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Seules 2 sociétés, Vanguard et BlackRock [1], contrôlent la planète, alors que les 1 % les plus riches du monde possèdent 82 % de la richesse mondiale. Les actions des plus grandes entreprises du monde sont détenues par les mêmes investisseurs institutionnels. Ils sont tous propriétaires les uns des autres.

Cela signifie que des marques « concurrentes », comme Coke et Pepsi, ne le sont pas vraiment, puisque leurs actions sont détenues par exactement les mêmes sociétés d’investissement, fonds de placement, compagnies d’assurance, banques et, dans certains cas, gouvernements. C’est le cas dans toutes les grandes industries.

Les petits investisseurs sont détenus par de plus gros investisseurs. Ceux-ci sont détenus par des investisseurs encore plus grands. Le sommet visible de cette pyramide ne comporte que deux sociétés dont nous avons parfois vu le nom…

Ce sont Vanguard et BlackRock.

La puissance de ces deux sociétés dépasse votre imagination. Elles possèdent non seulement une grande partie des actions de presque toutes les grandes entreprises, mais aussi les actions des investisseurs de ces entreprises. Cela leur donne un monopole complet.

Un rapport de Bloomberg indique qu’en 2028, ces deux sociétés disposeront ensemble d’investissements d’un montant de 20 000 milliards de dollars. Cela signifie qu’elles posséderaient presque tout. Bloomberg appelle BlackRock « la quatrième branche du gouvernement », car c’est la seule agence privée qui travaille étroitement avec les banques centrales. Black Rock prête de l’argent à la banque centrale, mais elle est aussi sa conseillère. Elle développe également les logiciels utilisés par la banque centrale.

De nombreux employés de Black Rock étaient à la Maison Blanche avec Bush et Obama.

Son PDG, Larry Fink, juif, peut compter sur un accueil chaleureux de la part des dirigeants et des politiciens. Pas si étrange, si l’on sait qu’il est l’homme de paille de la société dirigeante, mais Larry Fink ne tire pas les ficelles lui-même.

Black Rock, elle-même, est également détenue par des actionnaires. Qui sont ces actionnaires ? Nous arrivons à une étrange conclusion. Le plus gros actionnaire est… Vanguard.

Selon des rapports d’Oxfam et de Bloomberg, 1 % de la population mondiale possède plus d’argent que les 99 % restants. Pire encore, Oxfam affirme que 82 % de l’argent gagné en 2017 est allé à ces 1 %. En d’autres termes, ces deux sociétés d’investissement, Vanguard et BlackRock, détiennent un monopole dans toutes les industries du monde et elles sont, à leur tour, détenues par les familles les plus riches du monde.

Pourquoi tout le monde ne le sait-il pas? Pourquoi n’y a-t-il pas de films et de documentaires à ce sujet ? Pourquoi cela ne fait-il pas la une des journaux? Parce que 90 % des médias internationaux sont détenus par neuf conglomérats médiatiques.

Covid/Arnaque demande : « Qui sponsorise les agences de presse qui produisent nos informations ? » Avec Project Syndicate, nous voyons la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Open Society et le Centre européen de journalisme[2] Les organisations qui apportent les nouvelles sont payées par des organisations à but non lucratif, de la même élite qui possède également l’ensemble des médias mais aussi une partie de l’argent des contribuables est utilisée pour les payer. » Ou, comme le disait George Carlin, « C’est un petit club et vous n’en faites pas partie ».

Donc, lorsque Lynn Forester de Rothschild veut que les Etats-Unis soient un pays à parti unique (comme la Chine) et ne veut pas que des lois d’identification des électeurs soient adoptées aux Etats-Unis, afin que davantage de fraudes électorales puissent être perpétrées pour parvenir à cette fin, que fait-elle ? Elle organise une conférence téléphonique avec les cent plus grands PDG du monde et leur demande de qualifier publiquement de « Jim Crow » l’adoption par la Géorgie d’une loi anti-corruption et ordonne à ses PDG consciencieux de boycotter l’Etat de Géorgie, comme nous l’avons vu avec Coca-Cola et la Major League Baseball et même la star hollywoodienne Will Smith. Dans cette conférence téléphonique, nous voyons des indices de la Grande Réinitialisation, de l’Agenda 2030, du Nouvel Ordre Mondial.

