Pour le bien de la cause. Une exhortation à la lutte pour une civilisation multipolaire
In memoriam de Darya Dugina
« Cette guerre spirituelle contre le monde postmoderne me donne la force de vivre. Je sais que je lutte contre l'hégémonie du mal pour la vérité de la Tradition éternelle ». Darya Dugina
Les dirigeants politiques de la coalition « Ampel » sont de « fidèles vassaux des États-Unis » !
Oskar Lafontaine a tenu des propos clairs dans une tribune publiée dans le Berliner Zeitung. L'ancien politicien de la SPD et de Die Linke y attire l'attention sur les dessous du conflit ukrainien, et plus précisément sur « l'image que les Etats-Unis ont d'eux-mêmes, à savoir qu'ils sont une nation élue qui prétend être et rester la seule puissance mondiale ».
Lire la suite : Oskar Lafontaine demande que l'Europe se détache des États-Unis
Dernièrement, il y a eu cinq cas d'utilisation de la novlangue dans le plan économique qui méritent d'être analysés, car pour le lecteur de la presse mainstream, les mots le trompent, ils relèvent de la novlangue.
De plus, celle-ci a atteint un point extrême où les mots dissimulent de terribles plans, un contrôle et une domination des masses impensables il y a seulement quelques années.
Jean III Sobieski
La bataille de Vienne du 12 septembre 1683, sur la colline du Kahlenberg défendue par le duc de Lorraine Charles V et secourue par le roi de Pologne Jean III Sobieski, met fin au second siège de Vienne par les Turcs.
Cette défaite majeure des Ottomans est le point de départ d'une campagne militaire de 16 ans qui permet aux Habsbourg de reprendre les territoires de Hongrie-Croatie, mettant fin à la menace ottomane en Europe centrale.
A méditer.
Les gauchistes font et refont l’Histoire à leur guise depuis des décennies (et l’enseignent dans nos écoles et nos universités du fait de leurs positions majoritaires et influentes au sein de l’Education nationale notamment). La guerre civile qui embrasa l’Espagne de 1936 à 1939 n’échappe pas à la règle de la grille de lecture idéologique de la gauche, une grille qui, par définition, ne tolère pas la moindre remise en cause, pas le moindre débat (sous peine de mise à l’index, et parfois même, de poursuites judiciaires).
Alors quand l’ancien militant communiste Pío Moa sort, en 2003, un livre intitulé « Les mythes de la guerre d’Espagne » et qui a été traduit et édité cette année en Français (L’Artilleur), forcément, on s’étrangle à gauche. La thèse principale de Pio Moa ? L’ancien militant communiste, engagé dans les GRAPO (Groupes de résistance antifasciste du premier octobre), d’inspiration maoïste, remettait en cause la présentation établie de la guerre d’Espagne comme une réaction républicaine à un coup d’État « fasciste ». Il défend l’idée que la guerre civile et l’instabilité qui en a découlé (avant reprise en main par Franco) fût volontairement recherchée dès 1931 par la frange radicale de la gauche espagnole pour promouvoir la révolution.
Tout le monde se rappelle la phrase prononcée par nombre de professeurs de géographie : « L’Ukraine est le grenier à blé de l’Europe. » Avant la guerre, l’Ukraine était le 4e exportateur mondial de blé, derrière la Russie, les Etats-Unis et le Canada. Elle était même sur le point de ravir la 3e place. À elle seule, l’Ukraine exportait 12 % du blé au niveau mondial. Certes, un volume important, dont l’éventuelle privation peut provoquer l’inflation des cours mondiaux mais pas pénuries et famines généralisées… De plus, si l’Ukraine est un fournisseur important, dont à destination des pays importateurs du bassin méditerranéen comme l’Égypte ou la Turquie, elle n’est pas l’unique ou monopolistique exportateur de céréales.
Je l'avais renommé Peter Pan quand, il y a cinq ans, lors d'un concert à Rome dans lequel, peut-être pour la dernière fois, avait également joué Junio Guariento, j'ai découvert que cet elfe éternellement jeune avait déjà soixante-dix ans. Il apprécia.
Lire la suite : Un modeste hommage à Jack Marchal par Gabriele Adinolfi
C’est la rentrée ! Mais la marche du monde ne s’est pas arrêtée pendant les mois de juillet et d’août. Certes, le système médiatique officiel français s’est vautré au cours de cette période de vacances dans une impressionnante complaisance climatique anxiogène. Les gigantesques incendies de forêts survenus en Gironde, en Bretagne, dans le Maine - Anjou ainsi que dans les Alpes et dans le Massif Central ont permis de désigner un responsable imparable : le réchauffement climatique. La sécheresse qui s’abat sur toute la France résulte aussi, selon la propagande médiatique, de ce même réchauffement. Quant aux violents épisodes orageux des 17 et 18 août dernier dans le Sud-Est et en Corse, c’en serait une conséquence indirecte. Salaud de réchauffement climatique !
Lire la suite : Retour sur un été incandescent par Georges FELTIN-TRACOL
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