Mardi 5 mars, au Centre Pénitentiaire de Condé sur Sarthe, un détenu radicalisé a tenté de tuer deux surveillants en criant « Allahou Akbar ». Il s’agit donc d’un acte terroriste, comme l’a reconnu la Ministre de la Justice.
Les deux victimes pénitentiaires ont été poignardées à plusieurs reprises, mais fort heureusement leur pronostic vital n’est pas engagé.
L’agresseur n’est autre qu’un islamiste, d’abord condamné à 28 ans de réclusion, puis à 30 ans en appel pour enlèvement et séquestration suivis de la mort d'un ancien résistant de 89 ans en 2012 !!! En 2015, il est de nouveau condamné pour d'apologie au terrorisme.
L’attaque au couteau a eu lieu au sein d’une Unité de Vie Familiale. Selon des sources concordantes, la compagne du détenu aurait dissimulé des couteaux en céramique, ainsi qu’une fausse ceinture d’explosifs, dans un faux ventre de femme enceinte. Elle n’ignorait pas qu’à partir du moment où le passage d’une personne ne déclenche pas l’alerte au niveau du portique de sécurité à son entrée en détention, alors il n’y avait pas lieu d’effectuer une palpation de sécurité.
Le Centre Pénitentiaire de Condé sur Sarthe est pourtant un établissement récent, qui se veut sécuritaire. Or, en l’absence de scanner corporel à ondes millimétriques, impossible de détecter un couteau en céramique ! Pas de sonnerie, donc pas de fouille corporelle (encore eût-il fallu l’accord de la « visiteuse » pour procéder à une fouille corporelle, même dans le cas où le portique sonne !!)
Il y a bien là deux poids, deux mesures. Il faut bien reconnaître que nous, honnêtes citoyens, sommes constamment fouillés et « palpés » : stades, concerts, musées, aéroports, parcs d’attraction… D’aucuns se sont vu refuser l’accès à Disneyland en raison d’un coupe-ongles ! Pourtant nous, honnêtes citoyens, nous plions à ces contraintes pour notre sécurité. Comment expliquer alors que l’Administration pénitentiaire n’impose pas les mêmes règles aux visiteurs de détenus dangereux ayant fait l’apologie du terrorisme ? Les Droits de l’Homme ne seraient donc applicables qu’aux terroristes ? Et comment expliquer que l’Administration pénitentiaire dispose du budget nécessaire à l’aménagement d’Unités de vie familiale à destination de ces terroristes, mais que son porte-monnaie soit vide dès qu’il s’agit d’équiper les surveillants ou de fournir du matériel efficace, comme les scanners corporels ?
Au-delà du choc de l’agression qu’ont subie ces deux malheureux surveillants, nous ne comprenons pas comment un individu présentant ce profil (radicalisé, dangereux, ayant écopé d’une très longue peine) a pu bénéficier des faveurs de l’Administration Pénitentiaire, qui l’a autorisé à passer du bon temps avec sa compagne au sein d’une Unité de vie familiale. Ce laxisme flagrant aurait pu coûter la vie à ces deux agents pénitentiaires. Tout ça pour satisfaire la philanthropie de certains « droits-de-l’hommistes », dont la bien-pensance dort tranquille quand des surveillants sont en danger de mort. Comment croire encore à une forme de rédemption pour ces individus fanatisés, ravis de mourir en martyrs ?
De surcroît, n’oublions pas que cette agression, pour médiatisée qu’elle soit, est loin d’être anecdotique : en effet, durant l’après-midi du 5 mars, un détenu radicalisé de Château-Thierry a agressé un surveillant à la gorge, à l’aide d’une lame artisanale. Selon la presse, le détenu "regardait en boucle les informations sur l'agression de Condé" avant de passer à l’acte...
La seule préoccupation actuelle de l’Administration Pénitentiaire semble être d’organiser le « Grand Débat National » en prison, tout en s’assurant qu’un maximum de détenus puissent s’exprimer et voter lors des prochaines élections européennes. Le tout entre deux appels téléphoniques, puisque la téléphonie fixe doit être prochainement installée dans chaque cellule.
