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Être la cofondatrice du mouvement Black Lives Matter, se présenter comme « marxiste » et acheter une villa à 1,4 millions de dollars dans un quartier quasi exclusivement blanc : la militante afro-américaine et LGBT Patrisse Cullors n’est pas à un paradoxe près.
Black Lives Matter : une certaine approche du marxisme
« Le problème avec le socialisme est que vous finissez un jour par avoir dépensé tout l’argent des autres », disait en son temps Margaret Thatcher. La citation de la « Dame de fer » pourrait être un sujet de réflexion pour la cofondatrice du mouvement Black Lives Matter en 2013, Patrisse Cullors. Cette Afro-américaine qui se présente comme « marxiste de formation » est accusée de fraude par certains après des révélations concernant l’achat d’une propriété à Los Angeles (Californie) qu’elle aurait réalisé pour un montant estimé à 1,4 millions de dollars. Cette femme âgée de 37 ans se présente par ailleurs comme une « combattante de la liberté »…
Enseignante dans le domaine « social et environnemental » au Prescott College, en Arizona, elle se veut aussi « artiste, auteur, éducatrice et abolitionniste » selon les informations que donne à lire son site web. Décidément très prolixe, elle a par ailleurs signé un contrat à l’automne dernier avec le studio de télévision et de cinéma Warner Bros. Le supposé « racisme systémique » dénoncé avec violence lors des manifestations Black Lives Matter du printemps 2020 n’étant donc pas toujours au rendez-vous.
La villa située dans un quartier blanc de Los Angeles
Quant au choix de l’emplacement de cette acquisition immobilière par la militante « antiraciste », il est lui aussi très surprenant puisque la propriété est située à Topanga Canyon, près de Malibu. Un secteur qui serait peuplé à plus de 88 % par des Blancs et où les Afro-américains représenteraient moins de 2 % de la population locale, indique le quotidien britannique The Sun. Voilà qui n’est pas sans paradoxe pour une militante marxiste de la cause noire tandis que la villa en question serait dotée de trois chambres, trois salles de bain et d’une très grande salle de réception.
En ce qui concerne la provenance des fonds, Patrisse Cullors, après le départ des deux autres cofondatrices Opal Tometi et Alicia Garza en 2020, est désormais seule à la tête du BLM Global Network Foundation, supervisant ainsi les divers chapitres locaux. La fondation, selon l’Associated Press, aurait reçu 90 millions de dollars de dons en 2020.
L’empire immobilier de Patrisse Cullors
Les accusations de fraude circulant sur les réseaux sociaux depuis quelques jours au sujet de la militante Afro-américaine ne s’appuient pas seulement sur l’acquisition de la villa de 1,4 millions de dollars à Los Angeles mais sur le fait que cette maison vient s’ajouter à deux autres biens immobiliers déjà acquis par Patrisse Cullors à Los Angeles selon le New York Post. Ce dernier a par ailleurs indiqué que la cofondatrice de Black Lives Matter disposerait au total d’un patrimoine de quatre maisons hauts de gamme rien qu’aux États-Unis pour un montant avoisinant les 3,2 millions de dollars.
Le même quotidien américain révèle aussi que celle qui est également une activiste LGBT aurait convoité une propriété aux Bahamas, dans un centre de villégiature ultra-exclusif où Justin Timberlake et Tiger Woods ont tous deux leur maison. Un secteur où les biens immobiliers se négocieraient entre 5 et 20 millions de dollars.
La résidence immobilière convoitée par Patrisse Cullors aux Bahamas. Source : Daily Mai
Crédit photo : Wikimedia Commons (CC/Steve Eason)
Sources : Breizh-info.com, 2021 - 13/04/2021
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On l'ignore totalement : au XVIe siècle, les esclaves blancs razziés par les musulmans furent plus nombreux que les Africains déportés aux Amériques.
On a pris aujourd'hui la mesure de la traite des esclaves noirs organisée par les négriers musulmans à travers le Sahara, ainsi qu'en direction du Moyen-Orient et des régions de l'océan Indien. On sait aussi que l'affrontement entre l'islam et la chrétienté a alimenté en maures et en chrétiens les marchés d'esclaves des deux côtés de la Méditerranée médiévale.
