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Depuis ce jeudi, le curé de Wormhout se trouve en garde à vue pour un fait de viol. La plaignante, une Zégerscappeloise de 18 ans, a dénoncé les faits qui dateraient de ce lundi. L’ecclésiastique aurait reconnu s’être livré à des faits de nature sexuelle.
Lundi, une jeune femme âgée de 18 ans, habitant à Zégerscappel, a poussé la porte de la gendarmerie pour dénoncer un viol dont elle aurait été victime de la part du père Raymond Mbélé, le curé de Wormhout, en charge de la paroisse Saint-Winoc, Saint-Folquin et de l’Houtland.
Un consentement mutuel ?
Dans le cadre d’une enquête en flagrance, l’homme d’église a été placé en garde à vue ce jeudi et interrogé par les enquêteurs de la brigade de recherche. Il aurait rapidement reconnu avoir commis des faits de nature sexuelle sur la jeune fille. Mais il conteste en l’état une relation imposée, évoquant un consentement mutuel. Ce n’est pas l’impression vécue par la plaignante.
Des investigations toujours en cours
La garde à vue du prêtre a été prolongée ce vendredi. Selon l’évolution des investigations qui ne sont pas terminées, il devrait être déféré ce samedi devant le parquet, qui décidera soit de l’ouverture d’une information judiciaire pour viol, nécessitant la saisie d’un juge d’instruction, soit de poursuites pour agression sexuelle accompagnées d’une convocation devant le tribunal correctionnel. L’archevêque de Lille a été prévenu de la situation, toujours sensible au sein de l’église et auprès des pratiquants. Les parents de la jeune femme sont eux-mêmes impliqués dans la vie de la paroisse.
Nommé en septembre 2015
Raymond Mbélé, âgé de 52 ans, originaire du Congo, a été nommé à la tête de la paroisse en septembre 2015. Après des études de philosophie et de théologie, il est entré dans les ordres en 1992.
La Voix du Nord du 03/05/2019
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— elie semoun (@SemounElie) 29 avril 2019
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Le dimanche 21 avril dernier vers 21h30, une cliente attablée à un bar à Lyon se fait voler son sac à main.
Rapidement, le personnel de l’établissement se lance à la poursuite du jeune voleur de 15 ans et tente de l’immobiliser.
Mais ce-dernier se débat et tombe dans le Rhône avec un agent de sécurité. Rapidement repêché, le voleur est gardé sous surveillance le temps que les forces de l’ordre arrivent sur place.
Mais le jeune de 15 ans a réussi à échapper à la surveillance de la sécurité et a décidé de re-sauter dans le Rhône.
Il traverse alors seul le fleuve à la nage, pour rejoindre l’autre rive… Il parvient à remonter sur le quai Jules Courmont, où les policiers l’attendent finalement.
Finalement, le mineur de nationalité Tunisienne a été récupéré par la police vers 21h50. Il a déjà été interpellé à 18 reprises et fait l’objet de 4 convocations au tribunal. Il sera bientôt jugé.
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Alors que Vox, le parti souverainiste qui croît sans cesse, réunit des milliers de gens lors de ses rassemblements (15.000 à Barcelone, presque 9.000 à Leganés, ceinture rouge de Madrid), les partis du Système ne parviennent, en revanche, qu’à en rassembler quelques centaines. Voilà des chiffres qui contredisent ceux que les instituts de sondage donnent pour les élections du 28 avril, où ils ne créditent Vox que de 15 % des suffrages. Il est vrai que, lors des dernières élections andalouses, ils n’accordaient à Vox que 1 ou 2 députés, alors qu’il en a obtenu 12. Si le même pourcentage d’écart devait se répéter maintenant, Vox aurait… la majorité absolue au Parlement !
