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Geoffroy Roux de Bézieux, le président du MEDEF, le syndicat du CAC 40, ne fait pas dans la nuance. Dans un entretien au Figaro du 10 avril dernier, il déclarait que pour sortir de la crise économique imputée au coronavirus, les Français devraient travailler plus longtemps, avoir moins de congés payés et accepter de perdre des jours fériés. La rengaine n’est pas nouvelle. Elle démontre qu’en digne héritier des négriers industriels des XIXe et XXe siècles, le MEDEF s’accroche encore à de vieilles lunes.
L’automatisation, l’informatique et la robotisation modifient durablement les conditions de travail. Déjà, à la fin des années 1960, les grands patrons ont poussé Pompidou à privilégier l’immigration de main-d’œuvre étrangère aux dépens de l’installation, certes coûteuse au départ, des premières chaînes de montage automatiques qui auraient probablement évité l’actuel « Grand Remplacement » [comme cela a été le cas au Japon ; [NdR].
Sans la pandémie de covid– 19, le mois de mai 2020 eut été propice à de courts séjours touristiques grâce à quatre sympathiques « ponts » : les 1er, 2 et 3 mai; les 8, 9 et 10 mai; les 21, 22, 23 et 24 mai pour l’Ascension, et même les 30 et 31 mai ainsi que le 1er juin pour la Pentecôte.Tous ces ponts ne peuvent qu’enrager les hiérarques du grand patronat. Ils aimeraient un monde dans lequel les salariés trimeraient deux cents heures par semaine pour un demi euro et donneraient à leur direction cent, deux cents ou trois cents euros chaque mois dans l’espoir de garder leur emploi.
Le MEDEF ne représente qu’une minorité de patrons, vrais bureaucrates du capital. Ce ne sont pas des capitaines d’industrie audacieux prêts à hypothéquer leurs biens personnels pour la bonne marche de leur entreprise. Ces aventuriers économiques se retrouvent chez les artisans, les indépendants et les chefs des petites et moyennes entreprises, soit les plus affectés par le confinement imbécile et pour qui les aides exceptionnelles de l’État sont compliquées à obtenir en raison d’une paperasserie administrative proliférante.
En 2020, la productivité française ne repose plus sur la durée journalière du temps de travail, les 35 heures par semaine, les cinq semaines de congés payés, le repos dominical et les onze jours fériés (hors particularités propres à l’Outre-mer). La demande du grand patronat de les réduire rejoint les exigences répétées des multiculturalistes qui remplaceraient volontiers une à deux fêtes chrétiennes par une à deux autres fêtes monothéistes exogènes. Les deux groupes œuvrent de concert.
Déplorable Premier ministre du sinistre Chirac, le Poitevin Jean-Pierre Raffarin a rétabli en 2004 la corvée seigneuriale avec la « journée de solidarité » prévue à l’origine pour parasiter le lundi de Pentecôte. Il s’agissait par un jour de travail gratuit de financer la dépendance des personnes âgées sans jamais solliciter le capital et les « parlementeurs ». Le pognon ainsi soutiré aux travailleurs permet en fait de rembourser les intérêts de la dette abyssale de l’Hexagone.
Reporter le plus tard possible l’âge légal de la retraite, rogner sur les congés payés, augmenter la durée hebdomadaire et quotidienne du temps de travail, supprimer des jours fériés, voilà les propositions soi-disant innovantes d’une clique patronale aveugle aux nouveaux enjeux. Ces bouffons déphasés s’enferrent dans leur incompétence libérale policière progressiste et continuent à regarder la décennie 2020 avec les lunettes de 1880 ! Le grand patronat composé de fonctionnaires salariés pantouflards payés à coup de stock options et de parachutes dorés ne saisit pas l’imbrication croissante des questions sociale, écologique et nationale (ou identitaire). Peu importe, il sera tôt ou tard éjecté et remplacé par une élite nouvelle consciente des nouveaux défis.
