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Du lobbying pour des avions de combat à la fourniture d’obus à l’uranium appauvri, le Royaume-Uni s’assure que l’escalade soit la seule voie possible.
La semaine dernière, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a fait un voyage inattendu en Grande-Bretagne dans le cadre d’une tournée des capitales européennes, pour obtenir des armes plus puissantes et de plus longue portée pour sa guerre contre la Russie.
Le Royaume-Uni a montré, une fois de plus, le rôle prépondérant qu’il joue en Ukraine.
Lire la suite : Ukraine : la folie belliciste britannique conduit l’Europe à la catastrophe
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Je reproduis le texte d'une intervention en deux posts différents publiés sur ma page fb où je poursuis maintenant mon journal de recherche qui a animé les premières années de ce blog récemment négligé.
Pierluigi Fagan
En réponse au titre de l'article, clarifions d'abord le point de vue de notre discours. Notre point de vue est historique, nous regardons l'objet civilisation, la civilisation occidentale en particulier, du point de vue du cours historique. Le sujet est vaste et complexe et souffrira d'être réduit à quelques billets.
Cette civilisation, née avec les Grecs il y a deux mille sept cents ans, a été pendant plus de quatre-vingts pour cent de son temps un système local et interne. Pour le reste, à partir du XVIe siècle et jusqu'aux débuts de la période que nous appelons moderne, le système a connu un big bang inflationniste qui s'est étendu à toute la planète, non pas en absorbant l'espace, les peuples et la nature en son sein, mais en les soumettant et en les exploitant. Il convient de préciser qu'il ne s'agit pas ici de porter des jugements moraux, mais seulement de procéder à une analyse fonctionnelle. Au cours de ces cinq siècles, la civilisation occidentale s'est suralimentée en étant capable de nourrir son petit intérieur d'une domination relative sur un extérieur beaucoup plus vaste, c'est-à-dire qu'elle a pu compter sur de vastes et riches conditions de possibilité.
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On connaît le rôle de fichage de tout opposant aux narratifs officiels et à la propagande néo-conservatrice américaine fidèlement joué par Conspiracy Watch, organisme jusqu’ici mystérieux dirigé par Rudy Reichstadt, grand paranoïaque qui voit autant de complotistes (même Erdogan l’est, selon lui !) que Blanche-Neige ne voyait de nains dans la version adulte du conte de Grimm. Auditionné hier par le Sénat, Rudy Reichstadt a enfin révélé le montant de son budget et l’origine de ses fonds. Son intervention, faite d’auto-congratulation où Reichstadt se proclame lui-même organisme de référence (on n’est jamais mieux servi que par soi-même…), jette un éclairage nouveau sur la visée intentionnelle profonde de ses petites fiches mises à jour en mode Je suis partout !
Lire la suite : On sait enfin d’où vient l’argent de Conspiracy Watch… et tout s’explique !
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L’arrogance impériale d’Obama, ainsi que son mépris pour la Constitution, ont provoqué une tragédie.
Barack Obama a été élu président quelque 143 années après l’abolition de l’esclavage aux États-Unis. En 2008, en écoutant la larme à l’œil le discours de victoire d’Obama, prononcé au Grant Park de Chicago, les afro-américains étaient loin de s’imaginer que le premier président noir des États-Unis allait laisser derrière lui son propre héritage d’esclavage — en Afrique.
Lire la suite : L’esclavage provoqué par le premier président noir des USA
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« En d'autres termes, dans un État, qu'il soit démocratique ou totalitaire, les dirigeants doivent s'appuyer sur le consensus. Ils doivent s'assurer que les gouvernés ne comprennent pas qu'ils sont réellement au pouvoir. C'est le principe fondamental du gouvernement », Noam Chomsky.
Lire la suite : Noam Chomsky et les dix stratégies de manipulation des foules.
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« Il est temps », a annoncé le président Biden en avril 2021, « de mettre fin à la guerre interminable » qui a commencé avec l’invasion de l’Afghanistan peu après les tragiques attentats terroristes perpétrés contre ce pays le 11 septembre 2001. Et en effet, dès le mois d’août, dans le chaos et de façon désastreuse, le président a finalement évacué les dernières forces américaines de ce pays.
Un an et demi plus tard, il convient de réfléchir à la position des États-Unis quand on parle d’une part de cette guerre sans fin contre le terrorisme mais aussi concernant la guerre en général. Il se trouve que la guerre contre le terrorisme est loin d’être terminée, même si elle a été éclipsée par la guerre en Ukraine et les conflits qui couvent dans le monde entier et qui impliquent trop souvent les États-Unis. En fait, il semble que ce pays soit actuellement en train de très rapidement laisser derrière lui l’état de guerre sans fin pour entrer dans ce que l’on pourrait appeler l’ère de la guerre éternelle.
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