On évoque entre 1,3 millions et 2,5 millions de personnes déportées dont une partie du Sud de la France, l’actuelle Provence et le Languedoc. Il est très intéressant de se replonger dans l'histoire et il est bon de rappeler quelques "souvenirs oubliés", juste une mémorisation des faits retranscrits par nos historiens.
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Les élections régionales (si elles ne sont pas reportées) approchent et l’élection présidentielle se profile. Certains politiciens font une course effrénée à l’électorat « racisé » (lire d’origine extra-européenne). Les médias de grand chemin leur servent de porte-voix et leur permettent d’avoir une audience la plus large possible. Notre revue de presse montre que la bêtise le dispute parfois à l’aveuglement.
EMMANUEL MACRON, LE SANGLOT DE L’HOMME BLANC ?
Avant même d’être élu, en février 2017, Emmanuel Macron, candidat à la présidence de la république, déclarait lors d’un meeting à Lyon : « il n’y a pas de culture française ». Cela amenait Yves Jego à souligner dans les pages du Figaro que « cette déclaration n’est pas anecdotique, elle est même le signe inquiétant d’une vision destructrice de ce qui fait depuis toujours la spécificité de notre pays ».
On n’avait pas tout vu. Sous des airs de gendre parfait, l’ancien banquier d’affaire semble un « woke ». Le woke (« éveillé ») a un besoin constant de faire acte de contrition, car il a eu le tort d’être né blanc. Lors d’une conférence de presse en mai 2018, il ironisait sur la capacité de « deux mâles blancs » à prendre à bras le corps les problèmes de la banlieue, comme le soulignait Ouest-France.
En décembre 2020, le président de la république évoquait dans les colonnes de L’Express le « privilège blanc », cette théorie selon laquelle les blancs bénéficient de privilèges indus dans la société du seul fait de leur couleur.
Rien d’étonnant dans ces conditions qu’il nomme l’historien Benjamin Stora à la tête d’une mission sur « la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », comme nous l’apprenait Le Monde en juillet 2020. Benjamin Stora fait-il l’unanimité ? Le 25 mars au micro de Bercoff dans tous ses états, l’historien Bernard Lugan estimait que Benjamin Stora « écrit l’histoire de l’Algérie vue par le FLN. C’est un historien engagé. Stora a fait l’histoire officielle du FLN ».
LA LICRA, PAS ASSEZ ISLAMOPHILE
Difficile d’être « antiraciste » ces temps-ci, ceux qui le souhaitent sont souvent dépassés par leur gauche. Ainsi le Progrès nous apprend le 23 mars que « le syndicat Solidaires étudiants Lyon et le collectif féministe de Sciences-Po Pamplemousse ont demandé que la Licra soit exclue de la semaine dédiée à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme ». La raison : « les nombreuses ambiguïtés » de la Licra, « notamment vis-à-vis de son rapport à l’islamophobie, ainsi qu’à la laïcité ». La ligue contre le racisme (parfois mal intentionnée et souvent mal inspirée) ne serait donc pas assez antiraciste pour certains ? Comprenne qui pourra…A moins que les réticences contre l’islamisme soient un point de blocage ?
AUDREY PULVAR ET LES BLANCS QUI DOIVENT SE TAIRE
L’engagement politique d’Audrey Pulvar était connu bien avant qu’elle ne quitte son ancien métier de journaliste. Mais elle n’est pas à un revirement près quand elle sent le vent tourner. Ainsi en 2017, sur Twitter, réagissant sans doute à l’annonce d’une réunion interdite aux blancs, elle écrivait « l’afro-féminisme exclusif des blancs : j’imagine qu’un salon à l’accès interdit aux noir.e.s, ça vous irait aussi ? » Mais nous sommes désormais en 2021. Le mouvement Black Lives matters est passé par là. Il faut flatter le ressentiment des minorités qui deviennent un électorat de plus en plus important.
Voir notre portrait d’Audrey Pulvar https://www.ojim.fr/portraits/audrey-pulvar/
Le 27 mars, au micro de BFMTV, Audrey Pulvar déclarait sans ciller que le type de réunions « non-mixtes » entre personnes touchées par le racisme ne la « choque pas profondément », et qu’il devait être possible de demander aux personnes blanches qui souhaitaient y assister « de se taire ».
