Les flics protègent les gauchiasses
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Flics frustrés
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Un gendarme Internet prévient d’une attaque de grande ampleur
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«Il y a déjà eu des attaques ciblées mais jamais comme ça», a indiqué l’organisme international qui attribue les adresses...
L’organisme international qui attribue les adresses Internet (ICANN) a averti vendredi que des attaques informatiques massives étaient en cours contre des noms de domaine Internet, qui définissent les adresses des sites, dans le monde.
Ces attaques informatiques consistent à « effectuer des changements non autorisés » dans les adresses et « à remplacer les adresses des serveurs » autorisés « par des adresses de machines contrôlées par les attaquants », a dit l’organisme dans un communiqué.
Les pirates « s’attaquent à l’infrastructure Internet elle-même », a indiqué un des responsables de l’ICANN.
« Il y a déjà eu des attaques ciblées mais jamais comme ça », a-t-il ajouté.
Les responsables de noms de domaines invités à prendre les mesures adéquates
L’ICANN « estime que qu’il y a un risque en cours important sur des parties importantes de l’infrastructure des noms de domaine » (Domain name System, DNS) Internet, en d’autres termes les adresses des sites Internet, a aussi écrit l’organisme, qui appelle les responsables de noms de domaines à prendre les mesures adéquates.
Précisément, elle appelle à déployer un protocole de protection appelé « Domain Name System Security Extensions » (DNSSEC).
L’organisation, basée en Californie, gère le système des noms de domaines en ligne que le grand public connaît sous forme d’adresses de sites en. com ou. fr par exemple.
Le rappeur pédophile R. Kelly de nouveau inquiété
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Macron, soumis au CRIF, demande la dissolution de trois associations d'extrême droite
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Emmanuel Macron a demandé la dissolution d'"associations ou groupements" racistes ou antisémites, à commencer par les organisations d'extrême droite Bastion social, Blood and Honour Hexagone et Combat 18, mercredi lors du dîner annuel du Conseil représentatif des organisations juives de France.
"Parce que la période met en cause ce que nous sommes, la France doit tracer de nouvelles lignes rouges (...). J'ai demandé au ministre de l'Intérieur d'engager des procédures visant à dissoudre des associations ou groupements qui par leur comportement nourrissent la haine, promeuvent la discrimination ou appellent à l'action violente", a déclaré le chef de l'Etat.
Sur ordre de l'Union des étudiants juifs de France, la faculté Paris-13 se sépare d'un ancien membre d'Action Française
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L'université Paris-13 (Seine-Saint-Denis) a décidé aujourd'hui de mettre fin aux enseignements d'un ancien membre du mouvement royaliste Action Française, Elie Hatem, dont le cours avait été perturbé fin janvier par l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), a appris l'AFP auprès de la faculté.
L'université "est fermement engagée dans le respect des droits humains et dans la lutte contre le racisme et l'antisémitisme", a indiqué la faculté dans un communiqué. "En raison d'un risque de trouble à l'ordre public, Elie Hatem et le président de l'université Paris 13, Jean-Pierre Astruc, d'un commun accord, ont décidé l'arrêt des enseignements de droit des associations dans le Master professionnel Management des Organisations Sanitaires et Sociales", précise l'université.
Fin janvier, le président de l'UEJF Sacha Ghozlan était intervenu au mégaphone lors de ce cours sur le campus de Bobigny. "Notre démarche a été d'alerter les étudiants sur le fait qu'ils avaient un professeur (...) qui tient des propos racistes", a-t-il expliqué à l'AFP. Elie Hatem "a participé à beaucoup de conférences ces derniers mois, des conférences où il rend hommage à Pétain, où il appelle à appliquer intégralement les théories de Charles Maurras, donc des propos assez virulents", a ajouté le président de l'UEJF qui avait demandé son "exclusion définitive".
L'UEJF avait envoyé en ce sens un courrier au président de la faculté, à la ministre de l'Enseignement supérieur, à la Conférence des présidents d'université (CPU) et à la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah).
Cette décision intervient alors que le 8 février un étudiant a été exclu par la section disciplinaire de l'université Paris-13 après la plainte d'une élève en médecine, qui accuse plusieurs étudiants d'avoir tenu des propos antisémites à son égard. Sept autres étudiants et étudiantes, également mis en cause par cette élève, ont eux été "relaxés", précise la faculté. En janvier, le parquet de Bobigny a classé sans suite la plainte de la jeune fille, pour "infraction insuffisamment caractérisée".
La censure s’accélère sur le web !
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La Fondation Brigitte Bardot dévoile une vidéo de l'abattage sans étourdissement tournée dans un abattoir français
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Elle a mis en ligne une vidéo de bovins tués sans étourdissement préalable.
Les images ont été filmées à Rodez (Aveyron), début décembre 2018. La Fondation Brigitte Bardot de défense des animaux a mis en ligne, ce lundi, une vidéo de bovins abattus sans étourdissement. Elle a aussi fait savoir qu’elle avait écrit à ce sujet au président de la République, Emmanuel Macron.
La vidéo montre des animaux piégés dans des machines d’où ils voient les restes d’autres bêtes, ce qui génère un fort stress. Sans étourdissement préalable, ils sont ensuite broyés et égorgés en finissant par avaler leur propre sang. La Fondation précise que rien n’est illégal mais que les images montrent « l’horreur quotidienne et la souffrance des bêtes égorgées en pleine conscience ».
Une dérogation pour motif religieux
La Fondation dénonce un type d’abattage qui se « généralise pour des raisons purement économiques ». Dans un courrier adressé au chef de l’Etat, l’ancienne actrice et présidente de la Fondation se dit « déçue » par son « immobilisme ». Elle lui demande de se mettre « en marche pour les animaux ! » « L’abattoir ne sera jamais un lieu de "bien-être" animal, c’est une évidence, mais nous avons le devoir de limiter autant que possible et sans délai la souffrance, l’épouvante, l’agonie des animaux égorgés à vif », ajoute-t-elle.
Rappelant que l’abattage sans étourdissement est interdit dans plusieurs pays européens, Brigitte Bardot demande : « Qu’attend la France ? » « La réglementation européenne et nationale exige l’étourdissement des bêtes avant leur abattage. La dérogation prise en France par décret, pour l’abattage halal et casher, doit être abrogée… Vous en avez le pouvoir ! » insiste-t-elle dans son courrier.
source : Le Parisien
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