Continuons notre travail sur le vocabulaire comme arme de la Résistance identitaire par un essai de typologie, non exhaustive, des ennemis auxquels celle-ci se trouve confrontée. Cette typologie a l’avantage de permettre de discriminer divers niveaux de responsabilité dans la vaste entreprise ethnocidaire qui frappe les Européens.
Précisons aussi que cette typologie ne concerne pas les non Européens qu’ils proviennent de Jérusalem, des Aurès, de Tombouctou ou de Nankin. Ceux ci ne peuvent en aucun cas être concernés par des états qui supposent, au préalable, d’avoir disposé un jour de l’identité ethno-culturelle européenne. Elle vise des individus ou des groupes qui se recrutent dans le vaste magma des Européens de souche (Cf. l’article ad hoc dans la même rubrique).
Le renégat.
Au sens propre, un renégat est celui qui renie son appartenance pour en embrasser une autre, antagoniste de la première. Il y a donc une dimension volontaire et consciente au fait d’être un renégat. Mais l’expérience nous montre qu’aujourd’hui les renégats européens ont, dans leur grande majorité, hérité du reniement de la conscience ethnique européenne. Il existe des filiations et des stratifications du reniement qui se sont construites au long des siècles. Nous définirons donc la catégorie des renégats comme l’ensemble des européens de souche qui ont rejeté leur conscience ethnique par choix ou par héritage volontairement assumé.
Certes, on pourrait trouver des circonstances atténuantes aux renégats par héritage : après tout, ayant reçu dès le plus jeune âge le reniement par leurs valeurs familiales et l’éducation sociale et politique, on pourrait leur reconnaître une certaine irresponsabilité. En réalité, ceci ne tient pas : tout jeune adulte est toujours confronté à ce qu’il doit faire de l’héritage reçu : l’accepter totalement ou sous bénéfice d’inventaire, voire le refuser. C’est une question de caractère et de qualité d’être. La très grande majorité des Résistants identitaires d’aujourd’hui a grandi dans le même environnement culturel et idéologique délétère que les renégats par héritage et a su faire les choix légitimes. A aucun moment donc, le conformisme et l’absence de caractère ne peuvent être des circonstances exonératoires de responsabilité.
Le traître.
Un traître à son ethnie est nécessairement d’abord un renégat et d’une certaine manière on pourrait se passer de cette catégorie. Mais la notion de trahison comporte une dimension de nuisance active et volontaire que ne contient pas de manière automatique la notion de reniement. Les renégats peuvent ne nuire que par pesanteur. Entendons par là que, formant des groupes sociaux adhérant à des conceptions culturelles ou idéologiques hostiles aux identités ethniques européennes, ils sont plus suiveurs que moteurs. Leur capacité de nuisance tient essentiellement à la masse de manœuvre qu’ils représentent pour ceux qui les guident et les entraînent. Les traîtres sont les éléments actifs qui produisent les schémas culturels, les idées philosophiques, les orientations politiques, les législations, les modifications sociétales et économiques favorables à la mondialisation, au cosmopolitisme, au métissage, etc.. Ce sont aussi ceux qui profitent matériellement, individuellement et collectivement, de tout ce qui peut nuire à la conscience ethnique européenne.
Le collabo.
Le collabo est bien évidemment un traître, un traître qui ne se contente pas de la trahison ordinaire mais participe activement à l’abaissement de son peuple aux côtés des éléments allogènes. Prenons un exemple totalement imaginaire…. : un professeur d’histoire à l’université, Européen de souche, qui produirait des travaux visant à démontrer que l’Islam aurait eu un rôle déterminant dans la transmission de la culture grecque antique à l’Europe médiévale, laquelle aurait donc une dette à son égard. Ce personnage imaginaire, selon nos critères, est donc un traître. Il l’est même doublement puisque non content de trahir son ethnie il trahit aussi la vérité des faits. Mais si en plus, ledit personnage, toujours aussi imaginaire, participait à des revues, des colloques, des associations patronnés par des musulmans pour y défendre sa thèse, ce serait un collabo.
