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L’un fut découvert en Angleterre, l’autre au Danemark : deux Vikings d’une même famille, après avoir été séparés un millénaire durant, sont réunis depuis quelques jours au Musée national du Danemark.
Deux vikings d’une même famille réunis à Copenhague
Le Musée national du Danemark, basé à Copenhague, a offert des retrouvailles très particulières à deux guerriers vikings d’une même famille. Et pour cause : les deux squelettes auraient été séparés pendant 1 000 ans !
En effet, l’un des deux serait mort en Angleterre au début du XIe siècle à la suite de blessures à la tête avant d’être enterré dans une fosse commune à Oxford. Quant à son parent, présumé être agriculteur, il serait décédé sur l’île danoise de Funen alors qu’il était âgé d’une cinquantaine d’années. Son squelette a été exhumé en 2005 près de la ville d’Otterup tandis que celui-ci portant des traces de coups suggère qu’il aurait lui aussi participé à des batailles. C’est par l’intermédiaire d’une cartographie de l’ADN des squelettes de l’époque viking (entre le VIIIe et le XIIe siècle) que les chercheurs ont constaté que les deux vikings étaient parents au deuxième degré.
Selon l’archéologue Jeanette Varberg, du musée national du Danemark, « c’est une grande découverte parce que maintenant vous pouvez retracer les mouvements à travers l’espace et le temps à travers une famille ». Prêtés par le musée d’Oxfordshire pour une durée de trois ans, les quelques 150 os d’un homme d’une vingtaine d’années ont ainsi permis de reconstituer son squelette à Copenhague afin de présenter les deux vikings côte à côte, bien que séparés par la mer du Nord au moment de leur mort, à quelques 900 kilomètres l’un de l’autre.
Le personnel du Musée national de Copenhague déballe les ossements prêtés du viking retrouvé en Angleterre
De l’avis de l’archéologue, le guerrier a potentiellement été abattu lors d’un raid viking en Angleterre et en Écosse. Cependant, elle avance également une autre explication possible : un décret royal du roi d’Angleterre Aethelred II ayant ordonné en 1002 que tous les Danois d’Angleterre soient tués, l’individu âgé aujourd’hui d’un millénaire figurait peut-être parmi les victimes. Un massacre de la Saint-Brice à Oxford qui se déroula le 13 Novembre 1002.
Un lien de parenté incontestable entre les deux squelettes
La réunion des deux vikings est d’autant plus insolite que la découverte de liens de parenté entre différents squelettes est très rare, à l’exception de certains souverains. En revanche, il a été impossible pour les archéologues de déterminer clairement le lien familial qui unit les deux hommes, bien que cette parentèle soit présentée comme étant incontestable. « C’est très difficile de dire s’ils ont vécu à la même époque ou s’il y a peut-être une génération de différence car il n’y a aucun élément dans les tombes qui puissent donner une datation précise, vous avez donc une marge de plus ou moins 50 ans », a justifié Jeanette Varberg.
Ainsi, les analyses laissent à penser que les deux vikings étaient soit demi-frères, soit neveu et oncle, voire grand-père et petit-fils, comme l’a rapporté Eske Willerslev, généticien de l’université de Copenhague.
L’un des deux Vikings. Source : Facebook Nationalmuseet
Lors de la découverte de l’homme le plus jeune des deux, via des fouilles préventives en 2008, près d’Oxford, les archéologues avaient également mis à jour les restes de 35 autres colons danois.
Quant à son parent retrouvé au Danemark, des signes d’arthrite et d’inflammation des côtes, peut-être dus à la tuberculose, ont été observés sur son squelette. Enfin, les deux vikings mesuraient approximativement 1,80 m.
À partir du 26 juin, les deux squelettes seront visibles au Musée national de Copenhague dans le cadre d’une exposition intitulée « Togtet », signifiant « Le raid » en danois.
Source : (12/06/2021) - Breizh-info.com, 2021.
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Acceptez quelque chose de l’Etat français et des sociétés qui travaillent pour lui (et s’enrichissent grâce à lui) et il y aura toujours une contrepartie. Ains, pour les compteurs Linky, tant vantés par Enedis, et dont l’ancien ministre de l’Industrie et de l’Energie, Eric Besson, avait déclaré qu’il ne coûterait pas un centime aux particuliers, il semblerait que les Français doivent passer bientôt à la caisse.
Le détail, c’est le journalLe Parisienqui l’a donné lundi 31 mai. Le coûte des installations de Linky (souvent par des sous traitants, sur lesquels il serait bon un jour que des journalistes d’investigation se penchent eu égard des compétences diverses et variées que l’on retrouve chez ces installateurs) est de 5,7 milliards d’euros, selon la Cour des comptes, soit 130 euros par appareil. Une somme que les particuliers devront commencer à rembourser dès 2022, en raison du mécanisme de « différé tarifaire » mis en place par Enedis. Selon le Parisien, le taux d’intérêt appliqué au remboursement sera de 4,6 % soit pour Enedis une marge de 2,8 % soit un demi-milliard d’euros d’intérêts supplémentaires que paieront les consommateurs.
Plusieurs centaines de millions d’euros devraient être prélevés chaque année, ce qui représentera un total de deux milliards d’euros en 2030.
Pourtant, Enedis avait annoncé prendre à sa charge 5,39 milliards d’euros : 10% provenant de ses fonds propres et le reste grâce à un emprunt auprès de la Banque européenne d’investissement (BEI) à un taux avantageux de 0,77 %. Mais au final, c’est bien le consommateur qui remboursera le coût du compteur Linky, et sans bénéficier du très avantageux taux de la BEI. Dans son rapport, la Cour des comptes l’a estimé à 4,6%. Ce qui représentera un demi-milliard d’euros d’intérêts supplémentaires pour Enedis, détaille Le Parisien.
