BREIZH : Avant-garde dans le flanc purulent du jacobinisme multiracial

BREIZATAO – PENNAD STUR (13/05/2012) Ceux qui s’avancent avec la connaissance des lois fondamentales de l’ordre naturel primeront toujours ceux qui s’en affranchissent. Aujourd’hui ne fait pas exception, malgré le travail inouï de sidération médiatique comme de (dés-)éducative perpétré par le régime français.

Nous n’avons, pour notre part, pas peur du mot race. La race est un fait, un fait qui n’est pas exempt de complexité. Comme tout fait, il n’est pas dominé par les passions et encore moins la morale. Il répond aux lois qui assurent au cosmos son fonctionnement primordial. L’opportunisme antiraciste actuel correspond, pour la caste française dirigeante, à une fuite en avant désespérée face à un naufrage intégral du son projet politico-idéologique : le jacobinisme universel.

La race a ceci de désagréable qu’elle ne se fait pas achetée. Pas plus que le soleil qui, n’en déplaise aux uns et aux autres, se couchera ce soir, comme tous les soirs. Le jacobinisme dans l’hallucination collective qu’il entretient repose quoiqu’il arrive sur une erreur. L’État Français a dégénéré.  Capturé par des cliques étrangères, il ne peut plus faire que leur politique. Cet État, en sciant la branche sur laquelle il est assise – le substrat ethnique germano-celte – ruine ses capacités de survie. Il perd sa raison d’être et ne peut plus être qu’un parasite luttant contre les peuples l’ayant engendré.

Ainsi, l’État Français est le vampire cannibalisant les parties saines du peuple. Il ne peut se maintenir, dans sa forme dégénérée, qu’en affaiblissant les populations qu’ils dominent. En créant un corps étranger auxiliaire, le corps immigré, il renforce encore cet affaiblissement des indigènes. Il s’en félicite bruyamment. L’imbécile, dans son aveuglement, ne se rend pas compte qu’il se rit de sa propre disparition. Cet État privé du sang qui lui insufflait sa raison d’être comme sa force s’achemine infailliblement à sa ruine. La seule question en suspend est donc “quand”.

La bourgeoisie, infectée de morale universaliste, d’individualisme égalitaire et de matérialisme, se trouve en fait à l’avant garde de cette déchéance. Elle ne diffère de ses opposants qu’en degré et non en nature. Les questions entre une “gauche” et une “droite” républicaines sont nulles et non avenues. Tel n’est plus l’enjeu.

BREIZH en tant que réalité possible d’un peuple breton redressé est ce danger potentiel sur le flanc du jacobinisme lancé à pleine vitesse vers l’abîme. BREIZH ne peut donc qu’intégrer le facteur ethnique et racial, être la conscience celtique et européenne réelle. Elle est la conscience de la plus vieille mémoire et, par là même, la source de jouvence pour les Bretons du monde à venir.

Le jacobinisme a parfaitement intégré la donnée raciale. Il a simplement pris le contre-pied vis-à-vis des peuples réels attachés à leur survie. Nous avons expliqué pourquoi plus haut. Aussi nous devons toujours garder à l’esprit le facteur racial sans exclure tous les autres pour autant. Mais quiconque s’en émancipe se livre par là même au déclin et à la disparition.

Les clivages du XXIème siècle intègrent ceux de la race et de l’ethnie. Nous avons remisé les vieilles lunes de l’égalitarisme suite à la manifestation de leur propre impuissance. Ceux qui s’opposent à l’intégrité du peuple comme communauté de chair et de sang sont les réactionnaires des temps nouveaux. Ceux qui le nient sont les menteurs des temps anciens. Leur pouvoir s’efface et ils n’ont que le mesonge pour se maintenir encore sur la scène. La démagogie la plus basse est leur usage le plus commun.

Aussi quiconque s’oppose à l’immigration suicidaire s’avère être plus proche de nous que l’idiot qui ne retient de notre mémoire ethnique que les manifestations folkloriques, se gargarisant dans le même temps des singeries de tel ou tel allogène. Quiconque défend l’universalisme racial est du côté de la réaction. Qu’il défende la langue bretonne ou s’y oppose.

Un arbre peut perdre sans danger quelques branches. Il ne survit pas à la destruction de sa souche. Nous ne devons pas oublier ce principe indestructible : Maîtres chez nous.

 

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