Précisons aussi que cette typologie ne concerne pas les non Européens qu’ils proviennent de Jérusalem, des Aurès, de Tombouctou ou de Nankin. Ceux ci ne peuvent en aucun cas être concernés par des états qui supposent, au préalable, d’avoir disposé un jour de l’identité ethno-culturelle européenne. Elle vise des individus ou des groupes qui se recrutent dans le vaste magma des Européens de souche (Cf. l’article ad hoc dans la même rubrique).
Le renégat.
Au sens propre, un renégat est celui qui renie son appartenance pour en embrasser une autre, antagoniste de la première. Il y a donc une dimension volontaire et consciente au fait d’être un renégat. Mais l’expérience nous montre qu’aujourd’hui les renégats européens ont, dans leur grande majorité, hérité du reniement de la conscience ethnique européenne. Il existe des filiations et des stratifications du reniement qui se sont construites au long des siècles. Nous définirons donc la catégorie des renégats comme l’ensemble des européens de souche qui ont rejeté leur conscience ethnique par choix ou par héritage volontairement assumé.
Certes, on pourrait trouver des circonstances atténuantes aux renégats par héritage : après tout, ayant reçu dès le plus jeune âge le reniement par leurs valeurs familiales et l’éducation sociale et politique, on pourrait leur reconnaître une certaine irresponsabilité. En réalité, ceci ne tient pas : tout jeune adulte est toujours confronté à ce qu’il doit faire de l’héritage reçu : l’accepter totalement ou sous bénéfice d’inventaire, voire le refuser. C’est une question de caractère et de qualité d’être. La très grande majorité des Résistants identitaires d’aujourd’hui a grandi dans le même environnement culturel et idéologique délétère que les renégats par héritage et a su faire les choix légitimes. A aucun moment donc, le conformisme et l’absence de caractère ne peuvent être des circonstances exonératoires de responsabilité.
Le traître.
Un traître à son ethnie est nécessairement d’abord un renégat et d’une certaine manière on pourrait se passer de cette catégorie. Mais la notion de trahison comporte une dimension de nuisance active et volontaire que ne contient pas de manière automatique la notion de reniement. Les renégats peuvent ne nuire que par pesanteur. Entendons par là que, formant des groupes sociaux adhérant à des conceptions culturelles ou idéologiques hostiles aux identités ethniques européennes, ils sont plus suiveurs que moteurs. Leur capacité de nuisance tient essentiellement à la masse de manœuvre qu’ils représentent pour ceux qui les guident et les entraînent. Les traîtres sont les éléments actifs qui produisent les schémas culturels, les idées philosophiques, les orientations politiques, les législations, les modifications sociétales et économiques favorables à la mondialisation, au cosmopolitisme, au métissage, etc.. Ce sont aussi ceux qui profitent matériellement, individuellement et collectivement, de tout ce qui peut nuire à la conscience ethnique européenne.
Le collabo.
Le collabo est bien évidemment un traître, un traître qui ne se contente pas de la trahison ordinaire mais participe activement à l’abaissement de son peuple aux côtés des éléments allogènes. Prenons un exemple totalement imaginaire…. : un professeur d’histoire à l’université, Européen de souche, qui produirait des travaux visant à démontrer que l’Islam aurait eu un rôle déterminant dans la transmission de la culture grecque antique à l’Europe médiévale, laquelle aurait donc une dette à son égard. Ce personnage imaginaire, selon nos critères, est donc un traître. Il l’est même doublement puisque non content de trahir son ethnie il trahit aussi la vérité des faits. Mais si en plus, ledit personnage, toujours aussi imaginaire, participait à des revues, des colloques, des associations patronnés par des musulmans pour y défendre sa thèse, ce serait un collabo.
JPA