Et s’il faut abroger des jours fériés, plutôt que de s’attaquer aux célébrations chrétiennes, que la « Ripoublique » hexagonale commence par réduire les siennes. Abolissons les funestes 8-Mai et 14-Juillet ! On ne peut pas se satisfaire de la sujétion de l’Europe par le bolchévisme de Wall Street et de la City. On ne peut pas non plus fêter la prise d’une forteresse royale qui n’accueillait qu’un noble incestueux, un fou, un apprenti-régicide et quatre faux monnayeurs. On ne doit pas non plus se féliciter de la fête organisée un an plus tard sur le Champ de Mars parisien et dont le déroulement cacha l’évidente duplicité des parties en présence.
Sans réclamer la reconnaissance officielle du 10 juillet 1940, il serait bien que le 27 juillet devienne la nouvelle fête nationale française en souvenir de la victoire de Bouvines en 1214. Allié au jeune prince des Romains Frédéric de Hohenstaufen et du pape Innocent III, le roi de France Philippe II Auguste gagna grâce aux milices communales des bourgs francs du Nord sur les troupes anglaises du roi Jean sans Terre, d’un comte de Flandre félon et de l’usurpateur impérial le guelfe Otton IV. Si on peut encore vibrer à l’évocation du sacre des souverains français à Reims, le récit de la Fête de la Fédération n’émeut guère. L’historien médiéviste et résistant français Marc Bloch voyait dans le ravissement commun de ces deux événements une preuve marquante de francité. Pour la circonstance, notre européanité l’emporte nettement.
par Georges FELTIN-TRACOL
Source : « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 170, sur Radio-Libertés ; http://www.europemaxima.com
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En intégrant le débat sur le projet d'application StopCovid à celui, général, sur le déconfinement, l'exécutif est accusé de passer en force. Une situation dénoncée à gauche comme au sein même de la majorité, où les réticences contre cette application sont fortes.
Oubliés, le débat et le vote à l'Assemblée nationale et au Sénat uniquement dédiés au projet d'application StopCovid . La volonté du gouvernement de présenter dès mardi le plan global de déconfinement lui permet de passer à la trappe ces étapes qui s'annonçaient sous haute tension au sein de la majorité. Sans oublier une gauche vent debout contre ce projet et une droite elle aussi très divisée sur la question.
L'exécutif anticipait une très forte abstention du côté des députés LREM, ce qui, au final, laissait augurer une courte majorité en faveur de l'application. Emmanuel Macron et Edouard Philippe sont très prudents sur ce projet porté par le secrétaire d'Etat au Numérique, Cédric O, mais ils ne pouvaient pas non plus le mettre de côté dans le cadre du déconfinement, sous peine de se voir accusés de refuser des outils.
C'est le Sénat qui est venu au secours du gouvernement. Gérard Larcher, le président de la chambre haute, était très réticent à l'idée d'organiser un débat et un vote spécifiques sur l'application StopCovid compte tenu des réserves de sa propre majorité sur ce projet. Il a donc poussé pour que le débat soit global. « Je suis un pragmatique ; le traçage, pourquoi pas ? Mais si nous n'avons ni masques ni tests, il ne nous protégera pas du Covid. C'est pourquoi j'ai demandé au président de la République qu'il y ait un débat global sur le déconfinement », a-t-il confirmé au « JDD ». L'exécutif a donc saisi cette opportunité.
Passage en force
Ce passage en force risque de laisser quelques traces. La disparition du débat dédié à StopCovid est dénoncée à gauche et passe mal au sein de la majorité. « Un vote unique sur le plan déconfinement (et donc sans possibilité de se prononcer sur le traçage numérique en tant que tel) et avec un nombre aussi réduit de députés ne correspond pas, au regard des enjeux, à un niveau de démocratie parlementaire suffisant », a dénoncé sur Twitter le député LREM Aurélien Taché, très opposé à cette application.