Pas de quoi choquer les soutiens de l’ex journaliste, puisque selon de nombreux médias comme Europe 1, c’est à droite que les propos d’Audrey Pulvar « font polémique ».
Cela amène Johan Margulies à réagir sur Twitter
UNIVERSALISTE MAIS PAS TROP
Mais même chez les universalistes, ceux qui prônent un républicanisme laïc s’affranchissant de la couleur de peau, difficile de ne pas céder à l’exclusion et à la diabolisation.
Quelques intellectuels ont signé dans L’Obs une tribune pour dénoncer les théories racialistes des décoloniaux. Jusqu’ici tout va bien. Mohamed Louizi, un ancien Frères musulmans, consacre une partie de son temps à dénoncer l’islamisme qui gangrène la société française. Il a été invité à co-signer cette tribune. Mais l’un des signataires a scruté son compte twitter. Mohamed Louizi a eu l’audace de souhaiter un « bon courage » à Damien Rieu qui s’engage en politique, dans les rangs du Rassemblement national, à l’occasion des prochaines élections régionales. Le scrutateur et signataire de la tribune a fait savoir à Mohamed Louizi que ce message « risque de mettre en difficulté les cinq signataires ». Accommodant, Mohamed Louizi a accepté de retirer sa signature de la tribune.
On commence à comprendre que l’on a affaire à une police politique qui non seulement trie les individus en fonction de la couleur de leur peau, car le blanc est forcément un oppresseur, mais également en fonction de leur aptitude à respecter un cordon sanitaire autour d’un parti qui a réuni 11 millions de vote au deuxième tour de l’élection présidentielle en 2017.
La gauche Terra Nova, qui postule que la gauche a définitivement perdu les ouvriers et qu’elle doit conquérir les minorités, fait-elle un pari gagnant ?
Pas pour Bernard Lugan qui s’exprimait à propos de la controverse entre la LICRA, pas assez islamophile et l’UNEF à Sciences Po Lyon au micro de Sud radio le 25 mars 2021 :
« Aujourd’hui le drame existentiel pour la gauche (…), je vois que l’universalisme de gauche qui a provoqué tout ce courant révolutionnaire, (…) est en train de disparaitre. Ils vont s’entredévorer sur les ruines des droits de l’homme, du libéralisme, de ce qu’on appelle la république et de toutes ces philosophies universalistes que par orgueil philosophique nous avons tenté d’imposer au monde ».
30 MARS 2021
© Observatoire du journalisme (Ojim) 2012-2021
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Il existe plusieurs approches différentes pour étudier la pathologie de la culpabilité chez les Blancs, notamment les approches linguistiques, historiques et religieuses. Il faut toutefois commencer par examiner d'un œil critique cette construction verbale branlante, une construction qui est apparue pour la première fois en Amérique il y a plusieurs décennies et qui a été défendue dans les médias et les universités depuis lors.
À première vue, l'expression « White guilt » défie les règles lexicales de l'anglais standard. Si l'on accepte cette expression comme un outil valable de communication sociale et politique, on pourrait tout aussi bien remplacer l'adjectif « white » par les adjectifs « brown », « yellow » ou « black ». Jusqu'à présent, cependant, aucun universitaire, aucun journaliste ne s'est jamais aventuré à utiliser les expressions « Black Guilt » ou « Brown Guilt », pour la simple raison que, du point de vue sémantique, ces expressions colorées sonnent ridicules dans la langue anglaise standard. La même règle lexicale ne s'applique cependant pas à la culpabilité blanche, une expression qui fait désormais partie du langage courant. En outre, d'un point de vue éducatif, l'expression « White Guilt » est conçue un guide prescriptif pour rééduquer et reprogrammer les Blancs, ou, en deçà, pour faire en sorte que les Blancs expient leurs péchés réels ou présumés de racisme. Inversement, toutes les autres catégories raciales non blanches sont automatiquement exonérées de tout sentiment de culpabilité et donc de toute nécessité de pénitence politique.