Que se passe-t-il, en Espagne ? Il se passe que quelque chose d’énorme vient d’exploser. Et ce quelque chose a un nom : le sentiment national. Appelez-le nationalisme, si vous préférez, mais à la condition de lui enlever toute connotation chauvine : il n’en a aucune. Et lorsque ce qui éclate tient aux sentiments du cœur – à l’identité, à l’être – plutôt qu’à de simples raisons ou intérêts, c’est alors, et alors seulement, que les grandes choses, les grands mouvements historiques peuvent éclore.
Le succès grandissant de Vox, l’enthousiasme et la ferveur qu’il suscite, tient sur trois grands piliers que Santiago Abascal, le jeune président de Vox, a d’ailleurs clairement expliqués lors de l’interview accordée à François Bousquet dans le dernier numéro de la revue Éléments.
D’une part, le sentiment national : la lutte sans merci contre tous ceux qui, épris du grand dissolvant mondialiste (Soros, entre autres), voudraient liquider la nation espagnole et la remplacer par un essaim de petites unités chacune pourvue de sa propre cloche du village. Mais il y a plus. Affirmer la nation espagnole comme le fait Vox, cela veut dire en finir, aussi, avec la repentance que les gauches (toutes les gauches) et les libéraux (tous les libéraux) ont imposée à l’égard des deux faits majeurs de l’histoire espagnole : la Reconquista et la découverte et la colonisation de l’Amérique, la plus grande projection de la civilisation européenne jamais entreprise dans le monde.
Le deuxième grand pilier du succès de Vox, c’est le combat contre toutes les aberrations du politiquement correct : féminisme, animalisme, idéologie du genre… Ajoutez-y la lutte contre le Grand Remplacement et vous aurez, a contrario, tous les grands objectifs de la gauche de Podemos et des socialistes qui, avec l’oligarchie, sont « les grands ennemis de l’Espagne », disait Santiago Abascal lors de son dernier grand meeting, tandis qu’il réservait le terme d’« adversaires » pour les deux partis libéraux (Partido Popular et Ciudadanos), qui se bornent, eux, à suivre lâchement de tels objectifs.
Et pour le reste ? Le reste est, en quelque sorte, laissé dans une sorte de deuxième plan. Nous sommes dans une situation de véritable émergence nationale et civilisationnelle, une situation qui fait que tout, absolument tout, est axé sur ces trois grands piliers, les plus mobilisateurs, d’ailleurs, qui soient.
Le fait de ne pas souffler mot sur les ciments de l’économie capitaliste, cela permet-il de considérer que Vox n’est, au fond, qu’un parti libéral ? Si on y tient vraiment, on peut le considérer, certes, pour ce qui est des questions économiques. Reste que le principe dernier du libéralisme n’est pas d’ordre économique. Sa véritable clé de voûte – Alain de Benoist l’a suffisamment expliqué dans ses travaux –, c’est l’individualisme qui pourfend l’identité collective et nie l’enracinement historique : ce grand tout organique qui est supérieur à la somme de ses parties.
S’il en est ainsi, nul doute alors : aucun parti n’est plus antilibéral – ou disons plutôt illibéral – que Vox.
Javier Portella
pour le site Boulevard Voltaire
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Un tribunal allemand a condamné lundi Ousmane Dembélé à une amende pour avoir rendu, à l’époque de son transfert précipité pour Barcelone à l’été 2017, la maison qu’il louait à Dortmund jonchée de détritus. En litige avec son ancien bailleur allemand qui avait porté l’affaire en justice, l’attaquant français de 21 ans a finalement écopé d’une amende de 10.000 euros, desquels 4.000 euros seront déduits pour la caution, explique le quotidien Bild.
Le propriétaire réclamait à l’origine 21.000 euros de dédommagement de la part du champion du monde, une somme qui comprenait des arriérés de loyer, la réparation des dommages et d’autres frais annexes. « La maison n’était qu’une poubelle. Il y en avait dans chaque pièce. Quand je suis rentré dans la maison pour la première fois, j’ai pris peur. J’ai maintenant donné mon accord à ce dédommagement », a expliqué au journal le propriétaire de la maison, Gerd Weissenberg. Des photos publiées par le quotidien en novembre montraient des pièces complètement encombrées par toutes sortes d’objets personnels du footballeur.
