Une expérimentation alimentaire risquée sur des millions d’Européens ! Une autorisation précipitée et controversée Le 20 janvier 2025, à peine remise d’une prétendue pneumonie, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a signé l’autorisation de mise sur le marché d’un nouvel aliment destiné à la « population générale ». À partir du 10 février 2025, la société française Nutri’Earth est autorisée à commercialiser de la poudre traitée aux UV de larves entières de Tenebrio molitor, communément appelées vers de farine.
Une expérimentation alimentaire à grande échelle Cette décision ouvre la voie à l’introduction de protéines d’insectes dans une variété de produits alimentaires courants, notamment le pain, les gâteaux, les pâtes, les produits à base de pommes de terre, le fromage et les compotes de fruits et légumes. Les consommateurs européens pourraient ainsi consommer ces insectes sans en être pleinement conscients, transformant la population en cobayes d’une expérimentation alimentaire à grande échelle.
Des risques ignorés pour la santé Bien que l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) ait conclu que cette poudre est « sûre dans les conditions d’utilisation proposées », elle a également mis en garde contre des risques potentiels d’allergies, notamment chez les personnes allergiques aux crustacés et aux acariens. De plus, la chitine, un composant majeur de l’exosquelette des insectes, pourrait poser des problèmes de digestion et d’absorption chez l’homme, des effets encore insuffisamment étudiés.
Une analogie troublante avec les vaccins ARNm Cette situation rappelle l’introduction rapide des vaccins ARNm, déployés massivement sans recul suffisant sur leurs effets à long terme. De même, l’incorporation de protéines d’insectes dans l’alimentation humaine se fait sans études approfondies sur les conséquences potentielles pour la santé, sacrifiant une fois de plus le principe de précaution sur l’autel de l’innovation.
Une décision antidémocratique et opaque La manière dont cette autorisation a été accordée soulève des questions sur la transparence et la démocratie au sein des institutions européennes. Les citoyens européens ont-ils été consultés ou informés de cette décision qui affecte directement leur alimentation quotidienne ? Pourquoi une telle précipitation à introduire ces « nouveaux aliments » sur le marché, sans débat public ni information claire ?
Exigeons la transparence et le respect du principe de précaution Il est impératif que les autorités européennes fassent preuve de transparence et respectent le principe de précaution en matière d’alimentation. Les citoyens ont le droit de savoir ce qu’ils consomment et d’être protégés contre des expérimentations alimentaires potentiellement dangereuses. Ursula von der Leyen doit rendre des comptes sur cette décision controversée qui engage la santé de millions d’Européens.