Le conflit à la frontière entre la Thaïlande et le Cambodge s’intensifie. Bangkok pourrait tenter de provoquer un changement de régime à Phnom Penh. Les États-Unis, la Chine et le Vietnam sont également impliqués en coulisses.
En Italie, des chercheurs viennent de réaliser une découverte presque miraculeuse. Dans la nécropole de San Giuliano, ils ont trouvé une tombe étrusque restée fermée depuis 2 600 ans.
Le résultat de cette subordination place les États-Unis sur la voie de la restauration de leur hégémonie unipolaire via des accords commerciaux séquentiels et déséquilibrés, alors qu’ils semblent viser les Amériques en priorité avant de finalement s’attaquer à l’Asie.
Hier, je me suis arrêté un instant pour penser à l'assassinat du chef de file gantois Jacob van Artevelde. Ce meneur populaire a su tirer habilement parti du début de la guerre de Cent Ans entre l'Angleterre et la France pour non seulement protéger le comté de Flandre contre le désastre économique, mais aussi contraindre les parties belligérantes à reconnaître la neutralité de cette même Flandre.
Lire la suite : Histoire : la bataille navale oubliée de L'Ecluse (Sluis)
La société dans laquelle nous vivons a un problème : elle a totalement perdu contact avec la réalité et vit immergée dans un monde imaginaire constitué de pensées prétendument solidaires qui, inévitablement, mèneront à la fin de la civilisation occidentale. On peut la qualifier de « fanatisme des droits de l’homme ». Une sorte de culte néo-humaniste qui place l’homme et sa prétendue liberté d’être ce qu’il veut au centre du cosmos. En allant à l’encontre des lois naturelles, voire même de la science elle-même, qui devient utile ou inutile selon les intérêts de ceux qui dictent les règles du jeu mondialiste. Les principaux médias qui véhiculent l’information dans le monde entier – via la télévision et Internet – font de leur mieux pour empêcher la population d’accéder à des informations, des analyses ou des commentaires qui ne soient pas au diapason de ce qui a été décidé ailleurs. Les raisons sont évidentes : conduire l’opinion publique à se convaincre de la beauté et de l’inévitabilité d’une société fondée sur le multiculturalisme, l’athéisme et l’individualisme égalitaire.
Lire la suite : L’insupportable fanatisme des « droits de l’homme »
Avec une ligne claire contre la migration et une orientation nationale, Sanseito devient une force sur laquelle il faudra compter dans la politique japonaise.
Tokyo – Lors des élections sénatoriales au Japon dimanche dernier, le parti Sanseito a enregistré sa plus grande victoire à ce jour. Avec 14 sièges, il entre de manière nettement renforcée dans le parlement de 248 membres, rapporte la plateforme Market Screener. Auparavant, il ne comptait qu’un seul siège. Au sein de la Chambre basse, il est toujours représenté par trois députés. Le parti s’était présenté avec la promesse de réduire les impôts, d’augmenter les dépenses sociales et de se concentrer davantage sur les questions migratoires. Il avait notamment mis en garde contre une « invasion silencieuse » de migrants.
Lire la suite : Le parti « Japon d'Abord » l’un des grands gagnants des élections sénatoriales
Page 16 sur 857