La difficulté de traiter le concept de « culpabilité des Blancs » est encore aggravée par l'impossibilité de le faire traduire correctement dans les langues non anglaises en Europe. Au cours des quatre-vingts dernières années, les départements de sciences sociales des universités américaines, contrôlés pour la plupart par des universitaires crypto-communistes, ont été à l'avant-garde de l'élaboration de termes politiques bizarres et de la création de nouveaux concepts politiques qui, une fois traduits et transposés dans les médias et les programmes scolaires européens, semblent étranges. En outre, des constructions verbales américaines mal définies, telles que « discours de haine », « formation à la sensibilité ethnique », « diversité », « suprématie blanche », « action positive », sont désormais devenues un élément essentiel de l'éducation et de la législation américaines. Ces expressions, lorsqu'elles sont utilisées dans d'autres langues européennes, produisent souvent des équivalents verbaux et juridiques inintelligibles.
Bien sûr, l'Europe a concocté ses propres expressions bizarres, surtout lorsqu'elles sont utilisées dans le cadre de procédures judiciaires contre des dissidents nationalistes devant des tribunaux locaux. Un exemple en est le nom composé abstrait et très envahissant de l'allemand actuel qui figure en bonne place dans le code pénal allemand, par exemple au paragraphe 130, qui porte le sous-titre diabolique « Volksverhetzung ». Ce nom composé de la langue allemande sonne très lourd et est un cas flagrant de barbarie linguistique, qui a déjà donné naissance à des dizaines de traductions anglaises erronées (incitation populaire, sédition, etc.). C'est aussi un mot qui, lors des audiences du tribunal, ne désigne jamais explicitement l'appartenance ethnique de l'accusé. Ce mot, que les procureurs allemands ont lancé depuis le début des années 1990 pour poursuivre les personnes socialement indésirables, a jusqu'à présent envoyé des milliers d'Allemands en prison pour des durées variables.
La question épineuse pour de nombreux citoyens américains et européens, quelles que soient leurs convictions politiques, est qu'ils prennent souvent ces expressions comme un indice de haute érudition, sans jamais prendre la peine d'examiner leur étymologie. Ou pire encore, ils n'examinent jamais le cas des personnes qui ont été les premières à mettre ces mots en circulation. L'expression « culpabilité blanche », ainsi que les centaines de termes similaires mal définis qui ont vu le jour aux États-Unis au cours des cinquante dernières années, n'est qu'un avatar enjolivé du défunt langage soviétique, qui contenait également une myriade de noms surréalistes et de phrases alambiquées similaires, tels que « démocratisation », « terroristes fascistes nationaux », « lutte antifasciste », « lutte socialiste contre les tendances bourgeoises contre-révolutionnaires », « autogestion économique », « coexistence pacifique », « tolérance interethnique », etc. Le système libéral aux États-Unis et dans l'Union européenne, ainsi que ses apparatchiks juridiques et universitaires, est maintenant dans le processus tardif d'actualisation de ce vieux jargon bolchevique.
Le cadre historique de la culpabilité des Blancs
La revue américaine The Occidental Quarterly a déjà dûment documenté la trajectoire historique et les principaux architectes de cette nouvelle révision verbale dont l'objectif final est la dépossession des peuples blancs. Il faut d'abord prendre en considération la période qui commence en 1945 et qui se poursuit après, une période qui a non seulement apporté un nouvel ordre politique, mais qui a aussi marqué le début de l'utilisation d'un nouveau vocabulaire politique aseptisé et diabolisant. L'Allemagne vaincue a fait les frais de cette nouvelle notion de la politique, bien que les citoyens des États-Unis et du Royaume-Uni victorieux aient rapidement emboîté le pas avec leur propre rhétorique auto-flagellante. Des mots tels que « colonialisme », « ségrégation », « éloignement racial », « apartheid » et « fascisme » sont rapidement devenus les métaphores du mal absolu, le « fascisme » désignant désormais à peu près tout ce qui se trouve à droite du centre. Au cours des soixante-quinze dernières années, l'Occident s'est lancé dans un jeu de passion pénitentielle dont les effets peuvent être observés aujourd'hui dans la plupart des médias. Soit dit en passant, la destitution du président Donald Trump par le Système était en grande partie due au fait que la rhétorique de Trump sur les « fausses nouvelles » était incompatible avec le message d'amour universel des médias qui a inspiré le récit de l'après-guerre tel que prêché par le Système.
