Melting glaciers in Lendbreen, Norway have revealed a lost mountain pass and artifacts that were used by the Vikings.
Norvège: la fonte d'un glacier permet la découverte de reliques de l'époque des Vikings
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- Catégorie : ARCHEOLOGIE
Cette découverte archéologique majeure est également un témoignage culturel fort de cette époque.
Il s'agit d'une découverte spectaculaire. L'histoire commence en 2011, raconte The Guardian, lorsque des scientifiques découvrent une tunique de laine, datant du IIIe ou IV siècle après Jésus-Christ, à proximité du col de Lendbreen, dans une région centrale et montagneuse de Norvège.
"Découverte remarquable"
Dès lors, l'attention de ces derniers s'est fixée sur cette zone, par une observation malheureusement facilitée par la fonte des montagnes. Et ces derniers mois, de nombreux artefacts, cette fois-ci datés aux environs de l'an 1000, en pleine époque viking, ont été découverts. Parmi eux, des pièces inestimables telles que des flèches, chaussures en cuir et des mitaines.
"Ce sont des objets qui ont été emprisonnés par le froid il y a 1000 ans et qui sont maintenant découverts. Le textile est parfaitement conservé, nous avons également des flèches en très bon état. C'est une découverte remarquable", souligne auprès du média anglais James Barrett, archéologue à l'université de Cambridge, qui a pris part aux fouilles.
Témoignage du passé
Témoignage du passé, cette découverte a également mis en lumière des pratiques culturelles de l'époque. Parmi elles, les cairns, ces amas de pierre censés guider les voyageurs à travers le brouillard, tenace et épais dans cette région du globe.
La totalité des trouvailles a été publiée dans la revue Antiquity. Du fait de la fonte déjà bien avancée du col, les scientifiques estiment que le lieu a désormais livré tous ses secrets.
I-Média n°284 – Face au courage de Mila, la soumission des médias
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La police beaucoup moins virulente avec la racaille immigrée... (vidéo)
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Epidemondialisation. Entretien avec Laurent Ozon L’Echo des Canuts n° 12
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Ce soir, Roberto vous propose un entretien avec Laurent Ozon, idunstriel et auteur de "France, les années décisives", pour une analyse à chaud de la crise que nous traversons.
Nos auditeurs connaissent Laurent Ozon : sa personnalité et ses analyses laissent rarement ceux qui l’écoutent indifférents, qu’on l’approuve ou qu’il énerve. gageons qu’il en sera de même avec cet entretien…
Références :
https://editionsbios.fr/livre/les-annees-decisives
https://fr.quora.com/Nous-Européens-devons-nous-paniquer-face-au-Coronavirus/answer/Laurent-Ozon-1?ch=10&share=7f42a294&srid=3SgSs
Guide AFNOR : évite de contaminer les autres
https:\www.afnor.org\actualites\coronavirus-telechargez-le-modele-de-masque-barriere\
Pour écouter l'émission depuis le podcast ::
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Belle chanson rendant hommage aux 108 soldats tombés lors de la bataille de Košare (Serbie, 9 avril - 10 juin 1999)
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- Catégorie : Chants et Chansons
Il y a 21 ans, la bataille de Košare (9 avril - 10 juin 1999)...
Pendant que nos grands médias se claquemuraient dans un discours lénifiant doublé d'un déni de réalité, un Etat souverain, la République Fédérale de Yougoslavie, était aux prises avec une guérilla séparatiste albanaise - l'UCK - soutenue, financée et armée par des capitales occidentales.
Le 9 avril 1999 - vendredi saint orthodoxe - des centaines de ces coupe-jarrets de l'UCK, encadrés par des SAS britanniques et appuyés au sol par l'artillerie et des blindés de l'armée albanaise, attaquaient depuis l'Albanie le poste frontière yougoslave de Košare, au Sud-Ouest du Kosovo-Métochie, défendu par moins de 200 soldats.
Les assaillants bénéficiaient du renseignement et du soutien aérien de l'OTAN, qui avait la maîtrise du ciel.
S'ensuivirent deux mois de combats acharnés, qui ont tourné épisodiquement à l'affrontement direct entre les armées albanaise et yougoslave. Mais les extrémistes albanais et leurs alliés n'ont jamais réussi à déborder la ligne de défense serbe.
Cette résistance opiniâtre a considérablement refroidit les ardeurs bellicistes des chancelleries occidentales, laissant augurer que l'attaque terrestre envisagée un temps par les troupes de l'OTAN - la phase trois - tournerait au bain de sang.
Les pays de l'Alliance atlantique ont donc redécouvert les vertus de la légalité internationale en recherchant sous les auspices de l'ONU, une solution politique au conflit: ce fut la Résolution 1244 des Nation-Unies adoptée le 10 juin 1999, qui réaffirmait la souveraineté de Belgrade sur la province du Kosovo-Métochie.