L’ONU veut s’assurer, comme le fait Schwab, qu’en 2030, la pauvreté, la faim, la pollution et la maladie ne seront plus un fléau pour la Terre. Pour y parvenir, l’ONU veut que les impôts des pays occidentaux soient répartis entre les méga-corporations de l’élite pour créer une toute nouvelle société. Pour ce projet, l’ONU affirme que nous avons besoin d’un gouvernement mondial – à savoir l’ONU elle-même. Et il est clair que la « pandémie » a été orchestrée dans ce but.

Alors que vous voyez des millions de personnes tomber dans la pauvreté à cause des mesures anticovid de l’année dernière, même si la plus grande crise économique de l’histoire ne vous a pas encore touché, ce n’est qu’une question de temps avant que les effets collatéraux ne vous touchent également. Il ne s’agit pas d’un discours alarmiste, mais d’une dure réalité. Nous pourrions atténuer les dégâts et peut-être même faire mieux, à condition d’être correctement informés de cette situation.

Voici quelques faits faciles à vérifier, des faits qui sont d’une importance cruciale. Moins d’une poignée de grandes entreprises dominent tous les aspects de notre vie. Cela peut sembler exagéré, mais des ingrédients du petit-déjeuner que nous consommons au matelas sur lequel nous dormons, en passant par tout ce que nous portons pour nous vêtir et consommons pour vivre, tout dépend largement de ces sociétés. Ce sont d’énormes sociétés d’investissement qui déterminent le cours des flux d’argent. Elles sont les personnages principaux de la pièce à laquelle nous assistons.

Comment cela fonctionne-t-il ?

 

L’industrie agro-alimentaire

Prenons l’exemple de Pepsico. C’est la société mère de nombreuses entreprises de sodas et de snacks. Les marques dites concurrentes sont issues des usines de quelques sociétés qui monopolisent l’ensemble de cette industrie.

Dans l’industrie des aliments emballés, il y a quelques grandes entreprises multinationales, comme Unilever, Coca-Cola, Mondelez et Nestlé et la plupart de ces marques de l’industrie agro-alimentaire connues dans le monde entier appartiennent à l’une de ces sociétés.

Les grandes entreprises sont cotées en Bourse et les gros actionnaires siègent au conseil d’administration.

Sur des sites comme Yahoo Finance, nous pouvons obtenir des informations détaillées sur les entreprises, notamment sur l’identité des principaux actionnaires. Prenons à nouveau l’exemple de Pepsico. Nous constatons qu’environ 72 % des actions sont détenues par pas moins de 3155 investisseurs institutionnels. Il s’agit de sociétés d’investissement, de fonds de placement, de compagnies d’assurance, de banques et, dans certains cas, de gouvernements.

Qui sont les plus gros investisseurs institutionnels de Pepsico ? Comme on peut le constater, seuls dix investisseurs détiennent ensemble près d’un tiers des actions.

Les dix premiers investisseurs représentent ensemble une valeur boursière de 59 milliards de dollars, mais sur ces dix, seuls trois possèdent plus d’actions que les sept autres.

Rappelons-les et regardons qui possède le plus d’actions de la Coca-Cola Company, le plus grand concurrent de Pepsi. La plus grande partie des actions est à nouveau détenue par des investisseurs institutionnels.

Regardons les dix premiers et commençons par les six derniers. Quatre de ces investisseurs institutionnels sont aussi dans les six derniers de Pepsico.

Il s’agit de Northern Trust, JP Morgan-Chase, Geode Capital Management et Wellington Management.

Maintenant, regardons les trois plus gros détenteurs d’actions : ce sont BlackRock, Vanguard et State Street.

Ce sont les plus grandes sociétés d’investissement du monde, donc Pepsico et Coca-Cola ne sont pas du tout des concurrents.

Les autres grandes entreprises qui possèdent une myriade de marques, comme Unilever, Mondelez et Nestlé, appartiennent au même petit groupe d’investisseurs. Mais ce n’est pas seulement dans l’industrie agro-alimentaire que leurs noms apparaissent.

