La piste terroriste a d'ores et déjà été écartée et celle de l'agression sexuelle est privilégiée. Une femme a été attaquée au couteau, ce dimanche matin, allée de la Plaine à L'Haÿ-les-Roses. Rapidement sur place, les policiers du Kremlin-Bicêtre sont parvenus à neutraliser le suspect.
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Le Coronavirus sert de prétexte au gouvernement pour revenir, dans sa « loi d’urgence », sur certains acquis sociaux comme les congés payés ou les 35 heures. Pour calmer d’éventuelles colères, ces mesures sont présentées comme « provisoires »… sans fixer bien entendu de date limite. Colossale finesse…
Cette attaque contre le droit du travail s’effectue, sans surprise, sous la pression du grand patronat. Technique utilisée : des ordonnances seront prises ayant valeur de loi. Le gouvernement annonce la couleur : il s’agit de « modifier les conditions d’acquisition de congés payés et permettre à tout employeur d’imposer ou de modifier unilatéralement les dates de prise d’une partie des congés payés ». Au cas où on n’aurait pas compris, « un haut représentant patronal » propose, dans Le Figaro, de ramener les congés payés à deux ou trois semaines… du moins cette année. Une mesure qui, nous rassure ce porte-parole du MEDEF, « ne le choquerait pas ». Le ministre Bruno Le Maire a dit que ce serait, pour lui, un acte de « solidarité ». Elle a bon dos, la solidarité… Quant à la ministre Muriel Pénicaud elle a déclaré devant les sénateurs qu’il devenait nécessaire de « déroger aux stipulations conventionnelles relatives à la durée du travail, au repos hebdomadaire et au repos dominical ». En clair, les 35 heures passent à la trappe.
Pierre VIAL
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Avant la crise du Covid-19, des dizaines de millions de jeunes africains voyaient l’Europe comme une terre à prendre peuplée de vieillards repus ou épuisés, d’hommes mentalement castrés par les groupes de pression féministes, de femmes n’enfantant plus et dont les dirigeants étaient soumis au diktat de l’émotionnel… Encore plus merveilleux, au nom des « anciennes vertus chrétiennes devenues folles » (Chesterton), le pape « François » les encourageait à s’introduire par effraction dans cette Europe gavée.
Or, ce n’était pas le jihadisme que fuyaient ces « migrants ». En Afrique, ce dernier provoque en effet trois fois moins de victimes que les morsures des serpents. En 2017, mamba, vipères des sables et autres naja, tuèrent ainsi entre 25 000 et 30 000 malheureux et fait autant d’infirmes (source Slate Afrique). Nous étions donc au terme du processus entre la lente et mortelle asphyxie "soustellienne" de l'intégration et le "radeau de la Méduse" de la laïcité...
Mais voilà que le Covid 19 va peut-être forcer Européens et Africains à revenir au réel grâce au principe de « l’imprévu dans l’histoire » si magnifiquement conceptualisé par Dominique Venner.
En effet, comme le Covid 19 va demander d’immenses efforts à l’Europe pour se relever, délaissée, l’Afrique va donc devoir se prendre enfin en main. Cela passera par trois grandes mesures :
1) Régler la question démographique
Avec un taux de croissance de 4% la population africaine double tous les 18-20 ans.
Résultat, d’ici à 2030, l’Afrique va voir sa population passer de 1,2 milliard à 1,7 milliard, avec plus de 50 millions de naissances par an. Puis, en 2100, avec plus de 3 milliards d’habitants, le continent africain abritera 1/3 de la population mondiale, dont les trois quarts au sud du Sahara. Le principal blocage de toute politique familiale étant à la fois culturel et religieux, les dirigeants africains devront donc prendre des mesures très courageuses. Ou bien l’Afrique mourra.
2) Oublier le mythe du développement
Bloqués par leurs présupposés idéologiques, moraux et religieux, les dirigeants européens qui s’obstinaient à ne pas tenir compte des réalités, avaient choisi de s’accrocher au mythe du « développement », refusant de voir que tout avait déjà été tenté en ce domaine depuis les indépendances. En vain car, en dépit des sommes abyssales déversées pour la faire « démarrer », l’Afrique n’avait cessé de régresser. En effet, comme il fallait une croissance de 7% par an pour simplement commencer à réduire la pauvreté, le calcul était vite fait, année après année, il manquait donc à l’Afrique entre 3 et 4% de croissance, ce qui faisait que loin de se combler, la pauvreté africaine augmentait.
D’ailleurs, comment prétendre développer l’Afrique quand les investisseurs s’en détournaient ? Dans son rapport de mai 2018, la BAD (Banque africaine de développement) soulignait ainsi que pour les investissements dans le seul domaine des infrastructures, l’Afrique avait besoin annuellement de 170 milliards de dollars d’IED (Investissements étrangers directs), alors que, au total de tous ses postes, elle n’en reçut que 60 mds. Avec le Covid 19, il y a fort à parier qu’elle en recevra encore moins.