Cette chanson, «Vila sa Košara / La fée de Košare», interprétée par Danica Crnogorčević, est dédiée aux 108 soldats yougoslaves qui ont fait le sacrifice suprême pour défendre l'intégrité territoriale de leur pays. 108 vies fauchées dans l'enfer de Košare symbolisées par autant de chaises vides portant leurs noms, à gauche de la scène, sous les drapeaux yougoslaves.
Jean-Michel Bérard
LITTÉRATURE - TRADITIONS : SPÉCIAL BRETAGNE
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La légende de la mort
Ce livre est le fruit d’un long collectage auprès de la population rurale de Basse-Bretagne, à l’époque brittophone dans sa quasi-totalité. La plupart de ces légendes lui ont donc été contées en breton…
L’imaginaire collectif des Bretons se retrouve dans cette Légende de la Mort, où nul n’est effrayé par l’ombre de l’Ankou (représentation personnifiée de la mort) ou bien le peuple des Anaon (âmes défuntes) et pour qui les kannerezed noz (lavandières de la nuit) ont gardé leur pouvoir enchanteur. Ces récits fantastiques et populaires sont un fidèle miroir de la sensibilité des Bretons qui, comme les Celtes d’Outre-Manche et même les Anglo-Saxons sont portés sur les légendes et phénomènes paranormaux : les intersignes, l’Ankou, moyen d’appeler la mort sur quelqu’un, les noyés, les villes englouties, les assassinés et les pendus, l’Anaon, les revenants, l’enfer, le paradis…
La préface de Léon Marillier, parue dans la première édition qui est publiée ici, donne un éclairage particulièrement intéressant sur la relation des Bretons avec la Mort. Il rapproche aussi les croyances, les usages et les rites qui se rapportent aux morts avec les usages funéraires d’un grand nombre de peuples et les conceptions qu’ils se forment de la nature de l’âme et de sa destinée après la mort.
Anatole Le Braz (1859-1926) est né à Saint-Servais (Côtes-d’Armor). Il a écrit beaucoup d’ouvrages sur les traditions en Bretagne. Collecteur infatigable de contes, chansons et légendes populaires, il est considéré, avec Hersart de La Villemarqué, comme un des piliers du renouveau de la culture traditionnelle et populaire en Bretagne.
Le Barzaz Breizh
Le Barzaz Breiz, ou en français « Recueil de poèmes de Bretagne », est tout simplement un recueil de chants populaires bretons, des chants récoltés auprès de la population bretonne au début du XIXe siècle par le Marquis Hersart de la Villemarqué (Kervarker en breton). La première édition de ce recueil est parue en 1839 et comporte une centaine de chansons, présentées avec leur traduction en français et la mélodie, classées en trois catégories :
– les « gwerziou » : chants mythologiques, héroïques, historiques et ballades,
– les « soniou » : chants de fêtes et d’amour,
– des légendes et chants religieux.
Le Barzaz Breiz regroupe des chansons issues de toutes les régions de Bretagne. L’origine des chansons, les bardes, la vie et les croyances des Bretons depuis le Moyen Âge jusqu’à son époque, la langue bretonne, tout cela y est indiqué et chaque chanson est précédée et suivie de commentaires détaillés.
L’auteur du Barzaz Breiz, Théodore Hersart de La Villemarqué, fut un ancien élève de l’École des Chartes. Il naît en 1815 à Quimperlé et partage son enfance entre Cornouailles et la campagne avoisinante. Il est élevé dans une famille qui ne s’exprime qu’en français mais il est immergé de manière permanente dans le breton local qui est la seule langue utilisée dans les campagnes à cette époque, et il le parle couramment.
Entre 1833 et 1837, il va sillonner les campagnes de Cornouailles où il notera le répertoire des poésies et gwerz (chant racontant une histoire, ballade) chantées par les paysans. En 1837, ses carnets comportent près de 300 pages de transcriptions et notes diverses. Il se lance alors dans un travail de sélection et de restauration des textes recueillis, qu’il traduit et commente.
L’ouvrage connaîtra un succès immédiat dès sa publication. Des commentaires élogieux paraissent dans la presse bretonne, mais également dans la presse parisienne. Le succès dépasse même les frontières où son ouvrage sera apprécié et traduit. Théodore Hersart de La Villemarqué poursuit alors ses travaux. Il publie une seconde édition enrichie en 1845, puis en 1867. En 1846, on lui décerne la Légion d’honneur. Il entre à l’Institut en 1858.