Comme les autres pans du déconfinement, Edouard Philippe a prévu d'évoquer cette application lors de son discours, mardi prochain, sachant que l'exécutif n'est pas encore sûr d'être prêt pour le 11 mai.
Malgré l'absence de débat et de vote, les députés de la majorité entendent rester vigilants. « L'utilité du traçage ne peut s'apprécier qu'à l'aune de la stratégie globale de déconfinement. Il est donc important que nous puissions avoir mardi cette vision d'ensemble. Pour autant, beaucoup de questions restent ouvertes sur l'application et il n'est donc pas question de s'épargner ce débat au Parlement. La commission des Lois va poursuivre son contrôle et ses échanges avec le ministre et la CNIL sur le développement de l'application et son utilisation », déclare aux « Echos » Yaël Braun-Pivet, présidente de la commission des Lois à l'Assemblée nationale.
Les Echos 26 avr. 2020
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Au centre d'une actualité morbide, avec des centaines d'anciens emportés chaque jour par le coronavirus, les Ehpad des Bouches-du-Rhône ont également été dans la ligne de mire d'une équipe de malfaiteurs méthodiques et insatiables. Une série de vols par effraction qui n'a pas commencé avec la crise sanitaire. Mais qui s'est poursuivie et même accéléré pendant le confinement, en dépit de l'hécatombe, et au détriment de personnes âgées ; déjà très fragilisées par l'isolement et la faucheuse qui rôde...
Depuis octobre 2019, cette équipe est accusée d'avoir frappé à près de 34 reprises dans des établissements de l’ensemble du territoire (Martigues, Aix, Saint-Mitre, Marseille…) pour un butin estimé à 100 000 euros de bijoux, 20 000 euros en liquide et une quantité de retraits indéterminée à cette heure.
Le mode opératoire était chaque fois le même. Une ou deux fois par semaine, un duo ou un trio d'hommes s'introduisait de nuit dans un établissement, parfois ouvert, ou en forçant les entrées, puis ils se dirigeaient dans les bureaux de la direction. "Là, ils descellaient les coffres-forts contenant les objets précieux des résidents : des bijoux de famille à la valeur sentimentale importante, mais aussi, des cartes bancaires avec bien souvent le code à proximité", détaille le patron de la sûreté départementale, David Brugère.
Ces coffres étaient ensuite embarqués dans une voiture avant d’être détruits et vidés à l'abri des regards. L’or était fondu, le métal revendu et les CB utilisées jusqu’au plafond autorisé. Opportunistes, les malfrats ont également dérobé, lors d’une virée à Plan-de-Cuques, une nouvelle matière précieuse : un lot de 300 masques chirurgicaux et des solutions de gel hydroalcoolique. Interpellés le 14 avril dernier dans leur domicile respectif du 13 arrondissement de Marseille, les suspects âgés de 22 à 24 ans ont reconnu les faits.
Ils ont été mis en examen pour "vol en bande organisée" et écroués en maison d’arrêt. Selon nos informations, deux des malfaiteurs présumés étaient déjà "très connus des services de police".
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Le dépistage massif est une piste incontournable dans la lutte contre le Covid-19, mais la clé réside peut-être dans la génétique. Le fait que la population islandaise soit extrêmement homogène et bien étudiée est un atout pour ce pays.
Ces derniers temps, l’Islande, avec quelque 360;000 habitants (l’équivalent de la population de Nice), est devenue un laboratoire de recherche sur le coronavirus. Mais sa population réduite n’est pas le seul facteur à prendre en compte.
Le 21 avril, le pays comptabilisait 1785 cas et 10 décès, des chiffres très faibles qui contrastent avec (et s’expliquent par) la grande quantité de tests réalisés. D’après les calculs, environ 10% de la population a été testée, soit cinq fois plus qu’en Espagne, et même (proportionnellement) plus qu’en Allemagne, l’un des pays européens qui a le mieux géré la crise. En France, avec 463.662 tests menés depuis le début de la crise (au 16 avril selon Santé publique France), c’est moins de 0,70% de la population qui a été testée.
