C'est un homme très courageux", affirme un de ses amis qui milite en ligne pour sa libération.
Malgré les risques, il estime que son devoir de journaliste consiste à foncer en première ligne dès qu'il se passe un événement, pour voir et témoigner de la vérité.à franceinfo
A Wuhan, Chen Qiushi se sent rapidement menacé. "J'ai peur. Devant moi, il y a le virus et derrière moi, il y a le pouvoir chinois. Aussi longtemps que je serai dans cette ville, je continuerai à témoigner", lance-t-il, au bord des larmes, dans une vidéo publiée le 30 janvier. "Je vais être direct : Je vous emmerde ! Je n'ai pas peur de la mort. Vous pensez vraiment que j'ai peur de vous, le Parti communiste ?"
Conscient des risques, son entourage correspondait très régulièrement avec lui pour s'assurer qu'il était en sécurité. Lorsqu'il ne répond plus, des amis se rendent dans son appartement mais trouvent porte close, comme l'explique dans une vidéo Xu Xiaodong, un champion de MMA qui gravite autour du journaliste.
Inquiète, sa mère lance un appel à l'aide sur les réseaux sociaux. Elle est finalement contactée par les autorités, qui lui annoncent que son fils a été placé en quarantaine pour raisons médicales. Pour ses proches, le motif de sa disparition est autre. "Je lui ai parlé juste avant et il était en bonne santé, ils veulent juste le faire taire", accuse son ami. Sa quarantaine devait prendre fin le 19 février, mais le trentenaire n'a toujours pas donné signe de vie.
"Résistez, citoyens !"
Difficile de savoir combien de Chinois ont, comme eux, disparu. Contrairement à Chen Qiushi et Fang Bin, de nombreux lanceurs d'alerte et critiques du pouvoir ont été arrêtés sans attirer l'attention des médias occidentaux. C'est le cas de l'ancien prisonnier politique Ren Ziyuan, interpellé le 13 février pour avoir critiqué en ligne la gestion de l'épidémie par le pouvoir chinois. Xu Zhiyong, autre figure de la contestation chinoise, a quant à lui été arrêté le 15 février.
Selon un décompte de CHRD, en date du 7 février (et qui n'a pas pu être actualisé depuis), 351 personnes ont été "punies" pour "propagation de fausses rumeurs" sur le coronavirus. "Beaucoup de ces affaires ont donné lieu à des détentions administratives allant de trois à quinze jours", explique Renee Xia, la directrice de CHRD.
Nombreuses sont les personnes qui, après avoir posté des messages critiques sur internet, ont été emmenées au poste de police, où elles ont été questionnées, intimidées ou assignées à résidence sous prétexte d'une mise en quarantaine.à franceinfo
Le juriste Xu Zhangrun, un des rares intellectuels à avoir remis en cause publiquement la politique de Xi Jinping, en a fait les frais. D'après le Guardian (en anglais), l'universitaire a été privé de ses moyens de télécommunication à son retour à Pékin, après un séjour dans sa province natale. "Il a été confiné chez lui au prétexte qu'il devait être placé en quarantaine", a affirmé un témoin au journal britannique.
Mesure sanitaire ou tentative de musellement ? Deux semaines avant d'être assigné à résidence, Xu Zhangrun avait publié un essai passionné (en anglais) sur la gestion de l'épidémie, dans lequel il dénonçait un "régime corrompu" ayant favorisé "l'inefficacité et le chaos ". Conscient des risques encourus, il concluait ainsi son texte : "Il est maintenant facile de prévoir que je vais faire l'objet de nouvelles sanctions. En fait, ceci pourrait bien être mon dernier texte."
Une prémonition partagée par Fang Bin. Juste avant de disparaître, le journaliste indépendant a publié sur sa page YouTube une étrange vidéo de 13 secondes. On n'y voit rien d'autre qu'un message inscrit sur une feuille de papier : "Résistez, citoyens ! Reprenez le pouvoir au gouvernement et rendez-le au peuple".
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L'ancien ancien porte-parole du groupe islamiste armé syrien Jaich al-Islam (Armée de l'Islam), Majdi Mustafa Nema, alias Islam Allouche, soupçonné de crimes de guerre, a obtenu un visa auprès du consulat de France à Istanbul pour étudier dans un institut de recherche français, a annoncé jeudi le ministère français des Affaires étrangères. "Un visa court séjour a été délivré sur la base d'un dossier complet, après interrogation des services ministériels compétents", a précisé la porte-parole du Quai d'Orsay, interrogée lors d'un point de presse électronique sur l'octroi du visa par le consulat à Istanbul, confirmant ainsi l'information donnée de sources proches du dossier. Nema a été interpellé mercredi dernier, après trois mois passés à Noailles dans le 1er arrondissement de Marseille.
La politique d'attribution des visas fait l'objet d'une compétente partagée entre le ministère de l'Intérieur et celui des Affaires étrangères. Les visas Schengen de court séjour sont attribués pour une durée de 90 jours.
Ancien porte-parole du groupe salafiste Jaich al-Islam, Islam Allouche a été interpellé le 29 janvier en France et mis en examen le 31 janvier, notamment pour "actes de tortures et complicité", "crimes de guerre" et "complicité de disparitions forcées". Il était enregistré comme étudiant à l'Institut de recherche sur le monde arabe et musulman (Iremam) de l'Université Aix Marseille, qui relève du Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Selon une source judiciaire, il se trouvait en France depuis novembre.
Le groupe Jaich al-Islam est notamment soupçonné de l'enlèvement le 9 décembre 2013 de l'avocate et journaliste syrienne Razan Zeitouneh, son mari Waël Hamada et deux de ses collaborateurs. Mme Zeitouneh avait été l'une des figures du soulèvement populaire lancé en mars 2011 contre le régime de Bachar al-Assad, et avait reçu cette année-là le Prix Sakharov des droits de l'Homme en compagnie d'autres militants du "Printemps arabe". Elle avait ensuite critiqué les violations des droits de l'homme commis par toutes les parties au conflit.
Par La Provence (avec AFP) 06/02/2020
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