Ce que l'on oublie souvent, cependant, c'est que la culpabilisation des Blancs dans le domaine politique s'est développée parallèlement à une criminalisation progressive de leur héritage culturel. Le rôle destructeur de l'Ecole de Francfort et de ses érudits, pour la plupart juifs et marxistes, dans l'inculcation du concept de culpabilité des Blancs a été amplement démontré dans de multiples études, bien que le lavage de cerveau des Blancs d'après-guerre ne puisse en aucun cas être attribué aux seuls érudits et militants juifs. J'ai essayé, il y a quelque temps, de résumer l'histoire des purges intellectuelles en Europe, qui ont commencé immédiatement après la fin de la seconde guerre mondiale et qui ont progressivement entraîné la croissance exponentielle du langage de la culpabilité, conduisant ensuite à l'abnégation suicidaire de millions d'étudiants et de politiciens blancs en Europe et aux États-Unis. Comme je l'ai noté dans Homo Americanus, Le traitement réservé par les Alliés aux enseignants et aux universitaires allemands était particulièrement dur. Comme l'Allemagne nationale-socialiste bénéficiait d'un soutien important parmi les enseignants et les professeurs d'université allemands, il fallait s'attendre à ce que les autorités américaines chargées de la rééducation commencent à filtrer les intellectuels, les écrivains, les journalistes et les cinéastes allemands. Après avoir détruit des dizaines de grandes bibliothèques en Allemagne, avec des millions de volumes partis en flammes, les puissances occupantes américaines ont eu recours à des mesures improvisées afin de donner un semblant de normalité à ce qui allait devenir plus tard « l'Allemagne démocratique ». (1)
De même, la vie intellectuelle française de 1944-1950 a été épurée et des centaines d'intellectuels anticommunistes et nationalistes ont été soupçonnés de collaboration fasciste, dont beaucoup sont devenus des objets de honte publique.
Dominique Venner écrivait :
« De toutes les catégories professionnelles, ce sont les journalistes et les écrivains qui ont été le plus durement touchés. Cela souligne le caractère idéologique du conflit et des purges qui en découlent. La proportion d'écrivains et de journalistes qui ont été abattus, emprisonnés et interdits d'exercer leur profession dépasse toutes les autres catégories professionnelles. Faut-il rappeler l'assassinat d'Albert Clément, de Philippe Henriot, de Robert Denoël, le suicide de Drieu La Rochelle, la mort de Paul Allard en prison avant les audiences et les exécutions de Georges Suarez, Robert Brasillach, Jean Luchaire [...] [ou] la condamnation à mort par contumace ou la commutation de peine de Lucien Rebatet, Pierre-Antoine Cousteau, etc. » (2)
Ironiquement, c'est grâce à la menace du communisme soviétique pendant la guerre froide que de nombreux penseurs et universitaires européens, auparavant interdits, ont réussi à réactiver leur carrière. Cela n'a pas duré longtemps. De 1950 à 1990, les agences de renseignement occidentales, avec les États-Unis en tête, ont dû s'appuyer fortement sur les compétences d'éminents universitaires et scientifiques anticommunistes et nationalistes blancs dans un effort pour contenir la menace soviétique telle qu’elle était perçue. La guerre froide terminée, avec la mort de l'Union soviétique en 1990, le Système, c'est-à-dire l'État profond, a commencé à retrouver son propre visage crypto-communiste répressif, répression frénétique qui a atteint son sommet ces dernières semaines, bien que couverte par le Covid, et dont la grande finale a été vue le 20 janvier 2021, lors du coup d'État du Système à Washington DC.