Les GAFA

Découvrons sur Wikipédia, quelles sont les plus grandes entreprises technologiques. Facebook est le propriétaire de Whatsapp et d’Instagram. Avec Twitter, ils forment les plateformes de médias sociaux les plus populaires.

Alphabet est la société mère de toutes les entreprises Google, comme YouTube et Gmail, mais elle est aussi le plus gros investisseur dans Android, l’un des deux systèmes d’exploitation de presque tous les smartphones et tablettes.

L’autre système d’exploitation est IOS d’Apple. Si nous ajoutons Microsoft, nous voyons quatre entreprises qui fabriquent les logiciels de presque tous les ordinateurs, tablettes et smartphones dans le monde.

Voyons qui sont les plus gros actionnaires de ces entreprises.

Prenons Facebook : nous voyons que 80 % des actions sont détenues par des investisseurs institutionnels. Ce sont les mêmes noms qui sont apparus dans l’industrie agro-alimentaire ; les mêmes investisseurs sont dans le top 3. Ensuite, il y a Tween Il forme avec Facebook et Instagram le trio de tête. Etonnamment, cette société est également aux mains des mêmes investisseurs. Nous les voyons à nouveau, avec Apple et même avec leur plus grand concurrent, Microsoft.

De même, si nous examinons d’autres grandes entreprises de l’industrie technologique qui développent et fabriquent nos ordinateurs, nos téléviseurs, nos téléphones et nos appareils ménagers, nous voyons les mêmes grands investisseurs, qui détiennent ensemble la majorité des actions.

Sans exagérer, c’est vrai pour toutes les grandes industries.

L’industrie du voyage (énergie et mines)

Nous pouvons organiser nos vacances par ordinateur ou via un smartphone. Nous recherchons un vol vers un pays ensoleillé sur Skyscanner ou Expedia. Les deux sont issus du même groupe d’investisseurs. Nous prenons l’avion avec l’une des nombreuses compagnies aériennes. Dont beaucoup sont aux mains des mêmes investisseurs et des gouvernements, comme c’est le cas d’Air France et de KLM. L’avion que nous prenons est, dans la plupart des cas, un Boeing ou un Airbus, qui appartiennent également aux mêmes noms. Nous réservons par l’intermédiaire de Booking.com ou AirBnB et, une fois arrivés, nous sortons dîner et plaçons un commentaire sur Tripadvisor.

Les mêmes grands investisseurs interviennent dans tous les aspects de notre voyage et leur emprise est encore plus importante, car le kérosène provient de leurs compagnies pétrolières ou de leurs raffineries.

L’acier à partir duquel l’avion est fabriqué provient de leurs sociétés minières. Ce petit groupe de sociétés d’investissement, de fonds et de banques sont en fait aussi les plus grands investisseurs dans l’industrie des matières premières. Wikipédia montre que les plus grandes sociétés minières ont les mêmes grands investisseurs que ceux que nous voyons partout.

De même pour les grandes entreprises agricoles, dont dépend toute l’industrie alimentaire ; elles possèdent Bayer, la société mère de Monsanto, le plus grand producteur de semences au monde, mais elles sont aussi les actionnaires de la grande industrie textile.

Et même de nombreuses marques de mode populaires qui fabriquent les vêtements à partir du coton appartiennent aux mêmes investisseurs.

Qu’il s’agisse des plus grandes entreprises de panneaux solaires ou des raffineries de pétrole, les actions sont entre les mains des mêmes sociétés.

Elles possèdent les sociétés de tabac qui produisent toutes les marques de tabac, mais aussi toutes les grandes sociétés pharmaceutiques et les institutions scientifiques qui produisent des médicaments. Elles possèdent les mines, les hauts-fourneaux, les forges et les fonderies, bref l’industrie métallurgique dans son ensemble, ainsi que les industries automobile, aéronautique et de l’armement, où une grande partie des métaux et des matières premières sont utilisés.

Elles possèdent les entreprises qui fabriquent nos produits électroniques, les grands entrepôts, les marchés en ligne et même les moyens de paiement que nous utilisons pour acheter leurs produits. Et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Si vous décidez de faire des recherches avec les sources que je viens de citer, vous verrez que la plupart des compagnies d’assurance, des banques, des entreprises de construction, des compagnies de téléphone, des chaînes de restaurants et des cosmétiques sont détenus par les mêmes investisseurs institutionnels que ceux que nous venons de voir.