Une fois de plus, la démographie est un facteur important mais pas exclusif. C’est en Islande que se trouve le siège de l’entreprise pharmaceutique DeCODE Genetics, leader dans le domaine des études génétiques des populations depuis plus de vingt ans. Elle propose aujourd’hui à tous les Islandais des tests gratuits de dépistage du coronavirus, même en l’absence de symptômes.
Pour Kári Stefánsson, fondateur de l’entreprise, la stratégie islandaise face au coronavirus n’a rien de mystérieux. “Nous avons fait plus de tests que tout autre pays, nous avons mené des enquêtes assidues pour retrouver les individus ayant été en contact avec les personnes infectées et nous les avons placés en quarantaine”, explique-t-il dans un entretien accordé à la chaîne TRT World. Ces tests préliminaires ont permis d’enrayer l’épidémie dès son apparition dans le pays, mais aussi de savoir qu’environ 50% des cas positifs ne présentaient aucun symptôme au moment du test. Il ne s’agit là que de données superficielles.
L’origine de chaque cas d’infection du pays a été identifiée
L’entreprise islandaise a été capable de remonter la piste de chaque cas de contagion sur l’île et identifié quarante souches du virus. C’est ce que l’on appelle “un génotypage du coronavirus”, explique le généticien espagnol Juan José Tellería, professeur à l’Université de Valladolid, qui connaît bien le projet nordique.
“Entre son apparition à Wuhan et aujourd’hui, le virus a subi de petites mutations qui ont donné naissance à des familles distinctes”, signale-t-il. DeCODE ”étudie en priorité les variantes islandaise et détermine la souche à laquelle elles appartiennent pour identifier son origine géographique”, précise le professeur Tellería.
Quel rôle les gènes jouent-ils dans le Covid-19?
Dans un second temps, DeCODE “croise ces données avec celles des patients et de l’évolution, pour voir si les différences de développement de la maladie d’un patient à l’autre ont une origine génétique, qu’il s’agisse de la génétique du patient, du coronavirus, ou d’une interaction entre les deux”, ajoute-t-il. En d’autres termes, le projet aspire à comprendre les mécanismes utilisés par le virus, et à déterminer si les gènes jouent un rôle spécifique dans le fait que, pour certains patients, le Covid-19 est extrêmement létal et, pour d’autres, quasiment asymptomatique.
Ce qui rend cette initiative si prometteuse, c’est la situation particulière de l’Islande (une population réduite et très stable génétiquement) et le fait que l’entreprise DeCODE a déjà étudié le génome de près du tiers des habitants du pays. “Que je sache, c’est un cas absolument unique au monde; il n’existe aucune autre expérience semblable”, note-t-il.
"Presque tous les habitants sont les enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants de ceux qui vivaient sur l’île il y a des siècles."
“Génétiquement, c’est une population très homogène, car presque tous les habitants sont les enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants de ceux qui vivaient sur l’île il y a des siècles, ce qui fait que l’on peut établir des liens familiaux entre presque tous les citoyens du pays”, fait remarquer le généticien. De plus, “il s’agit d’une population qui a connu très peu d’immigration”.
Des études génétiques pour lutter contre les maladies
Au fil des ans, DeCODE a profité de cette “faible variabilité génétique” pour “identifier les facteurs de risque des maladies communes comme l’hypercholestérolémie, les maladies cardiaques, l’asthme ou les allergies”, énumère Juan José Tellería. Ce n’est pas parce que la population est très homogène que tout le travail est fait, loin de là, mais cela facilite un peu la tâche. “Il ne faut pas oublier que lorsqu’on compare le génome de deux individus, quels qu’ils soient, on trouve trois millions de différences. Il est donc très complexe de déterminer les gènes responsables de chaque caractéristique”, assure le spécialiste.
