mondialisation

 

Ceux qui connaissent bien le sujet vont certainement trouver simpliste ce court résumé relatif à un problème extrêmement grave puisqu’il concerne tout simplement l’avenir de l’humanité, notamment son asservissement. Si je procède de cette manière c’est pour essayer de rendre ce problème compréhensible à toutes les personnes de mes connaissances qui n’ont pas eu l’opportunité d’en être bien informées. Par ailleurs, je sais par expérience que les écrits longs ne sont pas lus.

Mes interrogations sur ce très grave danger sont relativement récentes. Il y a un peu plus de 10 ans un ami m’avait indiqué le livre « des pions sur l’échiquier » ; je l’avais lu et il m’avait donné à réfléchir, mais je n’avais pas été à l’époque très sensibilisé.

Des échanges sur Internet, la lecture d’autres livres, des faits actuels que tout le monde peut constater, m’ont fait progressivement comprendre l’ampleur du problème. Aujourd’hui je n’ai plus aucun doute sur la nocivité de la caste qui veut dominer le monde à l’insu des peuples.

Concernant les livres je peux citer principalement : « la Super-classe Mondiale contre les peuples » de Michel Geoffroy que j’ai lu en 2018, et déjà évoqué dans plusieurs écrits, et, tout récemment, « De Tragédies en Espérances – Nos illusions de Justices, de Liberté et de Démocratie » de Joseph Plummer. Dans cet ouvrage l’auteur fait constamment référence au livre monument (1300 pages) de Caroll Quigley « Tragedy and Hope » ; j’y reviendrai.

De quoi s’agit-il ? La réponse n’est pas simple pour moi car les multiples données dont je dispose se bousculent un peu dans ma tête ; je vais essayer d’en faire une synthèse claire et compréhensible.

Les membres de la Super-classe Mondiale (grosses fortunes, dirigeants de multinationales, politiques…) veulent instaurer une gouvernance mondiale, dont ils seraient bien sûr les administrateurs. Ce n’est pas une fiction mais une réalité ; certains ne s’en cachent pas comme Attali, dont il suffit pour être édifié de lire le livre: « Demain qui gouvernera le monde ».

Je rappelle qu’Attali est à l’origine de l’élection de Macron ; ce dernier est manifestement mondialiste et de ce fait très peu soucieux de l’avenir de la France (il l’a dit à l’occasion d’une interview que j’ai vue mais dont on ne retrouve pas la trace).

Les mondialistes possèdent de nombreux moyens pour tenter de dominer le monde, en particulier l’argent et le pouvoir médiatique puisqu’ils possèdent la quasi-totalité des grands médias.

Le principal obstacle à leur dessein est constitué par les nations souveraines ; ils s’emploient donc à les détruire par divers moyens. L’immigration de masse en est un. Michel Geoffroy écrit : « L’immigration de peuplement est le brise-glace du mondialisme car elle permet de disloquer les États-nations en s’attaquant à leur homogénéité et à leur identité ». Ce qui se passe en France actuellement en est un très bon exemple.

Dans ce contexte, il est bien connu que le milliardaire Soros finance très largement les ONG qui transportent illégalement des migrants de l’Afrique vers l’Europe, avec toutes les conséquences qui en résultent.

Les organisations mondiales (ONU, GIEC, OMS, OMC…) sont toutes manipulées par ces mondialistes. On sait par exemple que Bill Gates ne se contente pas de subventionner l’OMS, il rémunère certains de ses membres ! On ne peut donc absolument pas faire confiance à l’OMS qui a décrété la pandémie de la Covid 19 bien opportunément pour certaines grandes sociétés (pharmaceutiques par exemple).

La Covid 19 n’est pas une pandémie ; une simple analyse des données le démontre. Elle n’est guère plus grave que certaines épidémies annuelles. On pourra se rendre compte qu’en 2020 elle aura été beaucoup moins mortelle au plan mondial que d’autres causes dont on parle très peu (maladies cardiaques, malaria, malnutrition, cancer, suicides, drogue, alcool, tabac, …). On sait bien aujourd’hui que le but est de vendre des médicaments onéreux et d’imposer un vaccin afin d’enrichir encore plus les grands laboratoires pharmaceutiques.

Une fois de plus la France est un bon exemple. Les « Élites » au pouvoir utilisent largement cette « crise sanitaire » pour asservir le peuple, réduire drastiquement ses libertés fondamentales en trichant (augmentation artificielle du nombre de cas et du nombre de décès, notamment en EPHAD) ; sans parler de l’interdiction aberrante faite aux médecins de ville de soigner leur patients de la Covid, ce qui a pour grave conséquence d’augmenter notablement le nombre de décès. Nous sommes le seul pays à avoir pris une décision aussi absurde et injustifiée, sous des prétextes fallacieux.

On constate le grand pouvoir de nombreux médias qui ne cessent de diffuser en boucle des informations alarmistes afin de justifier des décisions très contraignantes du pouvoir politique.