Blackrock & Vanguard

Ces investisseurs institutionnels sont principalement des sociétés d’investissement, des banques et des compagnies d’assurance.

Elles sont elles-mêmes détenues par des actionnaires et le plus surprenant est qu’elles possèdent les actions les unes des autres.

Ensemble, ils forment un immense réseau comparable à une pyramide. Les petits investisseurs appartiennent à de plus gros Investisseurs. Ces derniers sont détenus par des investisseurs encore plus grands. Le sommet visible de cette pyramide ne comporte que deux sociétés dont nous avons déjà souvent vu le nom. Il s’agit de Vanguard et de BlackRock.

Le pouvoir de ces deux sociétés dépasse l’imagination. Elles possèdent non seulement une grande partie des actions de presque toutes les grandes entreprises, mais aussi les actions des investisseurs dans ces entreprises. Cela leur confère un monopole complet.

Un rapport de Bloomberg indique qu’en 2028, ces deux sociétés disposeront ensemble d’investissements d’un montant de 20 000 milliards de dollars. Cela signifie qu’elles posséderont presque tout. Bloomberg appelle Black Rock « le quatrième Département du gouvernement », car c’est la seule agence privée qui travaille étroitement avec les banques centrales.

BlackRock prête de l’argent à la banque centrale, mais il est aussi son conseiller. Elle développe également les logiciels utilisés par la banque centrale. De nombreux employés de Black Rock étaient à la Maison Blanche avec Bush et Obama.

Son PDG, Larry Fink, peut compter sur un accueil chaleureux de la part des dirigeants et des politiciens. Pas si étrange, si l’on sait qu’il est l’homme de paille de la société dirigeante. Mais Lamy Fink ne tire pas les ficelles lui-même.

Black Rock, lui-même, est également détenu par des actionnaires. Qui sont ces actionnaires ? Nous arrivons à une étrange conclusion. Le plus gros actionnaire est Vanguard.

Mais maintenant il devient obscur. Vanguard est une société privée et nous ne pouvons pas voir qui sont les actionnaires. L’élite qui possède Vanguard n’aime apparemment pas être sous les feux de la rampe mais, bien sûr, elle ne peut se cacher de qui veut bien creuser.

Selon des rapports d’Oxfam et de Bloom-berg, 1 % de la population mondiale possède plus d’argent que les 99 % restants. Pire encore, Oxfam affirme que 82 % de l’argent gagné en 2017 est allé à ces 1 %. Forbes, le plus célèbre magazine économique, affirme qu’en mars 2020, il y avait 2095 milliardaires dans le monde.

Cela signifie que Vanguard est détenu par les familles les plus riches du monde. Si nous faisons des recherches sur leur histoire, nous constatons qu’elles ont toujours été les plus riches.

Certaines d’entre elles, même avant le début de la révolution industrielle, parce que leur histoire est tellement intéressante et étendue, je ferai une suite.

Pour l’instant, je veux juste dire que ces familles, dont beaucoup font partie de la royauté, sont les fondateurs de notre système bancaire et de toutes les industries du monde. Ces familles n’ont jamais perdu le pouvoir, mais en raison de l’augmentation de la population, elles ont dû se cacher derrière des entreprises, comme Vanguard, dont les actionnaires sont les fonds privés et les organisations à but non lucratif de ces familles.

ONG et fondations liées aux Big Pharma

Pour clarifier le tableau, il convient d’expliquer brièvement ce que sont réellement les organisations à but non lucratif. Celles-ci apparaissent comme le lien entre les entreprises, la politique et les médias. Cela dissimule un peu les conflits d’intérêts.

Les organisations à but non lucratif, également appelées « fondations », dépendent des dons ; elles ne doivent pas divulguer l’identité de leurs donateurs ; elles peuvent investir l’argent comme elles l’entendent et ne paient pas d’impôts tant que les bénéfices sont réinvestis dans de nouveaux projets.

De cette manière, les organisations à but non lucratif gardent entre elles des centaines de milliards de dollars ; selon le gouvernement australien, les organisations à but non lucratif sont un moyen idéal de financer les terroristes et de blanchir massivement de l’argent.