Le cadre religieux de la culpabilité des Blancs
Il n'est que partiellement correct de rejeter la faute sur les médias libéraux et les professeurs de collèges crypto-communistes d’avoir généré la culture de la culpabilité chez les Blancs. Pour tenter d'obtenir une réponse convaincante quant à la pathologie de la culpabilité des Blancs, il faut soulever quelques questions rhétoriques sur les enseignements chrétiens. Pourquoi les peuples chrétiens blancs, contrairement aux autres peuples d'autres races et d'autres religions sur Terre, sont-ils plus enclins à un altruisme excessif envers les groupes marginaux non blancs ? Pourquoi les sentiments de culpabilité sont-ils pratiquement inexistants chez les peuples non blancs ? Une réponse à ces questions peut être trouvée dans les enseignements chrétiens qui ont constitué un pilier important de la civilisation occidentale au cours des siècles. Au cours des cent dernières années, les élites libérales et communistes modernes ont agressivement promu ce même sentiment de culpabilité des Blancs, bien que sous leurs propres modalités athées, laïques et « multiculturelles ». On doit légitimement rejeter les palabres des libéraux ou des Antifa sur la culpabilité des Blancs, mais le fait est que le Vatican, la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, la Conférence des évêques allemands, ainsi que toutes les autres confessions chrétiennes d'Europe et des États-Unis sont aujourd'hui les plus grands promoteurs de l'immigration de non-blancs en Europe et en Amérique, ainsi que les plus fervents défenseurs de la culpabilité des Blancs. La prédication œcuménique de l'Église faisant miroiter l’avènement d’une cité mondiale sous un seul dieu, comprenant toute l'humanité, est pleinement conforme au dogme chrétien primitif sur la chute de l'homme et son éventuelle rédemption.
Il faut souligner que les premiers apôtres, évangélistes et théologiens chrétiens qui ont imposé le dogme de la culpabilité de l'homme étaient tous de naissance et sans exception des non-Européens (St Augustin, Tertullien, St Paul, Cyprien, etc.) d'Afrique du Nord, de Syrie, d'Asie Mineure et de Judée. Compte tenu de cela, le fait de considérer l'Islam ou le Judaïsme comme les seuls porteurs d'une idéologie anti-blanche agressive non européenne, comme le font de nombreux nationalistes blancs, tout en omettant de tenir compte du lieu de la première émergence du Christianisme au Moyen-Orient, ne peut être un signe de cohérence morale et intellectuelle. Le poète romain Juvénal décrit de façon très imagée, dans ses satires, la Rome de la fin du premier siècle, une époque où la ville grouillait d’une multitude de ribauds syriens, de Chaldéens adorateurs d'étoiles, d'escrocs juifs et d'escrocs éthiopiens, tous suggérant aux crédules de tous genres une rapide chevauchée vers le salut éternel pour les uns et une damnation éternelle pour les autres. Des croyances messianiques et rédemptrices similaires sur l'avenir radieux, sous la direction d'importants agitateurs bolcheviques primitifs, pour la plupart d'origine juive, ont trouvé leur nouvelle place, deux millénaires plus tard, parmi des intellectuels naïfs et des masses avides d'égalité. Après la chute du communisme, la même volonté messianique de punir les coupables qui défient la scolastique libérale et multiculturelle moderne a trouvé son porte-parole le plus bruyant parmi les néoconservateurs et les inquisiteurs antifa américains.
Ce n'est pas le lieu pour ressasser les propres divagations émotionnelles de Friedrich Nietzsche à l'égard des chrétiens, ni pour citer des dizaines de penseurs et d'universitaires qui avaient précédemment décrit le lien psychologique entre les premiers fanatiques juifs et chrétiens de la Rome du premier siècle et les commissaires communistes du début du XXe siècle. Les temps ont changé, mais l'obsession de savoir comment extirper ou rééduquer ceux qui doutent des mythes du Système n'a pas changé d'un iota. Le profil psychologique des fanatiques antifa américains des temps modernes et des professeurs d'université qui les soutiennent ressemble beaucoup à celui des masses chrétiennes déracinées, largement métissées et efféminées de la fin de l'empire romain. Le Juif Saül de Tarse, dit (Saint) Paul, et plus tard le Nord-Africain Augustin - à en juger par leur propre contrition convulsive - suggèrent qu'ils souffraient tous deux de troubles bipolaires. L'Épître de Paul aux Romains (7:18) peut être la clé pour saisir la version moderne des névrosés qui haïssent les Blancs, présentée aujourd'hui par d'éminents présentateurs de nouvelles télévisées et professeurs de sciences humaines : « Et je sais que rien de bon ne vit en moi, c'est-à-dire dans ma nature pécheresse. Je veux faire ce qui est bien, mais je ne peux pas. Je veux faire ce qui est bien, mais je ne peux pas. Je ne veux pas faire ce qui est mal, mais je le fais quand même ».