En France ce problème médical est devenu une affaire politique ; de mauvaise politique car manifestement l’État gouverne par la peur, les décisions prises contribuent largement à détruire la nation, notamment son économie, et à l’enfoncer profondément dans la dette. Les conséquences incalculables, seront beaucoup plus graves pour le peuple que la mortalité due au Covid. C’est certainement voulu.

Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) est, quant à lui, manipulé par des grandes sociétés qui veulent faire évoluer ses décisions à leur profit (constructeurs d’éoliennes par exemple). Dans ce domaine les médias jouent également un grand rôle pour alarmer les populations.

Le GIEC nous abreuve de prévisions climatiques catastrophiques mais parallèlement les grandes sociétés se livrent à des échanges commerciaux mondiaux particulièrement pollueurs (innombrables avions, et surtout tankers qui fonctionnent au fioul lourd…) qui sillonnent le ciel et les mers. S’il y a un réchauffement climatique dû à l’activité humaine  (ce qui est loin d’être démontré), elles en sont les principales responsables.

La volonté d’une « élite » (qui se prend pour telle) de dominer le monde est très ancienne. Elle s’est notamment concrétisée en Angleterre au 17ème siècle où, pour la première fois dans l’histoire d’un pays européen, un groupe de particuliers s’est emparé du contrôle de la monnaie (voir un autre livre : « Fatima et la grande conspiration »).

Concernant les États-Unis, Joseph Plummer nous informe des activités d’un « Réseau », en se référant au livre de Caroll Quigley. Ce dernier avait rencontré certains de ses membres et obtenu des confidences. Il écrit : « je connais les activités de ce « Réseau » parce que je l’ai étudié pendant vingt années et que l’on m’a permis pendant deux ans, au début des années soixante, d’examiner ses documents et archives secrètes ».

On s’en doute, les membres du « Réseau » n’ont pas du tout apprécié la sortie du livre « Tragedy and Hope » et d’une certaine manière d’avoir été trahis. Ils ont tout fait pour discréditer ce livre, notamment grâce aux médias qu’ils manipulaient.

Le « Réseau » a acquis un pouvoir énorme dans le domaine de la politique. Par exemple, Joseph Plummer explique comment Woodrow Wilson, estimé malléable, a été élu Président des États-Unis au détriment de William Howard Taft en 1912, grâce au pouvoir de l’argent et des médias. Il n’y a donc rien eu de nouveau en 2017 avec l’élection de Macron !

Sous Wilson le « Réseau » a fait instaurer le Système de Réserve fédérale et l’impôt fédéral, et surtout il a réussi à les utiliser à son profit.

Le « Réseau »  est composé de personnages sans scrupules, sans humanité, qui n’hésitent pas à déclencher des guerres, à tuer des millions d’innocents si cela peut leur rapporter. Des sociétés membres ont massivement aidé l’effort de guerre d’Hitler et ont continué même après l’entrée en guerre des États Unis.

Il est impossible en quelques paragraphes de résumer tout ce qu’a écrit Joseph Plummer dans son livre ; j’en conseille donc la lecture très enrichissante ; comme d’ailleurs celle de « La Super classe Mondiale contre les peuples ».

Que dire par ailleurs de la conférence glaçante prononcée par le Docteur Alexandre devant les élèves de grandes Écoles où, cet ignoble personnage, ose dire à ses auditeurs qu’ils seront « les dieux » qui dirigeront les inutiles ! Il ne sait pas que dans une fourmilière toutes les fourmis ont leur utilité et ne connaît pas le proverbe très sage : « on a toujours besoin d’un plus petit que soi ». Il a même osé écrire : « on peut prendre le risque de vacciner les personnes âgées très vite parce qu’elles ont une espérance de vie résiduelle » ! Tout cela est symptomatique d’un état d’esprit particulièrement dangereux.

Les deux auteurs cités dans ce court résumé terminent sur une note d’espoir. Ils pensent que le mondialisme n’arrivera pas à s’imposer mais que le combat sera difficile, voire sanglant (Joseph Plummer le présente comme la troisième guerre mondiale). On se rend bien compte qu’actuellement les mondialistes font feu de tout bois ; ils sont inquiets car ils se savent découverts.

Michel Geoffroy rappelle que le mondialisme s’est développé dans les pays anglo-saxons et que c’est principalement une maladie occidentale. Il estime que l’on va plutôt vers un monde multipolaire avec l’affirmation des grandes puissances : Chine, Inde, Russie…

Cependant, si les mondialistes arrivaient à leur fin il est certain que ce serait une catastrophe pour l’humanité car les nations souveraines et les civilisations seraient détruites ; les peuples seraient asservis.

Le système ne durerait certainement pas longtemps. Tous les mondialistes ne pourraient pas diriger, il y aurait des jalousies, des conflits et les loups finiraient par se manger entre eux dans un monde devenu chaotique.

Pour conjurer ce très grave danger mondialiste il est important que chaque citoyen agisse à son niveau, au moins en s’informant, en prenant conscience de ses menées et en les faisant connaître. Il faut méditer cette maxime : « Pour que le mal s’installe il suffit que les braves gens ne fassent rien ».

Jacques Amiot

Breizh-info.com - 11/10/2021

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