{xtypo_dropcap}L{/xtypo_dropcap}’armée française a récemment effectué des manœuvres de nuit. Pour la première fois le terrain choisi était une petite ville, Aigues Mortes. A leur grande surprise, les habitants ont vu (et entendu !) toute la nuit des groupes de soldats en tenue de guerre et tiraillant (à blanc) dans tous les azimuths. Intrigués, pour le moins, certains citadins ont demandé les raisons de cette fantasia. Réponse d’un des officiers en charge de la manœuvre : « Il nous faut bien, désormais, nous entraîner au combat de rue... ». Traduction en clair : la guerre urbaine est programmée. Guerre urbaine, c’est à dire guerre civile. C’est à dire guerre ethnique.

Nous y voilà.

 

Un « détail » cloche, tout de même : l’armée « française » comprend de plus en plus dans ses rangs, avec la bénédiction des autorités, des gens d’origine non-européenne. Quelle sera leur attitude lorsqu’ils auront à tirer sur des gens de même origine qu’eux ? Lors d’une émission de télévision de FR3 destinée à célébrer avec enthousiasme le recrutement dans l’armée de non-Européens, une jeune engagée d’origine maghrébine a mis les pieds dans le plat en posant la bonne question : « S’il y a une guerre entre la France et l’Algérie, qu’est-ce que je fais ? ». Personne n’a eu le courage de lui répondre…

 

L’Église orthodoxe entre en guerre, en Grèce, contre ceux qui veulent rester fidèles à l’esprit authentique de la tradition des Jeux Olympiques et dénoncent à ce sujet « le caractère commercial » de JO « qui constituent une parodie et n’ont rien à voir avec les Jeux antiques ». Ce qui suscite, en fait, la hargne de l’Église orthodoxe c’est l’appartenance religieuse de ceux qui critiquent le caractère marchand donné aux JO. Ils revendiquent en effet avec fierté leur attachement au paganisme polythéiste de la Grèce antique. Et s’inscrivent ainsi dans le courant spirituel qui se développe un peu partout au nom du droit à l’identité. Illustration de cette tendance : en juin prochain se tiendra à Athènes le 7e « Congrès mondial des religions ethniques » regroupant des délégués venant de 16 pays d’Europe, d’Asie et d’Amérique. De quoi donner de l’urticaire aux porteurs de soutanes...

 

En France, après les élections régionales et cantonales, on prend les mêmes et on recommence. Or les maîtres du pouvoir, qui s’accrochent, sont (tout autant que les gens de gauche) l’incarnation de la volonté de destruction de notre identité. Sarkozy, c’est l’homme de la « discrimination positive » - en clair, favoriser par principe et systématiquement, à tous les niveaux de la société, les gens qui ne sont pas d’origine européenne. Raffarin, c’est celui dont la première déclaration, lorsqu’il fut nommé pour la première fois premier ministre, fut : « La France est un pays métis et le restera ». Quant à Chirac, le responsable du regroupement familial des immigrés, il a déclaré : « Les racines de l’Europe sont autant musulmanes que chrétiennes » (Le Figaro, 29 octobre 2003), ce qui est très exactement le discours des islamistes les plus catégoriques quant à leur volonté de colonisation de l'Europe. Ces gens sont, très clairement, pour les peuples européens des ennemis mortels.

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