
Lawrence Auster (1949-2013) était l'un des principaux et des plus intéressants critiques américains en matière d'immigration. Sa critique de l'immigration s'inscrivait naturellement dans une vision traditionaliste du monde, qui incluait également la foi chrétienne et la préoccupation pour la civilisation occidentale. Auster a passé beaucoup de temps à décrire les autres critiques de l'immigration comme des nihilistes et/ou des antisémites, mais son analyse de la situation dans laquelle se trouvent les États-Unis et l'Europe est d'une grande valeur.

La magie de l'œuvre de Brasillach tient sans doute au fait qu'elle vient éclairer en nous le matin profond de notre mémoire. Tout se passe comme si les personnages des romans de Brasillach restent assez flou, assez peu précis pour que nous puissions les faire nôtres. Les intégrer à notre étymologie intime.
L'œuvre de Brasillach agit par « attouchements », non par argumentations ; elle ne prouve rien, mais fait éprouver. C'est pourquoi le ressort intime de Brasillach est la nostalgie, notamment de l'enfance.
Lire la suite : Brasillach et les souvenirs de la vie transfigurée par Frédéric Andreu

Une étude révolutionnaire publiée dans The Royal Society le 23 octobre 2024 propose un nouveau modèle d'évolution de la roue, basé sur des besoins concrets rencontrés par des mineurs dans les montagnes européennes.
EN BREF

Deux morts, 192 blessés, dont 22 gendarmes et policiers ont été blessés, dont 18 à Paris, ainsi que 7 pompiers ont donc été sacrifiés, ce 31 mai, au culte sauvage pratiqué par les adorateurs du ballon rond et les amis du Qatar. Les renseignements pertinents du préfet de Police Laurent Nuñez établissent au reste que l'affrontement sportif franco-italien n'était qu'un prétexte pour les casseurs et les pillards. Les voyous commencèrent leurs exploits dès la 51e minute de la rencontre. Le lendemain à 8 heures, on dénombrait officiellement 563 interpellations sur tout le territoire, dont 417 dans la capitale, aboutissant à 307 placements en garde à vue. Ni les appels au calme du président du PSG, l'honorable Nasser Al-Khelaïfi ni ceux du joueur vedette Ousmane Dembélé n'avaient été entendus.

Vous souvenez-vous de la célèbre phrase de Voltaire (« Je désapprouve ce que vous dites mais je défendrai jusqu'à la mort votre droit de le dire ») répétée jusqu'à l'épuisement pour la plus grande gloire des principes de tolérance, de démocratie et de coexistence civilisée ? Eh bien, il faudra s'habituer à ne plus l'entendre car il est en train de disparaître et sera bientôt complètement obsolète. Oui, les temps sont en train de changer. C'est certain. Même dans ce paradis artificiel de règles parfaites, de principes inébranlables et d'unanimité intouchable que nous appelons l'Union européenne, mais qui n'est que la parodie bureaucratico-techno-financière de l'Europe. Même là, l'irrésistible Voltaire semble destiné à céder la place au Big Brother d'orwellienne mémoire, et alors tant pis pour la démocratie et la souveraineté populaire. Et tout cela se passe - c'est là tout le paradoxe - dans un climat d'inquiétude permanente face à l'habituel « fascisme rampant » et au milieu d'une croisade interdite par les démocraties pour arracher l'Ukraine aux griffes de l'Ours russe. C'est donc, purement, de la foutaise.
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