Particulièrement frappant : Ousmane Dembélé semble s’être rendu à Barcelone pratiquement sans vêtements dont une grande partie est restée dans sa maison de Dortmund. De plus, de nouvelles serrures avaient dû être installées, l’attaquant n’ayant pas rendu une seule clé. Il n’avait pas non plus résilié le bail en temps voulu.
« Bien sûr, M. Dembélé gagne beaucoup d’argent. Mais il a aussi le droit d’être traité correctement. (Avec cette décision) nous avons fait un grand pas en avant aujourd’hui. Nous avons parcouru un long chemin, passant de 21.000 euros à un peu moins de 7.000 euros », a pour sa part déclaré l’avocat du joueur, Horst Kletke.
20 Minutes du 09/04/19
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Suite à son arrestation, Julian Assange vient de rendre public les dossiers de Wikileaks avec des informations ultra sensibles sur tous les pays à travers le monde depuis 1984.
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Un détenu âgé de 22 ans s’est évadé durant une « sortie luge » en Haute-Savoie. L’homme a été rapidement appréhendé alors qu’il venait d’embarquer dans un train.
Il restera plus longtemps derrière les barreaux. Ce 11 janvier, un détenu incarcéré au centre pénitentiaire de Bourg-en-Bresse (Ain) a participé à une « sortie luge » en Haute-Savoie, encadrée par des surveillants et avec l’accord du juge d’application des peines raconte Le Progrès.
C’est durant cette sortie à la neige, lors de la pause déjeuner à Annecy, que le détenu a demandé l’autorisation d’aller fumer une cigarette à l’extérieur. L’homme a alors pris la fuite et a embarqué dans le premier train sur lequel il est tombé.
Il a toutefois été rapidement interpellé, une station plus loin, à Rumilly alors que l’alerte avait été rapidement donnée.
Déjà condamné 14 fois
Le détenu de 22 ans, déjà condamné à 14 reprises, a expliqué, pour justifier son acte, qu’il subissait des pressions de la part de ses co-détenus et que ces derniers l’obligeaient à garder des téléphones portables avec lui, durant l’heure des fouilles.
L’homme qui était libérable le 18 avril prochain, a été condamné à une peine de prison supplémentaire de 4 mois.
Actu 17 9 avril 2019
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Cette décision fait suite à la publication par la presse de plusieurs témoignages de militantes, dénonçant des viols et des agressions sexuelles.
Panique au PCF. Neuf personnes issues du parti ou du Mouvement jeunes communistes français (MJCF) ont été exclues ou suspendues du parti, rapporte notamment Le Figaro.
Mise en place d’une cellule d’écoute
Les deux mouvements ont annoncé dans un communiqué, publié ce mercredi 10 avril, avoir signé une convention avec le Collectif féministe contre le viol, une association « apportant notamment un soutien moral, matériel et juridique » aux victimes de tels actes. Ils ont également mis en place une « cellule d’écoute indépendante, externe au PCF, afin de recueillir la parole des victimes, en toute indépendance ». Selon la direction du PCF, quatre membres du PCF et du MJCF ont été exclus et cinq autres suspendus.
Deux coordinateurs accusés de « protéger des agresseurs »
En février dernier, plusieurs médias avaient révélé et relayé des témoignages de militantes agressés sexuellement ou violés. L’Obs, notamment, avait dévoilé au grand jour que deux coordinateurs nationaux du mouvement avaient été accusés à la tribune du dernier congrès MJCF, le 27 janvier, de « protéger des agresseurs depuis plusieurs années en mettant systématiquement le blâme sur les victimes pour qu’elles quittent l’organisation ». Pour L’Obs toujours, la secrétaire générale de la Jeunesse communiste, Camille Lainé, avait indiqué avoir eu connaissance de 11 dossiers : six pour viols et cinq pour agressions sexuelles.
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