La jeune auteure et journaliste de Lougansk, Faina Savenkova, a écrit une nouvelle lettre ouverte à Emmanuel Macron, après ses déclarations laissant penser que la France serait prête à entrer en guerre avec la Russie. Il faut rappeler qu’après sa première lettre ouverte à Emmanuel Macron, Faina Savenkova avait reçu une réponse lénifiante du chef de cabinet du président français, l’assurant que ce dernier ferait tout pour éviter la guerre. La suite des événements et les livraisons continues d’armes françaises à l’Ukraine, malgré l’usage qu’elle en fait pour tuer délibérément des civils, avait récemment amené Faina à accuser Emmanuel Macron de faire de la France un pays parrain du terrorisme.
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Dans cette vidéo, regardez le professeur Jeffrey Sachs s'entretenir avec le Dr. Heinz Gärtner lors de la Conférence Internationale pour la Paix à Vienne (juin 2023). Le Dr. Sachs expose clairement et succinctement combien la politique étrangère des États-Unis est belliqueuse et comment un petit groupe d'élites continue de pousser la diplomatie du pays au bord de la guerre nucléaire - encore et encore.
La société israélienne sioniste est en train de s’effriter après les déclarations du Grand rabbin de l’entité sioniste affirmant que la tribu des Lévi, cantonnée à la lecture de la Torah, ne pourra jamais accepter d’être engagée dans l’armée israélienne ! Il affirme même qu’il quitterait son pays s’il devait être obligé de rejoindre l’armée pour le défendre ! Ce type de propos a choqué grandement les nationalistes israéliens qui n’ont pas hésité à faire des commentaires désobligeants et ils sont nombreux. Cette querelle est d’autant plus curieuse que l’engagement des religieux dans l’étude de la Torah et l’exemption de faire l’armée est ancien. Ça démontre également que l’entité sioniste est une théocratie qui n’a rien à voir avec les démocraties modernes, la démocratie tout court.
Aristote s'en méfiait, Platon écrivit que dans une cité, plus la richesse et les riches sont honorés, moins la vertu et les gens de bien le seront. Certains les ont comparés à des bourdons dans la ruche d'autres à des parasites. Une chose certaine, les oligarques, parce que très riches ont aussi le pouvoir. La richesse acquise par pillage lors de guerres, par privilèges sociaux, par violences contre les moins armés, par collusion entre gens de la classe privilégiée ou tout simplement par l'exploitation d'esclaves ou de travailleurs pas trop libres, leur sert à asseoir leur pouvoir.
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Pas de grandes nouvelles cette semaine. Alors nous en profiterons pour reprendre certaines infos qui ne font pas les grands titres mais nous permettent de voir derrière le rideau du « spectacle de relations publiques ».
Pour autant que je m’en souvienne, j’ai dû lire Jean Mabire pour la première fois en 1972, dans un numéro spécial « d’Historia », sans trop bien me souvenir si l’article était signé Henri Landemer ou de son nom propre. C’était la belle époque de nos adolescences, que je narre très superficiellement dans mon hommage à Yves Debay, camarade d’école, futur directeur des revues « Raids » et « L’Assaut » et bien entendu, fervent lecteur précoce, lui aussi, de Jean Mabire. Finalement, par le biais des premiers numéros « d’Eléments », au début des années 70, l’image de Jean Mabire, écrivain, se précise pour moi: non seulement, il est celui qui narre, avec simplicité et puissance, la geste des soldats de tous horizons mais il est aussi celui qui s’intéresse aux réalités charnelles et vernaculaires, au vécu des gens, disciple qu’il est, à ce niveau-là, d’Olier Mordrel, l’ancien directeur de la revue nationaliste bretonne « Stur », pour qui l’engagement devait être dicté par les lois du vécu et non par des abstractions et des élucubrations intellectuelles.
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