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L'un des fils de l'élu Karim Zéribi mis en examen et écroué
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Karim Zeribi, soutien de Macron et ennemi de notre peuple.
Ce n’est pas le premier des fils de l’élu marseillais EELV Karim Zéribi à avoir des ennuis avec la justice, Samir, 26 ans, a été interpellé lors d’un simple contrôle d’identité en fin de semaine dernière révèle La Provence.
Son ADN sur un pistolet automatique
Le jeune homme qui faisait l’objet d’un mandat d’arrêt depuis des mois a été mis en examen pour « infraction à la législation sur les armes » puis écroué à la maison d’arrêt de Luynes.
Selon La Provence, des traces de son ADN auraient été retrouvées sur un pistolet automatique saisi dans le Pays d’Aix par la police judiciaire. Une perquisition dans le cadre du démantèlement d’un vaste trafic de stupéfiante, Cité de La Castellane, affaire qui avait permis l’arrestation de huit personnes ainsi que la saisie de 40.000 euros.
L'immonde Karim Zeribi renvoyé en correctionnelle pour détournement de subventions associatives
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L'élu municipal d'opposition, député européen de 2012 à 2014 doit être jugé pour abus de confiance et pour abus de biens sociaux. Il est soupçonné d'avoir financé ses campagnes par le biais d'associations.
L'élu municipal à Marseille, Karim Zeribi, ex-député européen entre 2012 et 2014, est renvoyé devant le tribunal correctionnel, conformément aux réquisitions du parquet. Il comparaîtra aux côtés de cinq autres prévenus, dont son fils, pour avoir détourné des subventions associatives pour ses campagnes électorales.
Karim Zeribi doit être jugé pour abus de confiance à l'égard de deux associations, et pour abus de biens sociaux à l'égard d'une entreprise. "A de multiples reprises, M. Zeribi (a opéré) une confusion des genres entre le milieu associatif et l'intérêt politique de ses campagnes, le premier finançant le second", a estimé le magistrat instructeur.
Des subventions auraient servi les intérêts "exclusifs" de Karim Zeribi
Selon le parquet, une part importante des subventions versées entre 2007 et 2009 à l'association Agir pour la citoyenneté (APC), l'association présidée par M. Zéribi, soit plus de 85 000 euros, aurait servi les intérêts politiques exclusifs de M. Zéribi, au lieu de mettre en contact employeurs et jeunes des cités et de favoriser leur insertion professionnelle.
Karim Zeribi qui s'est toujours dit victime d'un complot a contesté lors de l'enquête que ces subventions aient pu servir ses intérêts politiques. Selon lui, elles ont été utilisées pour des campagnes d'inscription des jeunes des banlieues sur les listes électorales, l'organisation d'un parlement des banlieues et la mise en contact de demandeurs d'emplois avec des chefs d'entreprises.
Mais les enquêteurs ont pu mettre en lumière le règlement par l'association d'un sondage contenant un chapitre sur la notoriété de Karim Zeribi ou de divers outils de communication, le paiement du loyer de son club de réflexion et l'utilisation des salariés d'APC lors de ses campagnes.
Ancien footballeur professionnel (1986 à 1989), il a été conseiller en charge des questions d'accès à la citoyenneté du ministre de l'Intérieur Jean-Pierre Chevènement (1998 à 2000). Élu en 2008 au conseil municipal de Marseille sur la liste de Jean-Noël Guérini (PS), il a été réélu en 2014 grâce à un accord passé avec la tête de liste PS Patrick Mennucci.
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Montpellier. Un groupe antifa s’auto-dissout après une nouvelle affaire de viol
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09/10/2019 – 19h45 Montpellier (Lengadoc Info) – Le Groupe Révolutionnaire Antifasciste et Populaire de l’Hérault (GRAPH) a annoncé ce mardi dans un communiqué son auto-dissolution en raison d’une affaire de viol au sein même du groupe. Un viol qui n’est pas une première dans la mouvance antifa à Montpellier.
Un viol « avéré » mais pas le premier chez les antifas
L’éphémère GRAPH n’aura guère duré plus d’une année. Celui-ci a annoncé ce mardi que depuis la création du groupe « de nombreu.x.ses membres fondat.eu.r.ice.s ont quitté le collectif à la suite de la découverte d’un viol avéré dans [les] milieux militants et affinitaires mettant en cause un membre du groupe ».