Cet avantage génétique, associée à un bon financement, a permis à DeCODE d’”étudier une quantité considérable d’informations” issues d’études génétiques auxquelles se sont prêtés des milliers de citoyens islandais, qui ont également confié leur dossier médical à l’entreprise. Le professeur Tellería explique que, grâce à ce dispositif, les spécialistes “peuvent croiser des millions de données qui leur permettent d’identifier les variantes génétiques liées aux pathologies communes”.
"S’il y a une chose qui caractérise les Méditerranéens, c’est leur diversité génétique."
Juan José Tellería ne cache pas sa fascination pour les recherches islandaises (“on étudie le cas de DeCODE à l’Université”) mais reconnaît qu’une telle expérience serait impossible dans son pays, l’Espagne, ou en France, car “la population méditerranéenne est extrêmement hétérogène, car le bassin méditerranéen a été le carrefour de l’Antiquité pendant plus de dix siècles. S’il y a une chose qui nous caractérise, c’est notre diversité génétique”.
Par ailleurs, il existe peu d’études sur le génome en Espagne. “Elles ne sont réalisées que dans un but clinique”, ajoute-t-il, c’est-à-dire uniquement sur les patients pour lesquels on recherche une mutation concrète à des fins médicales.
Quoi qu’il en soit, si l’initiative islandaise donne des résultats, les Méditerranéens (et le reste du monde) en bénéficieront. “Il ne fait aucun doute que le croisement des données du génome du virus avec celles du génome des patients nous aidera à cerner la manière dont le virus interagit avec son hôte. Et ça, c’est un phénomène universel”, conclut le généticien.
Sources : Cet article, publié sur le HuffPost espagnol, a été traduit par Chloé Delhom pour Fast ForWord.
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Pour l’anniversaire de la fondation de Rome, le 21 avril 2020 (Rome a été fondé le 21 avril 753 avant JC) le mouvement CasaPound a distribué 5 tonnes d’aide humanitaire à destination des Italiens qui souffrent du confinement lié au coronavirus et alors que le Gouvernement, en Italie, n’a pas pris la mesure de la crise économique qui frappait l’Italie.
Pendant que l’Hymne à Rome de Puccini résonnait aux fenêtres, au numéro 8 de la Via Napoléon III, siège du mouvement nationaliste et social qui attire toute une partir de la jeunesse italienne, les militants s’affairaient à distribuer les aides d’urgence à la population. De nombreuses personnes, notamment âgées, faisaient la queue pour recevoir l’aide alimentaire, sous la supervisation des principaux responsables du mouvement Casapound, en première ligne y compris pour distribuer la nourriture à la population. Le tout, en respectant les consignes et les mesures sanitaires, notamment de distanciation.
Pour l’occasion, des masques aux couleurs de l’Italie étaient de sortie.
Au total donc, environ 5 tonnes de nourriture, destinées à au moins 500 familles italiennes. Dans le colis distribué à ces familles, outre la nourriture et les produits de première nécessité, on trouvait également des gants, des masques et des désinfectants. La majeure partie du matériel a été distribuée sur place, via Napoléon III, mais des familles n’ayant pas pu se déplacer ont été livrés via des militants de Casapound empruntant des taxis romains qui se sont mis gratuitement à leur disposition.
« Notre devoir est d’aider tout le monde sur le terrain et d’arrêter d’écouter un gouvernement qui ne sait pas ce qu’il fait et qui a délégué les décisions à 450 experts qui n’ont pas été élus par le peuple », a expliqué Simone Di Stefano, leader du mouvement. « Nous travaillons dur et nous espérons que l’Italie reprendra sa marche en avant dès que possible ; aujourd’hui est un grand jour de solidarité. Et le siège de CasaPound, comme cela s’est déjà produit en d’autres occasions, lors des tremblements de terre qui ont frappé L’Aquila, l’Émilie et le centre de l’Italie, montre qu’il est un centre utile pour tous les Italiens qui en ont besoin »
Sources : Breizh-info.com
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