Il est frappant de constater à quel point l’indignation publique peut être sélective. Récemment, la France a été témoin de manifestations nombreuses (pas forcément massives mais ultra médiatisées) en hommage à Paul Varry, un jeune cycliste tragiquement décédé à Paris, percuté par un automobiliste. Les rues ont été investies par des élus et des citoyens pointant du doigt la supposée dangerosité intrinsèque de tous les automobilistes. Les médias se sont emparés de l’affaire, relayant sans cesse les appels à la responsabilité collective des conducteurs.
Alfredo Cattabiani, décédé en 2003, était un intellectuel de grande valeur, trop vite oublié par le milieu culturel auquel il appartenait. À travers ses œuvres et, surtout, sous la direction de maisons d'édition comme Dell'Albero, Borla et Rusconi (dont le catalogue a d'ailleurs été réédité par la suite par Adelphi de Calasso), Cattabiani a exercé une pédagogie obstinément traditionnelle. Un de ses livres d'une valeur incontestable, Bestiario di Roma (Bestiaire de Rome), publié par Iduna (sur commande :
Lire la suite : Sur le Bestiaire de Rome d'Alfredo Cattabiani
Dans le conflit actuel, l'Occident collectif suit la voie du suicide
Jean Luc Schaffhauser, ancien membre de la commission des affaires étrangères et de la défense et de la sécurité au Parlement européen, a récemment publié une série d'articles sur la nécessité de faire la paix avec la Russie.
Lire la suite : Pourquoi l'Occident veut-il détruire la Russie ? Par Leonid Savin
Tout d'abord, je conseille à tous de garder leur véhicule thermique ; celle-ci ne sera jamais interdit de circulation car l'Allemagne s'y opposera.
Avis aux amateurs de voitures électriques !.
- Quid de la batterie de voiture électrique à la fin de la garantie ?
L’Église catholique demande pardon pour son rôle dans l’esclavage et le colonialisme
La séance d'ouverture de la deuxième session de la 16e Assemblée générale du Synode des évêques dans la salle Paul VI du Vatican, le mercredi 2 octobre 2024. • ©ANDREW MEDICHINI / AP
Lors de l’ouverture d’un synode sur l’avenir de l’Église, le pape François, par la voix du cardinal Michael Czerny, a reconnu la complicité de l’institution dans des systèmes ayant favorisé l’esclavage et le colonialisme. Ce geste, accompagné de six autres demandes de pardon, marque un tournant historique dans la manière dont l’Église aborde ses responsabilités passées.
Lire la suite : Toujours plus bas, toujours plus masochiste et toujours plus anti-blancs...
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