Reste 3,7 milliards d’euros à régler. Enedis parle d’économies générées grâce au compteur, notamment du fait des relevés à distance. Les associations de consommateurs elles, n’y croient pas une seconde. 32 millions de compteurs Linky sont installés aujourd’hui sur le territoire. 90 % des foyers sont équipés.
Un nouveau scandale en perspective, et des responsables politiques et économiques qui ont menti à la population, et qui ne seront nullement inquiétés…
: Sources: Breizh-info.com, 2021,
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L’enlèvement de la jeune Mia, le 13 avril dernier, dans les Vosges par des proches de sa mère permet au Système médiatique de dénoncer gratuitement la constellation survivaliste. L’arrestation, quelques jours plus tard, de la mère de Mia et de ses complices supposés autorise la Grasse Presse subventionnée à poursuivre les amalgames grossiers. La mise en cause par le Parquet d’Épinal d’un individu interlope dont les initiatives douteuses ont été mises en lumière dans le n° 491 de l’excellente lettre confidentielle Faits & Documents des 15 au 30 novembre 2020 invite à prendre de la hauteur par rapport à ce fait-divers monté volontairement en épingle.
Cette regrettable affaire familiale sert de prétexte pour une large entreprise de manipulation psychologique auprès de l’opinion. Observons cette manœuvre magistrale d’intoxication mentale en deux temps. Depuis les Gilets jaunes, la caste au pouvoir vit dans la crainte d’une reprise de ce vaste mouvement populaire, hélas !, inorganisé. Les nombreuses restrictions liberticides prises officiellement pour contrer la pandémie covidesque sont en réalité des rétorsions implicites envers une population rétive ou circonspecte envers le capitalisme de surveillance globale.
À l’approche de l’élection présidentielle, la caste dirigeante craint l’émergence d’un candidat hors système et anti-Système capable de tout balayer sur son passage. Elle garde dans un coin de son esprit l’excellente série Baron noir. Ses scénaristes finissent la première saison tournée en 2015 par la démission du président socialiste. Ils commencent la deuxième saison tournée en 2017 par l’élection à l’Élysée de la candidate socialiste novice qui n’hésite pas à gouverner avec les centristes. Dans la troisième saison, ils mettent en avant un professeur de SVT, chantre du tirage au sort et vedette sur Internet, qui réunit autour de sa candidature les dissidents de la Droite nationale et de la gauche radicale.
Il s’agit pour le Régime d’empêcher que cette fiction politique se réalise en 2022, d’où la mise en évidence négative d’une grande gueule sur la Toile qui vivrait en Extrême-Orient. L’emploi par les journalistes officiels d’une argumentation psychiatrique et « secticide » digne de l’URSS de Brejnev à son encontre participe à cette vaste opération de disqualification médiatique. Le Système cherche ensuite à noircir le survivalisme et à faire passer ses pratiquants pour de doux dingues ou des tarés extrémistes. Les ouvrages de Piero San Giorgio ne sont bien sûr jamais cités, car ils contrecarrent la narration médiatique fallacieuse.
Pour faire simple, le survivalisme se formalise dans les années 1970 en Amérique du Nord à un moment où le risque d’une guerre nucléaire entre l’Est et l’Ouest paraît inévitable. Bien des romans, des films, des nouvelles et des feuilletons de science-fiction décrivent le monde d’après les explosions atomiques. Donald Eugene Sisco alias Kurt Saxon qui navigue entre différents milieux nationalistes, libertariens et satanistes appelle dans ses livres et au cours de ses conférences à se préparer à n’importe quelle catastrophe afin de survivre. Au fil des décennies, en se répandant en Occident, le survivalisme prend selon les moments et les endroits une coloration politique gauchiste ou écologiste radicale.
On distingue aujourd’hui six principaux profils issus de cette mouvance hétérogène. Les plus connus sont les autonomes zadistes qui s’élèvent plus ou moins avec raison à Boyron ou à Notre-Dame-des-Landes contre des projets inutiles et coûteux. Sous le patronage de l’ancien ministre Vert Yves Cochet, les collapsologues envisagent la fin prochaine de la civilisation techno-industrielle en se fondant sur les postulats d’une nouvelle science : la collapsologie. Les plus modérés sont les adeptes de la « survie douce ». Ce sont les habitués des stages de survie en pleine nature. Un député LREM veut légiférer sur ces stages et leurs participants. De quoi ose-t-il se mêler ? Les « preppers » se préparent à un quotidien post-catastrophique proche des films Mad Max II et III. Il y a enfin, théorisée par Michel Drac et Serge Ayoub, la BAD ou « base autonome durable ». Le badiste ne cache pas son engagement identitaire européen. Il veut assurer la pérennité de son clan au sein de communautés enracinées et écologiquement armées. L’essayiste catholique identitaire radical Julien Langella partage ce point de vue salutaire.
Divers, le survivalisme ne rentre pas par conséquent dans le moule confortable des certitudes médiatiques et universitaires. On comprend mieux pourquoi le Régime s’en méfie tant. Des braves gens qui pensent par eux-mêmes ne peuvent avoir que des intentions maléfiques...
Georges FELTIN-TRACOL
Sources: http://www.europemaxima.com – Euro Synergies
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Chroniques, par Pierre Vial
Retrouvez les commentaires de Pierre au fil de l'actualité.