
Mardi 16 septembre, les experts d’une commission d’enquête internationale indépendante de l’Organisation des Nations unies sur le Territoire palestinien occupé ont rendu leur conclusion sur la situation dans l’enclave palestinienne, accusant Israël d’y commettre un génocide.
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Bien que pratiquée dans la majorité des pays du globe, la remigration ou le retour forcé des immigrés en situation irrégulière, est souvent taxée de lubie d’extrême-droite par les médias du système. Un système qui prétend que l’invasion migratoire serait inéluctable, et que tout changement de cap serait impossible. Mais plusieurs réalités européennes affirment le contraire et invoquent le manque de volonté politique. En Italie, une nouvelle réalité ayant pour but d’inscrire la question de la remigration au sein des hautes instances a émergé.

Par les exactions et les massacres commis à Gaza, l’Occident décadent se révèle dans toute sa turpitude. Il ne représente plus « l’Humanité » ou la « Communauté internationale » dans son ensemble, et heureusement, car ce mot, « Occident », restera dans l’Histoire lié à une infamie.
« L’Occident » est constitué d’un triptyque, ou d’une hydre à trois têtes, si vous préférez : Israël, l’Amérique et « l’Union européenne ». Israël dicte ses volontés à l’Amérique et l’Amérique dicte ses volontés à l’Europe.

John J. Mearsheimer, professeur de sciences politiques à l'Université de Chicago et figure majeure du réalisme offensif, publie en 2001 The Tragedy of Great Power Politics, un ouvrage fondateur en relations internationales. L'édition mise à jour de 2014 conserve la structure et les arguments centraux du texte original, mais ajoute un chapitre conclusif approfondi sur l'ascension de la Chine et ses implications pour les relations sino-américaines, rendant l'analyse plus pertinente pour le XXIe siècle.
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