Vers 1867 les premiers doutes sur l’authenticité des chants du Barzaz Breiz, jusqu’alors exprimés à mots couverts, sont étalés publiquement. Des controverses passionnées sont ouvertes. La Villemarqué est accusé d’avoir inventé de toute pièce les chants populaires ainsi que les mélodies qui les accompagnaient. On va même jusqu’à dire qu’il a écrit ses textes en français puis les a fait traduire en breton, ne maîtrisant pas la langue.
La Villemarqué meurt le 8 décembre 1895 près de Quimperlé.
Légendes celtiques de Bretagne
Ce livre se veut un florilège des légendes bretonnes. La Bretagne comme les autres pays celtiques est une terre de légendes. C’est un pays où le mythe et la réalité se confondent, sans que l’on puisse discerner lequel est prépondérant. La Bretagne, c’est le pays des enchantements, c’est le pays où tout est sacré ! C’est le pays où se déversent en nous les siècles passés.
Dans cet ouvrage, on trouvera, en premier lieu, les textes fondateurs de la nation bretonne :
- Conan Mériadec et l’arrivée des Bretons en Armorique.
- Le Roi Arthur et le royaume des deux Bretagnes.
- La légende de l’hermine.
- Puis suivent tous les personnages clés du légendaire populaire : l’Ankou, les lavandières de la nuit, les korrigans, les morganes, les fées… mais aussi les intersignes ou la barque fantôme.
- Le légendaire breton a influencé la culture européenne. Chrétien de Troyes, Marie de France ou Richard Wagner et bien d’autres, s’en sont emparé :
- Merlin, le Roi Arthur et les chevaliers de la Table Ronde,
- Tristan et Iseult. Mais aussi,
- La fée Carabosse,
- Gilles de Rais qui a inspiré Barbe Bleue.
Ces légendes font partie de l’âme bretonne. Elles sont la porte d’entrée de l’imaginaire d’un peuple.
À commander ici (ou ici en version luxe).
Légendes du diable chez les Bretons
Le livre se devait de commencer par la légende de la ville d’Is narrée magnifiquement par Michel Cazenave, ancien responsable de programmes sur France Culture et spécialiste de la mythologie et des légendes celtiques.
Suivent une dizaine d’histoires et autres contes, collectés, adaptés ou traduits par Claude Trividic, qui nous font découvrir un autre pan de l’univers « magique » des Bretons. Le style est alerte : de nombreux dialogues entremêlent le français et le breton donnant ainsi de l’authenticité aux récits (avec la traduction pour les non-bretonnants, eveljust !).
Ce livre, tout à fait dans l’esprit de la Légende de la mort apporte un nouvel éclairage sur les relations des Bretons avec le diable. Mais au bout du conte, qui sera le plus « malin » ?
Claude Trividic du Cap Sizun, s’est attaché à retrouver les légendes connues des anciens. Il a aussi traduit en français pour le présent ouvrage, des textes en breton d’Eostig Kerinek, Yvon Crocq, et Erwan ar Moal, notamment « Pipi Gonto ». Parmi ses précédents livres, Les contes du Cap Sizun ont été un succès local.
La légende de la Ville d’Is
Une Atlantide bretonne ? Mais pas seulement ! La légende de la submersion de la ville d’Is engloutie au fond de la baie de Douarnenez est une des légendes bretonnes les plus célèbres. Mais les auteurs entendent démontrer avec cet ouvrage que derrière cette image folklorique se dissimule la figure du mythe celtique de la femme de l’Autre Monde : la fameuse banshee irlandaise.
La légende bretonne de la ville d’Is, engloutie en raison des péchés de ses habitants, connut de nombreuses modifications au fil des siècles qui en défigurèrent le sens.
Car cette légende fut en effet, dès l’époque médiévale, l’objet d’une réinterprétation des hagiographes et chroniqueurs bretons qui la réorientèrent pour la plus grande gloire de saint Guénolé, premier abbé de Landévennec et de saint Corentin, premier évêque de Quimper.
C’est ainsi que Dahud, fille de Gradlon, roi de Cornouaille fut séduite par le Diable, à qui elle offrit, après les avoir subtilisées, les clefs des écluses, provoquant la submersion de la ville. Le roi ne devant son salut qu’à l’intervention de saint Guénolé !
Les auteurs s’attachent dans cet ouvrage à retrouver le sens originel de cette légende altérée depuis sa christianisation. Diabolisée à l’époque médiévale, le personnage de Dahud nous est désormais dévoilé : la représentante de ce qu’il subsiste dans le folklore breton du mythe celtique de la femme de l’Autre Monde, la fameuse banshee irlandaise.
Trois annexes apportent au lecteur, en complément, les textes bretons (avec leurs traductions) à l’origine de cette légende.