Or, ses besoins seront de plus en plus colossaux car la baisse du prix du pétrole et de presque toutes les matières premières va avoir des conséquences catastrophiques pour des pays tirant entre 75 et 98% de leurs recettes de ces productions. Phénomène aggravant, quand les cours étaient hauts, ces pays pensèrent que la manne était éternelle et ils dépensèrent alors sans compter. Résultat, aujourd’hui, comme ils se trouvent face à des échéances qui ne sont plus couvertes, les voilà donc contraints de s’endetter pour continuer à financer des projets non soldés ou tout simplement pour acheter la paix sociale et éviter la révolution. A peine sortis de la mortelle spirale de l’endettement des années 1980-1990, ils y ont donc replongé.
3) Répudier la religion démocratique et le credo des « droits de l’homme »
Dans les Afriques où la criante nécessité d’Etats forts est une évidence, l’impératif démocratique décrété à la Baule par le président François Mitterrand le 20 juin 1990 a eu des conséquences désastreuses. Le multipartisme y a en effet affaibli des Etats en gestation et réveillé les luttes de pouvoir à travers des partis qui ne sont, dans leur immense majorité, que des habillages ethniques. C’est pourquoi il importe :
- De permettre à l’Afrique de reprendre au plus vite ce « raccourci autoritaire » qui traumatise tant les démocrates européens, mais qui, seul, est susceptible de provoquer une coagulation nationale.
- De répudier le système électoral fondé sur le destructeur principe de « un homme une voix ». Donnant automatiquement le pouvoir aux peuples les plus nombreux selon la loi de l’ethno-mathématique électorale, il fait donc des membres des ethnies minoritaires des citoyens de seconde zone ; d’où d’incessantes guerres civiles.
- D’encourager les Africains à réfléchir à des modes électoraux communautaires et non plus individuels.
En un mot, les Africains doivent se décoloniser mentalement pour revenir à la culture du chef en laissant celle du consensus mou aux donneurs de leçons européens. Le salut de l’Afrique en dépend. Tout le reste n’est que balivernes européocentrées.
L’Afrique qui va être délaissée par les pays dits « riches » doit donc profiter de l’ « opportunité » du Covid 19 pour lancer cette révolution salvatrice [1].
Bernard Lugan
[1] Voir à ce sujet mes livres Osons dire la vérité à l’Afrique et Mythes et manipulations de l’Histoire africaine.
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« On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade »
Ces mots sont d’Agnès Buzyn, l’ex-ministre de la Santé, qui a lâché dans les colonnes du Monde un aveu très lourd : « Quand j’ai quitté le ministère, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous ». Elle avait en effet tous les moyens de connaître parfaitement l’ampleur du désastre en cours. Alors pourquoi n’a-t-elle rien fait, rien dit ? Pour ne pas risquer de déplaire à ses employeurs ? Ses remords tardifs et ses larmes de crocodile ne peuvent l’absoudre. Elle encourt une grave responsabilité devant les Français. Mais elle est aussi visée par un gouvernement ivre de rage de voir cette recrue de choix quitter le navire : elle est donc traitée de « lunaire et pathétique ».
Pierre Vial
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L’homme a été interpellé à Chevilly-Larue. La victime, qui pourrait avoir été la cible d’une agression sexuelle, serait légèrement blessée.
Les fonctionnaires ont fait usage de leur arme à feu. L'individu aurait en effet tenté de se jeter sur un des policiers, malgré deux premiers coups de pistolet à impulsion électrique (PIE).
Selon nos informations, l'homme a reçu une balle dans le ventre. Il est parvenu à se relever et a tenté de prendre la fuite. Au terme d'une course-poursuite, il a été interpellé un peu plus loin rue, à Chevilly-Larue, rue de Picardie.
« L'individu aurait essayé de l'attirer dans une cave »
Une arrestation difficile. « Les collègues ont utilisé à deux reprises le pistolet à impulsion électrique mais le type se relevait », précise une source policière. Il a finalement été neutralisé à l'aide d'un PIE, dans un hall d'immeuble où il s'était réfugié.
Ce dimanche vers 10 h 30, l'agresseur présumé était pris en charge par les secours. La femme qui a reçu le coup de couteau serait légèrement blessée, au niveau de la main. « L'individu aurait essayé de l'attirer dans une cave, ajoute une autre source. Apparemment ils ne se connaissaient pas. Mais il est encore trop tôt pour être catégorique. »
Le SDPJ 94 est chargé des investigations. L'IGPN a part ailleurs été saisie pour enquêter sur les conditions dans lesquelles les policiers ont fait usage de leur arme.