Pour changer de politique carcérale, changeons de dirigeants ! Ou le pire se produira…
Charles Druelle
Nous relayons le communiqué de notre ami Roland Hélie de Synthèse nationale.
Nous nous associons bien évidemment à cette initiative.

Emmanuel Macron a annoncé dernièrement, lors du dîner du Crif, son intention de dissoudre le Bastion social. En s’attaquant à ce mouvement, il s’attaque à toute notre famille d’idée. Nous ne pouvons pas rester sans réagir.
Synthèse nationale prend donc l’initiative de lancer un appel pour que le Président revienne sur cette décision. Pour que cet appel soit entendu, il faut qu’il soit signé par le plus grand nombre possible de responsables politiques et associatifs, d’intellectuels, d’élus et de personnalités de la mouvance nationale.
Voilà pourquoi je vous propose de soutenir cet appel. Si vous êtes d’accord, il vous suffit de nous le confirmer en cliquant et en signant ici ou en écrivant à mon adresse :
N’hésitez pas non plus à le diffuser autour de vous.
Persuadé que vous serez nombreux à faire savoir votre détermination à vous opposer à cette décision liberticide.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Le texte de l'appel :
NON À LA DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL
UN APPEL AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
Le 16 février, un militant islamiste insulte l'écrivain Alain Finkielkraut. Le 20 février, au dîner du Crif, Emmanuel Macron annonce aux présents qu'il va, en conséquence, dissoudre le Bastion social, une organisation, habituellement considérée comme nationaliste révolutionnaire, qui consacre la majeure partie de ses activités à la défense de la culture européenne et à l'aide des SDF français.
On pourrait sourire de l'inconséquence de la décision du Président de la République française si elle n'était pas, en même temps, injuste, partisane et gravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles.
- Injuste, car aucun juriste sensé ne peut trouver dans les activités du Bastion social (ouverture de lieux communautaires, maraudes de soutien aux SDF, nettoyages de parcs, etc.) l'ombre du commencement d'une preuve que ce mouvement prône la violence et l'antisémitisme.
- Partisane, car on ne peut que remarquer qu'alors qu'on veut faire dissoudre le Bastion social pour des faits et des idées qu'il ne prône pas, les groupuscules zadistes et antifas qui de manière récurrente s'en prennent aux forces de l'ordre et aux biens tant publics que privés avec une violence qu'ils revendiquent sans honte ne sont sous le coup d'aucune menace de dissolution.
- Gravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles car elle remet en cause le droit a s'associer, ainsi que celui à exprimer leurs idées, de ceux qui ont le tort de professer des pensées et des comportement dissidents.
Les signataires, qui ne partagent pas forcément les idées du Bastion social sur de nombreux points, s'inquiètent de ce lynchage démocratique d'une association qui n'a comme réel tort que d'aimer son peuple et sa patrie et demandent au Président de la République de revenir sur ses intentions (1).
(1) - A la date de la rédaction de ce texte le Bastion social n'a pas encore été dissout.
TERRE ET PEUPLE BANNIERE NORMANDE
Courriel :
La Bannière Normande de Terre et Peuple vous invite à fêter l’Equinoxe :
Dimanche 31 Mars
Activité : Excursion d’environ 10 km
Thèmes : Parcours pédagogique sur les sites de la commune.
Géologie, archéologie, histoire, toponymie.
Rendez-vous : Manche (50) Le lieu sera communiqué après inscription
Départ : 10h sans faute et retour entre 17h et 18h
À prévoir :
Vêtements et chaussures de marche adaptés à la météo changeante.
Votre pique-nique et une gourde dans un petit sac à dos
Réservation : Présence ou absence à indiquer avant le 26 Mars
Participation : 2 euros par adulte
Important : Inscription par courriel uniquement
Thor Aie !

source : https://www.equinoxmagazine.fr
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