Mardi 2 mai, Gérald Darmanin, interviewé sur BFMTV, faisait état de 406 policiers et gendarmes blessés durant les manifestations du 1er mai, dont un jeune policier de 28 ans, brûlé par un cocktail Molotov envoyé sur les forces de l’ordre.
Les fonctionnaires et leurs représentants parlent désormais de tentative de meurtre et le parquet de Paris a d’ailleurs ouvert une enquête pour tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité publique.
Les « black blocs », ces individus qui infiltrent les manifestations pour casser et s’en prendre aux forces de l’ordre, sont dans le collimateur, et une question domine le débat public : beaucoup d’entre eux étant connus des services de renseignement, pourquoi ne les empêche-t-on pas de venir sur les manifestations ?
Le 7 mai 1994, Sébastien Deyzieu (1972-1994), militant nationaliste révolutionnaire de l’Œuvre française, répondit à un appel à manifester contre l’impérialisme américain.
Quelques jours plus tôt, Philippe Massoni avait pris un arrêté pour interdire cette manifestation de « Bienvenue aux ennemis de l’Europe ». La racaille républicaine maçonnique obéissait aux ordres du gouvernement d’Édouard Balladur, de son acolyte Nicolas « l’Américain » Sárközy, et de leur ministre de l’Intérieur Charles Pasqua. Ce dernier l’y avait nommé juste un an plus tôt.
Les cyberattaques sont le plus souvent le fait de cybercriminels qui exploitent les vulnérabilités d’un système ou d’un ensemble de process. Cela peut arriver à chaque entreprise si les bonnes pratiques en matière de cybersécurité sont ignorées. Les cybercriminels profitent de l’ignorance des équipes pour lancer leurs cyberattaques et mettre en péril l’ensemble d’une organisation.
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Les mythes qui ont contribué à la naissance d'un culte mondial pour les États-Unis, le rêve américain et l'American way of life, sont en train de mourir. Le tueur est l'Amérique elle-même, dont le corpus de valeurs salubres a été remplacé par les dégénérescences du libéral-progressisme et dont le modèle capitaliste, jadis référence des nations et pôle d'attraction des migrants du monde entier, vit dans l'agonie de crises intermittentes.
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Conséquences de la guerre. Pour comprendre les conséquences à court et à long terme de la guerre en Ukraine sur l'économie mondiale, il faut partir des processus qui modifient les actifs et les relations de pouvoir entre les zones économiques et les États. En particulier, les processus impliquant le groupe Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), qui représente la semi-périphérie émergente du système économique mondial, et le G7 (États-Unis, Japon, Allemagne, Royaume-Uni, France, Italie et Canada), qui représente le centre riche et dominant, doivent être étudiés.
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