Si le GRAPH ne donne guère de détails sur les circonstances du viol et l’identité du violeur, on apprend dans le communiqué que ce dernier avaient des propos et une attitude « oppressantes » au sein du groupe au point de réveiller « des peurs, des souvenirs, des mal-êtres, etc, chez plusieurs d’entre nous ayant vécu des violences sexuelles ».
Ce viol et les attitudes « oppressives » de cet individu ne semblent pas être des faits isolés au sein de la mouvance antifa locale. Déjà en 2014, un communiqué de militantes féministes dénonçait l’organisation du collectif antifa 34 qui était « gouverné par des individus blancs et masculins », une « hiérarchie bureaucratique, sexiste et autoritaire » à laquelle « s’ajoutent des cas d’agressions sexuelles dont les témoignages sont mis sous silence, la parole de la victime n’étant pas prise en compte et fortement délégitimée ».
En 2016, c’est sur la ZAD de Las Rebes qu’une jeune femme de 19 ans avait été violée par plusieurs individus. En 2017, c’est au sein du squat antifa Le Royal Occupé qu’un viol avait été une nouvelle fois commis.
Si une plainte a été déposée en 2016 pour le viol de Las Rebes, nous ignorons si les autres dénonciations ont fait l’objet d’une procédure judiciaire.
Le GRAPH, un énième et éphémère groupe antifa à Montpellier
Avec cette auto-dissolution, le GRAPH risque de ne pas marquer les mémoires militantes locales. Il faut dire que depuis quelques années, les groupuscules antifas se succèdent les uns aux autres sans une grande régularité : « Scalp 34 », « Montpellier Antifa », « Collectif Antifasciste 34 », « Montpellier Antifasciste et Populaire », etc. D’ailleurs le communiqué du GRAPH annonce qu’une nouvelle structure verra bientôt le jour…
Petit dernier de la bande, le GRAPH s’est fait connaître pour ses affiches appelant à la violence et pour avoir tenté de s’opposer (sans grand succès) à un hommage à Jeanne d’Arc.
Photos : DR/ Facebook/ Lengadoc Info
Lengadoc-info.com, 2019, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.
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Nice : le premier adjoint au maire condamné pour prise illégale d'intérêts
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Les poursuites engagées par le parquet de Nice font suite à une plainte de l'association Anticor, concernant cinq subventions litigieuses accordées entre 2012 et 2015.
50 000 euros d'amende, dont la moitié avec suris : le premier adjoint (LR) au maire de Nice, Philippe Pradal, a été condamné vendredi par le tribunal correctionnel de Nice pour prise illégale d'intérêts concernant des subventions versées à des associations dans lesquelles il a été membre ou administrateur, a indiqué son avocat.
Alors que le parquet avait requis une peine de cinq mois de prison avec sursis à l'encontre de l'élu, le tribunal a opté pour cette amende, sans inscription au casier judiciaire et "a fortiori sans inéligibilité", a précisé son avocat Me Gérard Baudoux, qui indique étudier avec son client la possibilité de faire appel de cette décision, une possibilité offerte dans un délai de dix jours.
Les poursuites engagées par le parquet de Nice suite à une plainte de l'association Anticor, concernent cinq subventions litigieuses accordées entre 2012 et 2015. La justice lui a notamment reproché sa présence dans la salle du conseil municipal lors du vote des subventions, quand bien même il s'était abstenu de les voter. Il lui est aussi reproché d'avoir présidé la commission des finances qui avait préparé le conseil municipal. Là aussi, il n'avait pas voté. Dans deux autres cas, des subventions ont été votées à des associations dont le propre père de Philippe Pradal était membre.
"Il a toute ma confiance"
"Monsieur Pradal a été relaxé pour cette dernière subvention car il a été démontré qu'il ignorait que son père était le trésorier de l'association concernée", précise Me Baudoux, qui insiste sur le fait que son client n'a été reconnu coupable "que sur la forme", c'est-à-dire sur sa présence lors du vote.
Dans une réaction adressée à l'AFP, Christian Estrosi, le maire (LR) de Nice, prend la défense de son adjoint, "un homme intègre, loyal, travailleur et engagé depuis toujours afin de défendre la cause des plus démunis". "Il a toute ma confiance", ajoute le maire, qui dénonce le jugement du tribunal de Nice, lequel constitue selon lui "une dérive vers un soupçon de culpabilité des élus dans leur ensemble".
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le
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