Ce qu'ils ont en commun :
1) l'idée que l'Occident peut se passer des combustibles fossiles et abandonner les moteurs à combustion alors que le reste du monde n'y pense même pas ;
2) l'idée que l'armée russe est technologiquement arriérée, qu'elle se bat avec des piques, qu'elle est dirigée par un fou et qu'elle s'effondre parce que nous envoyons nos armes aux Ukrainiens ;
3) l'idée que si vous êtes un homme mais si vous décidez ce matin d'être une femme, cela signifie que vous êtes une femme, point final, et que le reste n'est qu'arguties conservatrices et scrupules d'anachronique ;
4) l'idée que l'Europe peut survivre en tant que puissance économique en l'absence d'approvisionnement en énergie bon marché ;
etc. etc. ?
Ernst Jünger fut un maître inégalé de la contemplation, un mémorable exemple d'action, un théologien des temps nouveaux, un platonicien morose, un entomologiste compétent, un pédagogue de la liberté. Enfin, un amoureux de l'Italie, de la Dalmatie irrédente à la Sicile ensoleillée, de Naples à la plus aimée de toutes, cette Sardaigne à la « terre rouge, amère, virile, tissée d'un tapis d'étoiles, de tout temps fleurie à chaque printemps, berceau primordial ».
Lire la suite : Ernst Jünger, méditateur en uniforme et maître de la liberté
Le sommet de l'OTAN a clairement montré que la patience de l'Occident à l'égard de l'Ukraine dans son ensemble, et de Zelenski en particulier, touche à sa fin. L'OTAN est à bout de souffle.
En fait, je voulais écrire ma propre analyse sur ce que le sommet de l'OTAN a apporté à l'Ukraine et à Zelenski. Mais comme je suis actuellement en déplacement dans le Donbass, je n'ai pas pu le faire. Je traduis donc ici une analyse de l'agence de presse russe TASS que je trouve très pertinente et que j'aurais écrite moi-même de la même manière.
Lire la suite : Après le sommet de l'OTAN: la finale pour Zelenski se rapproche
Les âpres batailles dans la plaine de Troie racontées par Homère ont façonné l'imaginaire collectif des Européens pendant des millénaires. Nous avons tous lu ou entendu au moins une fois les récits de la colère du puissant Achille, de la fureur de Diomède ou de la loyauté dévouée d'Hector, et nous nous sommes délectés des voyages du rusé Ulysse pour rentrer chez lui après plus de dix ans de guerre. La guerre de Troie occupe une place si importante dans notre patrimoine culturel que, pendant des siècles, les historiens et les érudits se sont efforcés de rechercher sa véracité historique dans des documents ou, comme le grand Heinrich Schliemann, grâce à d'heureuses découvertes archéologiques.
Trois semaines après les dévastations subies par la France, tétanisés devant un réel qu’ils niaient et qui a fini par leur exploser au visage, les responsables politiques n’ont qu’un remède à proposer : l’« ASSIMILATION ». Vieil avatar de l’utopie universaliste, cette nuée ne permettra évidemment pas de transformer ceux qui « niquent la France » en Français de cœur… Retour sur l’histoire.
L’attitude actuelle des policiers, que les médias appellent « la fronde des policiers », séduit un certain nombre de nos amis qui pensent y voir la démonstration que la police s’émancipe du régime et du macronisme. Je tiens absolument à rappeler ceci :
Lire la suite : De la « fronde » policière (un autre point de vue justifié !)
Une information révélée en mai dernier et dont les médias parlent très peu.
Pour celles et ceux qui n’étaient informés de cette affaire, Lecourrier-du-soir.com vous explique tout
« D’après une révélation faite par Libération ce 09 mai, Christian Rabaud, nouveau directeur général de la Santé, a touché plus de 33 000 euros des géants pharmaceutiques, dont Pfizer, Moderna et Johnson&Johnson.
photo 1/12© AFP
La promotion Senghor de l’ENA est en passe de rentrer dans l’Histoire de la politique française.
On connaissait déjà la promotion Voltaire de l’Ecole national d’administration (ENA) dont sont issus François Hollande, Ségolène Royal, Michel Sapin ou encore Dominique de Villepin. Place maintenant à la nouvelle génération et à la promotion Senghor (2002-2004). De nombreuses personnalités, des quadra qui sont aujourd’hui installés à des postes d’importance, appartiennent en effet à cette même fournée d’étudiants. Avec comme tête d’affiche , Emmanuel Macron évidemment, sorti 5e de sa classe.
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