Françoise LE ROUX et Chr.-J. GUYONVARC’H figurent parmi les meilleurs spécialistes du monde celtique. Ils sont auteurs de plusieurs centaines d’articles et de nombreux ouvrages traduits en une demi-douzaine de langues.
Fr. LE ROUX, co-fondatrice de la revue d’études celtiques Ogam, était spécialisée dans l’histoire des religions.
Chr.-J.GUYONVARC’H, docteur d’État, spécialisé dans l’étude des textes irlandais médiévaux, fut professeur honoraire de celtique à l’université de Rennes II.
Sources : Breizh-info.com
Savoir garder de la mesure en toutes choses, par Pierre Vial
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- Catégorie : REFLEXION
Le Professeur Claude Perrin, dont les travaux dans le domaine de la médecine font autorité, rappelle dans le numéro 83 de la revue Terre et Peuple combien les Grecs, qui nous ont laissé des leçons de sagesse trop oubliées aujourd’hui, se défiaient de l’hybris, c’est-à-dire la démesure, source de bien des maux.
Nous en avons un exemple quotidien sous les yeux avec les réactions suscitées par la crise du Coronavirus. Quand je vois la multiplication des déclarations et prises de position toutes plus péremptoires les unes que les autres, je préfère choisir un silence modeste car je n’ai ni l’intelligence ni surtout la formation scientifique nécessaire pour avoir un avis argumenté pour ou contre telle expérience, telle théorie, suscitant des polémiques comme celle concernant Raoult. Alors même que je suis concerné par l’épidémie dans ma famille et que j’ai donc toute raison de suivre de très près l’évolution de la situation, j’ai dans cette affaire, comme dans bien d’autres, un point de vue purement pragmatique : j’applaudis sans réserve toute solution (je n’ose dire recette) qui peut permettre d’améliorer la situation. Pour lever toute ambiguïté : certains m’ont reproché d’avoir rappelé (comme l’a fait Robert Spieler) certaines affinités de Raoult avec le Peuple Elu, car je considère qu’il est bon de le savoir. Mais cela n’enlève rien à l’éventuelle pertinence de ses choix médicaux et si ceux-ci donnent de bons résultats je serai le premier à m’en féliciter.
Ceci étant les donneurs de leçons me hérissent le poil. En ai-je entendu, au cours de ma vie, de ces « amis » m’expliquer ce que je devais faire ou ne pas faire – sans jamais, bien entendu, bouger de leur coin paisible (on n’est jamais trop prudent, n’est-ce pas). Je m’en suis longtemps scandalisé. Aujourd’hui cela m’indiffère : la sérénité est un don, précieux, de la vieillesse.
Mais mes états d’âme n’ayant aucun intérêt, revenons aux choses sérieuses. Par exemple la mise en évidence, grâce au Coronavirus, de la nullité intrinsèque des politiciens. Un Macron (et ses sbires), un Trump ont commencé par nier l’évidence : ce n’était rien, il ne fallait pas s’affoler. Une Agnès Busyn, elle, avait compris (tout comme Gérard Collomb avant la crise des Gilets jaunes) et l’une et l’autre ont préféré prendre la poudre d’escampette avant l’explosion. Et puis, toute honte bue (mais ces gens-là n’ont jamais honte) Macron, Trump et tous les autres ont proclamé la mobilisation générale. En dramatisant au maximum pour faire accepter par les braves gens des mesures d’exception qui correspondent à ce que Big Brother veut depuis longtemps : une société fliquée au maximum.
Tout cela révèle les vrais enjeux : y a-t-il encore des femmes et des hommes qui veulent vivre libres. Sans vouloir jouer les prophètes, gageons qu’on aura la réponse sous peu.
Pierre VIAL
JUPITER ONE (vidéo humour)
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Dr Montagnier : le COVID serait d'origine humaine
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Le Docteur Montagnier prix Nobel de Médecine sur le VIH déclare que le COVID 19 serait manipulé !
Bombe atomique médiatique que les média tentent à tout prix de censurer...
C'EST L'INCROYABLE RÉVÉLATION QUE LE PROFESSEUR LUC MONTAGNIER, PRIX NOBEL DE MÉDECINE EN 2008 POUR LA "DÉCOUVERTE" DU VIH
Ce labo de Wuhan d'ou serait parti ce virus a été ouvert grâce à la collaboration de l'INSERM et de Mr LEVY, mari de Mme BUZIN...
Outre cette proximité physique jugée suspicieuse par certains, les déclarations du journaliste italien Paolo Liguori, soutenant que ce virus a été créé en laboratoire, ou encore celle de Dany Shoham, un ancien agent des services de renseignement israéliens, sur le « probable » développement d’armes chimiques chinoises au sein de certains laboratoires nationaux, n’ont fait que renforcer ces soupçons sur le Web.
Faites vous votre avis !!!
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