Les conditions de détention de Tommy Robinson, de son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, font l’objet de vives critiques, en particulier en ce qui concerne son placement en isolement prolongé à la prison de Woodhill. Des documents récents, envoyés aux autorités pénitentiaires britanniques le 7 novembre 2024, dénoncent un traitement dégradant, contraire aux droits fondamentaux reconnus par la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH). Ce traitement suscite l’inquiétude de ses avocats, qui estiment que l’administration pénitentiaire britannique ne respecte pas ses obligations en matière de sécurité et de santé mentale envers leur client.
Copenhague. Deux ans après le dynamitage du gazoduc Nord Stream en mer Baltique, le gouvernement fédéral allemand, officiellement, n'a toujours aucun indice sur les personnes qui pourraient être à l'origine de cette opération de sabotage. Il a en outre déclaré à plusieurs reprises qu'il ne donnerait pas d'informations au public, même s'il en disposait, pour des raisons d' « intérêt national ».
Ce petit ouvrage ne compte que 100 pages en format poche. La postface de Martin Lichtmesz compte 28 pages. Rien que pour cela, la lecture de cette utopie singulière vaut la peine. Nous y apprenons par exemple que ce morceau de prose est un supplément à une œuvre plus importante de l'auteur, Guillaume Faye (1949-2019), parue en 1998 et intitulée « Archéofuturisme ».
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La sépulture de Charles Maurras à Roquevaire a été vandalisée dans la nuit du 9 novembre. L’Action française dépose plainte, dénonce la christianophobie et un acte de haine idéologique.
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Cinq ans de prison, dont deux fermes, et cinq ans d’inéligibilité : voilà les réquisitions délirantes du parquet contre Marine Le Pen, accusée dans l’affaire des assistants parlementaires du Rassemblement National. Une peine d’une sévérité qui s’apparente à une sanction politique. Pour Marine Le Pen et ses partisans, il ne fait aucun doute que cette affaire révèle la réalité d’une justice orientée, utilisée comme un instrument de répression par le pouvoir en place. Cette réquisition résonne comme l’expression d’une « justice politique » aux ordres, qui s’acharne à museler toute opposition sérieuse.
Les jeux sont faits aux États-Unis. Donald Trump a gagné haut la main. Ce n’était pas évident, beaucoup craignaient une victoire à l’arraché de l’un ou l’autre grand candidat, ce qui aurait pu augurer d’une période de troubles dans un pays très fracturé où Démocrates et Républicains se méprisent et se haïssent réciproquement. Or ce n’a pas été le cas selon les tendances actuelles (on sait qu’il faudra plusieurs jours ou semaines pour avoir les résultats définitifs). Donald Trump a raflé largement le vote populaire et une nette majorité des grands électeurs (le vote à l’élection présidentielle américaine est indirecte : le peuple vote par état pour des grands électeurs selon le principe que celui qui arrive en tête prend tous les grands électeurs, ce qui peut aboutir à des discordances entre le vote populaire à l’échelle du pays et l’orientation des grands électeurs). Plus de 68 millions de voix pour Harris, presque 73 pour Trump, 226 grands électeurs pour Harris, 312 pour Trump.
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