Les fondations et les fonds des familles les plus riches restent le plus possible dans l’ombre.

Pour les questions qui retiennent l’attention, on fait appel aux fondations de philanthropes de rang inférieur mais très riches.

Pour faire court, il est possible de voir quelles sont les trois plus importantes fondations qui relient toutes les industries du monde.

Il s’agit de la Fondation Bill et Melinda Gates, de la Fondation Open Society du multimilliardaire controversé Soros et de la Fondation Clinton. Je vais vous donner une très courte introduction pour vous montrer leur puissance.

Selon le site web du Forum économique mondial, la Fondation Gates est le plus grand sponsor de l’OMS. Et ce, après que Donald Trump ait renoncé au soutien financier des Etats-Unis à l’OMS en 2020. La Fondation Gates est donc l’une des entités les plus influentes dans tout ce qui concerne notre santé.

La Fondation Gates travaille en étroite collaboration avec les plus grandes entreprises pharmaceutiques, parmi lesquelles Pfizer, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Biontech et Bayer.

Et nous venons de voir qui sont leurs plus gros actionnaires. Bill Gates n’est pas un pauvre informaticien qui est devenu miraculeusement très riche. Il est issu d’une famille de philanthropes qui travaille pour l’élite absolue.

Son Microsoft est détenu par Vanguard, Black Rock et Berkshire Hathaway. Mais la Fondation Gates, après Black Rock et Vanguard est le plus gros actionnaire de Berkshire Hathaway. Il a même été membre du conseil d’administration là-bas.

Il nous faudrait des heures si nous voulions découvrir tout ce dans quoi Gates, la Fondation Open Society de Soros et la Fondation Clinton sont impliqués. Ils forment le système nerveux en phase avec la situation actuelle, il est donc nécessaire de les présenter.

Les médias grand public

Nous devons commencer le prochain sujet par une question. Quelqu’un comme moi, qui ne fait jamais de vidéos, peut, avec un vieil ordinateur portable, montrer objectivement que seules deux entreprises détiennent un monopole dans toutes les industries du monde.

Ma question est la suivante : pourquoi n’en parle-t-on jamais dans les médias ? Nous pouvons choisir quotidiennement entre toutes sortes de documentaires et de programmes télévisés, mais aucun d’entre eux ne traite de ce sujet. N’est-il pas assez intéressant ou y a-t-il d’autres intérêts en jeu ?

Wikipédia, encore une fois, nous donne la réponse. Ils disent qu’environ 90 % des médias internationaux sont détenus par neuf conglomérats médiatiques.

Que l’on prenne le monopoliste Netflix et Amazon Prime ou les énormes groupes qui possèdent de nombreuses sociétés filles, comme Time-Warner, la Walt Disney Company, Comcast, Fox Corporation, Bertelsmann et Viacom, CBS, nous voyons que les mêmes noms possèdent des actions.

Ces sociétés ne se contentent pas de produire tous les programmes, films et documentaires, mais possèdent également les chaînes sur lesquelles ils sont diffusés. Ainsi, non seulement les industries mais aussi l’information sont la propriété de l’élite.

Je vais vous montrer brièvement comment cela fonctionne aux Pays-Bas. Pour commencer, tous les grands médias néerlandais sont détenus par trois sociétés. La première est De PersGroep [DPG Media], la société mère des marques suivantes. Outre les nombreux journaux et magazines, elle possède également Sanoma, la société mère de certaines des grandes chaînes commerciales néerlandaises. De nombreux médias étrangers, comme VTM, appartiennent également à De PersGroep. Le deuxième groupe est Mediahuis, l’un des plus grands groupes de médias d’Europe. Aux Pays-Bas, Mediahuis possède les marques suivantes. Jusqu’en 2017, Mediahuis possédait également Sky Radio et Radio Veronica, ainsi que Radio 538 et Radio 10.

Et puis il y a Bertelsmann, qui est l’une des neuf plus grandes entreprises de médias. Cette société possède RTL, qui possède 45 stations de télévision et 32 stations de radio dans 11 pays. Mais Bertelsmann est également copropriétaire du plus grand éditeur de livres du monde, Penguin Random House.

