Jamais un homme n'aura dans notre modernité incarné avec une telle force, une nouvelle éthique de l'Honneur.
Son surnom de Menhir résume bien ses Fidélités.
Par ce qu'il ne s'est pas couché devant les lobbies qui diluent les intérêts de la France on l'a traité d’antisémite.
Par ce qu'il a condamné la mondialisation et ses flots migratoires nécessaires au bon fonctionnement du turbo capitalisme, il a été sali et mis de côté sur la scène politique nationale.
Jean Marie Le Pen a incarné la Résistance quand elle n'existait pas. Il a montré l'exemple du refus de la soumission à des générations entières.
Par la vigueur de ses convictions il a fait défiler des milliers de personnes dans les rues, sous la bannière du drapeau Français. Créant de facto le seul véritable syndicat de défense des Français, quand tous les trahissaient !
Combien de temps lui avons-nous offert, répondant à son engagement exemplaire ? En meeting, en tractage, en collage, en DPS. Lui qui avait souffert et combattu il savait être reconnaissant : toujours un mot à la tribune pour « ses DPS », un clin d'œil, une poignée de main pour remercier ceux qui veillaient sur lui lors des meetings.
Il a forgé une partie de notre identité par son courage, sa détermination et son abnégation. Et nous lui en sommes reconnaissant.
Par ce qu'il a incarné, sans jamais rien concéder, la défense de la France et des Français, il est même tenu en estime par certains Français de branche... car eux se souviennent de sa position, incroyable pour l'époque, lorsqu'il prit la défense de Saddam Hussein et du peuple Irakien génocidé pour du pétrole et le bon plaisir des intérêts « Occidentalo-yankee ».
Merci Monsieur Le Pen d'avoir par ce positionnement unique pour son époque, si bien incarné notre devise « Une Terre, un Peuple » en reconnaissant à chacun l'identité liée à sa terre, son peuple, son histoire, sa culture, sa religion... Nous confortant dans notre positionnement ethno-différentialiste, au moment où tous prônent le métissage généralisé, nous restons, et resterons les derniers et fidèles défenseurs de la diversité identitaire.
L'Histoire vous donne déjà raison, vous qui aviez alerté, avec d'autres, dont Pierre Vial, des dangers mortels qui pesaient sur l'avenir des Boréens.
Au moment où les décadents et les haineux, qui se qualifient eux-mêmes de camp du bien, crient leur haine de votre personne et de vos combats, nous savons, nous, que nous combattrons encore et toujours, pour l'amour des nôtres d'abord ! Amour des siens ne veut pas dire haine des autres, contrairement à ce que tout un système veut faire croire pour en ternir l'image.
Jean Marie Le Pen ? Présent !
Roberto Fiorini - Terre & Peuple
NB : « Quand on est dans son droit on ne faiblit pas »... hurlait-il en 1997 à un préfet de la Ripoublique, qui lui refusait l'accès au plateau des Glières, pour saluer la mémoire des Résistants.
Il hurlait contre ce préfet mais c'est devenu un leitmotiv pour qui se souvient : désormais nous devons incarner, sans faiblir, la nouvelle résistance à l'oppression.
https://www.liberation.fr/france/1997/12/01/le-pen-refoule-sur-le-plateau-des-glieres-il-voulait-se-rendre-sur-ce-lieu-de-resistance_223638/