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Mdr oh non je pleure pic.twitter.com/acRycl71Hc
— Jean Louis Groseille (@GroseilleJlouis) February 26, 2020
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MARDI 03 MARS 2020
Il est assurément trop tôt pour prévoir où conduira véritablement, et jusqu'où ira, la volonté affichée du gouvernement turc d'inonder l'Europe de réfugiés et d'immigrants. Certains prenaient peut-être jusqu'ici cette menace, maintes fois réitérée par Erdogan, pour une rodomontade qui ne serait jamais mise à exécution. Sur la forme la tradition ottomane retrouvée ne se dément pas. Et c'est sans doute ce qui, le 28 février en fin de matinée encore, amenait le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg à exprimer la "totale solidarité" des membres du Conseil Atlantique avec leur inconstante et infidèle alliée.
Après un entretien téléphonique du 27 avec Mevlut Cavusoglu, ministre des affaires étrangères à Ankara, l'article 4 du traité signé à Washington en 1949 avait même été invoqué. Or, c'est dans l'affaire syrienne que la clause était supposée fonctionner. Depuis 2011, Erdogan en compagnie des islamistes, prétend défendre les droits de l'homme dans ce pays, contre ce que les médias ont pris l'habitude d'appeler l'armée du régime, élément de langage désignant tout simplement l'armée régulière, d'un pays juridiquement souverain depuis 1946, détaché de l'Empire ottoman depuis le traité de Sèvres.
Or, dès le lendemain 29 février, encouragés sans doute par cette affirmation hasardeuse d'une complaisance de principe, les agents du pouvoir d'Ankara déclenchaient, depuis Istanbul, la marche vers l'Europe de milliers d'illégaux.
L'activation du chantage migratoire a donc d'ores et déjà introduit une nouvelle dimension dans les relations avec la Turquie. Et cette perspective ne sera pas si facilement éliminée. Tout le monde a compris en effet, qu'en fonction des développements futurs, et si son utilisation devait demeurer impunie, cette arme d'un genre nouveau sera activée chaque fois que l'actuel gouvernement d'Ankara et les réseaux des Frères musulmans la jugeront utile. Ceci jusqu'à ce qu'un mécanisme éliminatoire intervienne.
Même la très incertaine, et si souvent incohérente, Merkel se sait obligée de réagir. Elle doit se prémunir elle-même contre la poussée protestataire qui s'est exprimée dans divers scrutins au niveau des Länder. Elle demeure certes encore accrochée à une chancellerie où elle a fait plus que son temps. Elle sait que sa maladroite politique d'accueil affirmée en 2015 avait déjà engendré son recul dans l'opinion populaire, au mépris de ce qui avait, au contraire par le passé consolidé sa popularité, quand en 2011 elle avait constaté l'échec du modèle multiculturel "Multikülti".
C'est ainsi que le 2 mars, lors d'une conférence de presse à Berlin, Steffen Seibert au nom du gouvernement allemand a voulu affirmer que l'Union européenne attend de la Turquie qu'elle respecte l'accord turco-européen de 2016. Car celui-ci visait à empêcher les migrants d'atteindre l'Europe, et pour cela environ 3,2 milliards d'euros ont déboursés par les contribuables européens pour défrayer Ankara et, notamment, équiper sa flotte de garde-côtes."Nous sommes convaincus de la valeur de l'accord et nous attendons qu'il soit respecté", déclare un peu platement le porte-parole de Merkel.
Ce concept semble très au-dessous d'une situation qui ressemble de plus en plus à une invasion organisée. Elle justifie amplement la requête du gouvernement d'Athènes sur le fondement de l'article 78-3 du traité de l'Union européenne, qui prévoit de façon explicite le cas précis.
Notons cependant sa rédaction très molle : "Au cas où un ou plusieurs États membres se trouvent dans une situation d'urgence caractérisée par un afflux soudain de ressortissants de pays tiers, le Conseil, sur proposition de la Commission, peut adopter des mesures provisoires au profit du ou des États membres concernés. Il statue après consultation du Parlement européen."
C'est en cette occasion que le politiquement-islamiquement correct ne manquera pas de chercher à invoquer la convention de 1951 et l'obligation pour l'Europe d'accueillir et de répartir "toute la misère du monde".
Oui l'Europe est au pied du mur, et c'est au pied du mur qu'on voit le maçon.
Toutes les îles grecques de la mer Égée, jusqu'à Rhodes et jusqu'à la république de Chypre, de même qu'en Méditerranée occidentale les îles de Lampedusa, Malte et le rocher de Gibraltar devraient être désormais, solennellement, proclamées inviolables sentinelles européennes, à défendre solidairement contre toute attaque venue de l'Orient.
Si cette doctrine n'est pas affirmée et mise en pratique, non seulement par Frontex mais par tous les moyens disponibles, ce seront ensuite la Sicile, la Sardaigne, la Corse, les Baléares, puis la Bulgarie, la Provence ou la Campanie.
Les Européens responsables, cela existe, l'ont compris et ils proclament, enfin, leur solidarité.
JG Malliarakis
Sources : https://www.insolent.fr
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