Les actions de ces sociétés sont détenues par des fonds privés de trois familles. Il s’agit de la famille belge Van Thillo, de la famille belge Leysen et de la famille allemande Bertelsmann-Mohn.

Les « fake news »

Pour compléter cet aperçu, regardez la source des nouvelles. Les nouvelles quotidiennes de tous ces médias – les divers médias d’information – ne produisent pas de nouvelles.

Ils utilisent les informations et les images des agences de presse, ANP et Reuters. Ces agences ne sont pas indépendantes. ANP est la propriété de Talpa, John de Mol. Thomson-Reuters est la propriété de la puissante famille canadienne Thomson. Les journalistes et rédacteurs les plus importants travaillant pour ces agences sont membres d’une agence de journalisme, comme le Centre européen de journalisme. Ces derniers sont l’un des plus grands sponsors européens de projets liés aux médias.

Ils forment des journalistes, publient des livres d’étude, fournissent des espaces de formation et des agences de presse et travaillent en étroite collaboration avec les grandes entreprises, Google et Facebook. Pour les analyses et les points de vue journalistiques, les grands médias utilisent Project Syndicate. Il s’agit de l’organisation la plus puissante dans ce domaine. Project Syndicate et les organisations que j’ai mentionnées collaborent avec les agences de presse.

Le lien entre tous les médias du monde

Lorsque les présentateurs de journaux télévisés utilisent leur prompteur, il y a de fortes chances que le texte provienne de l’une de ces organisations. C’est la raison pour laquelle les médias du monde entier font preuve de synchronisme dans leurs reportages.

Et regardez le centre européen de journalisme, lui-même. Encore une fois, la fondation Gates et la fondation Open Society. Ils sont également fortement sponsorisés par Facebook, Google, le ministère de l’éducation et des sciences et le ministère des affaires étrangères.

Qui sponsorise l’organisation et les agences de presse qui produisent nos informations ? Avec Project Syndicate, nous voyons la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Open Society et le Centre européen de journalisme.

Les organisations qui apportent les nouvelles sont payées par des organisations sans but lucratif, de la même élite qui possède également l’ensemble des médias, mais aussi une partie de l’argent des contribuables est utilisée pour les payer.

En Belgique, il y a régulièrement des protestations, car Mediahuis et De Persgroep reçoivent des millions d’euros du gouvernement, alors que beaucoup sont à l’étranger…

Le danger du temps présent

C’était beaucoup de choses à assimiler tout en essayant de faire aussi court que possible. N’ont été utilisé que les exemples pour créer une vue d’ensemble claire. Cela permet de mieux comprendre notre situation actuelle, cela peut apporter un nouvel éclairage sur les événements passés. Nous aurons suffisamment de temps pour nous plonger dans le passé, mais parions maintenant d’aujourd’hui. Mon but est de vous informer du danger dans lequel nous nous trouvons actuellement.

L’élite gouverne chaque aspect de nos vies, également, les informations que nous obtenons et ils dépendent d’une coordination, d’une coopération pour connecter toutes les industries dans le monde pour servir leurs intérêts.

Cela se fait par le biais du Forum économique mondial, entre autres, une organisation très importante. Chaque année, à Davos, les PDG des grandes entreprises rencontrent des dirigeants nationaux, des hommes politiques et d’autres parties influentes, comme l’UNICEF et Greenpeace.

Le conseil de surveillance du WEF compte l’ancien vice-président Al Gore, notre propre ministre Sigrid Kaag, Feike Sijbesma, président de la Royal Dutch State Mines et le commissaire de la banque néerlandaise, Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne.

De plus, le fils de l’homme politique Ferdinand Grapperhaus travaille pour le WEF. Wikipédia indique que la cotisation annuelle des membres est de 35 000 euros « mais plus de la moitié de notre budget provient de partenaires qui paient le coût pour les politiciens qui, autrement, ne pourraient pas se permettre d’adhérer. » Selon les critiques, le WEF est destiné aux riches entreprises pour faire des affaires avec d’autres entreprises ou avec des politiciens.

Pour la plupart des membres, le WEF favoriserait le gain personnel au lieu d’être un moyen de résoudre les problèmes du monde.

