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« Dieu vous a seulement interdit la bête morte, le sang, la viande de porc... » (sourate 2, verset 173)

« Elle (Sin, créature du royaume des dieux) fit ensuite des porcs mystérieux et magiques avec de la fougère. Elle donna le vin et les porcs aux troupes(...) Elle promit de leur donner tout autant chaque jour à perpétuité... » (La mort de Muirchertach - Mac Erca)

Prohibition d'un côté et sacralisation de l'autre, le porc/sanglier marque la césure entre les différents peuples. Mais cette différence, anodine à première vue, est significative, extrêmement importante. Elle prouve que le substrat culturel et génétique est drastiquement opposé. Loin de vouloir émettre un jugement de valeur, je souligne ici la divergence de repère lorsqu'il s'agit du sacré et des préceptes divins.

C'est lors de Samain que les druides consacraient un porc/sanglier au festin destiné à cette fête. Comment, ainsi, espérer une cohabitation paisible, sans embûches ? Même si le sanglier a perdu son statut si particulier avec le temps, cette ancienne coutume traduit l'opposition entre les cultures européennes et orientales...

Source : Flamme Boréenne

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