Craig Idso, fondateur et PDG du Center for the Study of Carbon Dioxyde and Global Change, a démenti les affirmations des alarmistes climatiques selon lesquelles des niveaux élevés de dioxyde de carbone atmosphérique (CO2) menaceraient directement la santé et rendraient les plantes moins efficaces (?), provoquant une hausse des températures et parfois des canicules.
Selon lui — et fort de ses 25 ans d’expérience — le niveau de CO2 devrait augmenter de 36 fois au-dessus de la concentration actuelle avant même de commencer à poser un léger problème de santé ! Or, poursuit-il, « Cette valeur (15.000 ppm) ne se produira jamais étant donné que l’utilisation éventuelle par la société humaine de l’intégralité des énergies fossiles de la planète (soit 1.500 ppm) donnerait une valeur de CO2 dix fois inférieure à ce maximum ». Et il ajoute : « Plus il y a de CO2 ; mieux c’est », comme chacun le sait déjà, même les foldingues du GIEC et leurs stipendiés qui nous serinent l’inverse à longueur d’année pour semer la terreur parmi les populations.
On apprend aussi qu’une plus grande teneur en CO2 dans l’air entraîne une plus grande efficacité de l’utilisation de l’eau, renforce la capacité de la planète à résister aux stress environnementaux tels que la sécheresse, les maladies, la salinité élevée des sols, les vagues de chaleur et les rayons UV-B.
Enfin, toute son étude, dans son ensemble, discrédite complètement le bobard des faux experts du climat qui soutiennent que le carbone est le principal contributeur du changement climatique. (Climate science news)
En conclusion : 1) Une teneur élevée en CO2 est bonne pour la planète. 2) Le CO2 n’est pas à l’origine du très faible « réchauffement climatique » depuis 1850 (1,3°C en 170 ans), c’est le soleil qui en est la cause. Et on n’y peut rien...
Source : Réinfomag n°197