Pourquoi y aurait-il beaucoup de problèmes dans le monde si les leaders de l’industrie, les banquiers et les politiciens depuis 1971 se réunissent chaque année pour résoudre les problèmes du monde ? N’est-il pas illogique qu’après 50 ans de rencontres entre les écologistes et les PDG des entreprises les plus polluantes, la nature se dégrade peu à peu au lieu de s’améliorer ? Ces critiques ont raison, c’est clair, quand on regarde les principaux partenaires qui représentent ensemble plus de la moitié du budget du WEF.

Car il s’agit de Black Rock, de la fondation Open Society, de la fondation Bill et Melinda Gates et de nombreuses grandes entreprises, dont Vanguard et Black Rock possèdent les actions.

Le président et fondateur du WEF est Klaus Schwab, un professeur et homme d’affaires suisse. Dans son livre, The Great Reset, il décrit les projets de son organisation.

Le coronavirus est, selon lui, une grande « opportunité » pour réinitialiser nos sociétés. Il l’appelle « Build Back Better ». Ce slogan est désormais sur les lèvres de tous les politiciens mondialistes du monde.

Notre ancienne société doit passer à une nouvelle, dit Schwab. Les gens ne possèdent rien mais travaillent pour l’État afin que leurs besoins primaires soient satisfaits. Le WEF affirme que c’est nécessaire car la société de consommation que l’élite nous a imposée n’est plus viable.

Schwab affirme dans son livre que nous ne reviendrons jamais à l’ancienne norme et le WEF a récemment publié une vidéo pour expliquer clairement que d’ici 2030, nous ne posséderons rien mais nous serons heureux.

Le grand reset = le nouvel ordre mondial

Vous avez probablement entendu parler du Nouvel Ordre Mondial. Les médias veulent nous faire croire qu’il s’agit d’une théorie du complot, pourtant les dirigeants en parlent depuis des décennies. Pas seulement George Bush père, Bill Clinton et Nelson Mandela, mais aussi des philanthropes de renommée mondiale, comme Cecil Rhodes, David Rockefeller, Henry Kissinger et même George Soros. L’ONU a présenté en 2015 son controversé Agenda 2030. Il est presque identique au Great Reset de Klaus Schwab. L’ONU veut s’assurer, tout comme Schwab, qu’en 2030, la pauvreté, la faim, la pollution et les maladies ne sévissent plus sur la Terre. Cela semble digne d’intérêt, mais attendez de lire les petits caractères. Le plan prévoit que l’Agenda 2030 sera payé par nous, les citoyens.

Tout comme ils nous demandent aujourd’hui de renoncer à nos droits pour la santé publique, ils nous demanderont de renoncer à nos richesses pour lutter contre la pauvreté. Il ne s’agit pas de théories du complot.

C’est sur leur site officiel. Cela se résume à ceci : L’ONU veut que les impôts des pays occidentaux soient répartis entre les méga-corporations de l’élite pour créer une toute nouvelle société. Une nouvelle infrastructure, car les combustibles fossiles auront disparu en 2030.

Pour ce projet, l’ONU dit que nous avons besoin d’un gouvernement mondial, à savoir l’ONU elle-même.

L’ONU est d’accord avec Schwab pour dire qu’une pandémie est une chance en or d’accélérer la mise en œuvre de l’Agenda 2030.

Il est inquiétant que le WEF et l’ONU admettent ouvertement que les pandémies et autres catastrophes peuvent être utilisées pour remodeler la société.

Nous ne devons pas penser à la légère à ce sujet et la première étape du combat est toujours de désigner l’ennemi.

 

Source : Le Courrier du Continent, n°631, Septembre 2021

Vu sur « la lettre de Jeune Nation » N° 1105

 

Notes :

[1]     Philipp Hildebrand, ancien président de la Banque nationale suisse (BNS), pourtant convaincu en 2012 de complicité dans le délit d’initié de son épouse, née Louis-Dreyfus, a été nommé après sa « démission » directeur général de Black Rock.

[2]     Le général Delawarde mis en examen pour « incitation à la haine et à la violence » pour avoir demandé « Qui contrôle les médias ? Qui ? »

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