Walter F. Otto, un helléniste renommé qui a écrit des pages sublimes sur les dieux de la Grèce antique (3) et l'un des érudits les plus cités en ce domaine de la mythologie, décrit les différences entre la notion grecque antique et la notion chrétienne du sacré. Il note que les anciens Grecs païens mettaient l'accent sur les sentiments de honte, ignorant la signification des sentiments de culpabilité. Dans son livre encore non traduit, qui traite de la spiritualité chrétienne par rapport à la spiritualité grecque ancienne, il écrit:
« Des malades mentaux étaient leurs chefs ; les faibles se bornaient à les suivre. L'impulsion de ce grand mouvement (chrétien) est venue de l'apôtre Paul, c'est-à-dire d'une de ces âmes tourmentées qui portent en elles une blessure incurable. Sa haine furieuse et sanguinaire de la nouvelle foi (chrétienne), ensuite son engagement tout aussi furieux pour la faire triompher, son expérience extatique qui l'a fait passer d'un seul coup du statut de bourreau des chrétiens à celui de leur champion le plus fanatique - tout cela montre à quel point le [christianisme] était fondamentalement terrifiant et ce qu'il fallait attendre de sa spiritualité (4). »
À un moment donné, les Blancs devront réaliser que guérir de leurs sentiments de culpabilité présuppose une réévaluation critique de leurs origines d'inspiration judéo-chrétienne. Si les Blancs, dont les descendants vivent aujourd’hui en Europe et aux États-Unis, étaient autrefois tous désireux d'adopter la notion sémitique de péché originel, il n'est pas étonnant que deux mille ans plus tard, ils soient également bien programmés pour soutenir les diverses victimes nécrophiles de la Seconde Guerre mondiale, ainsi que pour écouter les fausses nouvelles diffusées par leurs politiciens. À terme, les Blancs devront prendre une décision quant au lieu où ils choisiront l'emplacement de leur identité. À Athènes ou à Jérusalem.
NOTES :
(1) T. Sunic, Homo americanus ; Child of the postmodern Age (Londres : Arktos, 2018), p. 75-76.
(2) Ibid, p. 88. (Traduit et cité dans Dominique Venner, Histoire de la collaboration (Paris : Pygmallion, 2000), p. 515-516).
(3) Walter F. Otto, The Homeric Gods (traduit par Moses Hadas) (Londres : Thames & Hudson, 1954).
(4) Walter F. Otto, Der Geist der Antike und die christliche Welt (Bonn : Verlag F. Cohen, 1923), p. 44.
Sources : Euro-Synergies 09/02/2021.
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Netflix mène , avec les grands studios de cinéma américain notamment , un travail progressif d’effacement de l’identité blanche et de la civilisation européenne sous couverture de diffusion culturelle.
Nouvel exemple en date avec la série Vikings : Valhalla, suite de la série Vikings qui va faire les frais des tentatives de négation culturelle.
Ainsi le jarl de Lade (Hlaðir) Haakon Sigurdsson (vieux norrois Hákon Sigurðarson, norvégien Håkon Sigurdsson) sera joué par Caroline Henderson, une actrice noire.
Non seulement historiquement, le jarl était un homme, mais bien évidemment, il était blanc. Surnommé le Puissant, né vers 937 à Lade et mort en 995 à Romol, aujourd’hui Melhus en Norvège. Il exerça le pouvoir dans ce pays avec le titre de jarl jusqu’en 995.
Synopsis de la série :
100 ans après les premiers vikings, l’histoire de leurs descendants, parmi lesquels les légendaires Leif Erikson, Freydis, Harald Harada et William Le Conquérant, des hommes et des femmes prêts à tout pour survivre dans une Europe en pleine mutation…
Vous en avez ras le bol de vous faire cracher dessus par Netflix ? Rien ne vous oblige à dépenser chaque mois une partie de votre argent dans un abonnement à cette chaine.
Sources : Breizh-info.com, 2021.
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