Peut-être fallait-il un jeune Allemand pour écrire sur Jacques Doriot un livre objectif (1) ?
Le Wurtembourgeois Dieter Wolf avait huit ans quand la Seconde Guerre Mondiale a éclaté, il était encore au « gymnasium » quand la paix fut signée. Seul, son goût de l'histoire a pu lui apprendre les événements qui s'étaient déroulés dans l’entre-deux guerres et sous l'occupation, et lui faire connaître le nom des personnages qui y avaient été mêlés. Il n'a eu le temps ni d'être nazi, ni d'être antinazi, et la bourse que lui a octroyée l'Etat français pour qu'il puisse venir suivre, à Paris, les cours de l'Institut d'études politiques, n'a pas dû, a priori, lui donner mauvaise opinion de l'accueil français.
On se rend aisément compte de la somme énorme de travail que lui a demandée cette biographie du fondateur du P.P.F. : il a dû ingurgiter des centaines d'ouvrages et il a eu la bonne fortune d'être le premier à pouvoir prendre connaissance à Bonn des archives allemandes des Affaires Etrangères restituées par la France. Cela ne suffit pas à faire un historien. Il faut y ajouter la faculté de « digérer » la masse d'informations enregistrées, le don d'analyser les caractères, et surtout chose trop rare, le goût de la vérité. Rien de cela ne fait défaut à M. Dieter Wolf, et c'est ce qui fait le prix de son travail. Mais il lui manque évidemment d'avoir vu en pleine action ce puissant animal politique dont il retrace l'existence.
Il a cependant fort bien réalisé que Jacques Doriot était une force de la nature, « un être qui attirait et repoussait à la fois », au tempérament indomptable, à l'ambition illimitée, et dévoré de la soif du pouvoir. Si l'être eût été vil, il eût gardé moins d'amis fidèles parmi les garçons moralement irréprochables qui furent ses compagnons. S'il eût su se garder de la démesure, il eût évité de graves fautes qui entachent sa mémoire, même aux yeux de ceux qui, l'ayant regardé vivre, ont eu de la sympathie pour lui. Je suis de ceux-là, et je considère comme un grand malheur que le « grand Jacques », comme l'appelaient ses amis, n'ait pas mieux pesé des conseils qui eussent freiné les élans dangereux d'un naturel téméraire.
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Berlin veut couper court aux abus. Le gouvernement allemand a adopté mercredi un projet de loi restreignant fortement l'accès aux prestations sociales des immigrés en provenance de l'Union européenne, l'Allemagne, premier pays d'accueil de migrants intracommunautaires, voulant éviter de voir son système de protection sociale débordé.
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Alors que l’Europe est confrontée à une guerre qui est une guerre ethnique prétendant, pour des raisons d’opportunité tactique, se couvrir d’un voile religieux (il faut que le monde entier se plie à la loi d’Allah), le pape se conduit en criminel de guerre puisqu’il fait tout pour désarmer mentalement les Européens en les incitant, comme il le fait devant 600 000 jeunes réunis à Cracovie, à accueillir toujours plus nombreux des migrants et de soi-disant réfugiés au sein desquels les recrues pour le djihad pullulent, comme le savent parfaitement les services de renseignement de tous les pays, qui tirent en vain la sonnette d’alarme mais sont paralysés par des gouvernements qui refusent de voir la réalité en face (à l’exception de pays d’Europe de l’Est, comme la Hongrie, la Pologne, la Tchéquie, la Slovénie, qui se souviennent de leur Histoire et savent qu’avec l’envahisseur qui met en avant l’islam comme règle de vie obligatoire il n’y a pas de compromis possible).
Combien, parmi les pauvres naïfs, les imbéciles heureux qui applaudissent le pape, tomberont sous le couteau des égorgeurs ? Car la guerre ne fait que commencer. Il faudra qu’un jour le pape, comme d’autres, réponde du sang versé, par sa faute, aujourd’hui et demain.
Pierre VIAL
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