Gabriele d’Annunzio fut magnifiquement tout ce que notre temps nous prescrit de n’être plus. Il n’est pas une de ses vertus, ou de ses vices, qui ne fussent mises au ban, – et surtout ses vertus, qu’il faut prendre ici au sens originel, comme on parlait jadis de la "virtu" du condottière.
Sa gloire en son temps fut immense, mais peu lui demeurèrent fidèles, excepté Montherlant, et cet autre condottière, auteur du plus beau voyage en Italie qui soit, André Suarès qui, mieux que quiconque, pouvait le comprendre, jusque dans son équipée de Fiume laquelle succèdera comme une œuvre-au-rouge à l’œuvre-au-noir du Nocturne, dont voici, en notre siècle, la première réédition en français, intégrale, préfacée par Luc-Olivier d'Algange, avec les gravures d’origine.
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La fonction astronomique des mégalithes, en particulier en relation avec leur fonction religieuse, est peut-être leur aspect le plus fascinant.
Niée avec obstination par les spécialistes jusqu'à récemment, elle est aujourd'hui universellement acceptée, après qu'Atkinson [1979] l'a clairement démontrée pour Stonehenge. Par la suite, cette fonction a été vérifiée pour les autres monuments.
Lire la suite : La fonction religieuse et astronomique des monuments mégalithiques
Quatre-vingts ans se sont écoulés depuis l'assassinat de Giovanni Gentile. Le philosophe qui fut ministre de l'éducation et qui a porté l'humanisme au centre de l'existence. La politique n'est pas une simple pensée. Ce n'est pas seulement une idée. C'est une valeur. En tant que telle, anthropologiquement, elle place au centre la dimension d'un humanisme de la culture, dans lequel le concept de Raison n'a de sens que s'il interagit avec la vision historique de la Tradition.
Lire la suite : Gentile toujours actuel. Quatre-vingts ans après sa mort tragique
Pour ce nouveau numéro de l’écho des canuts, Roberto reçoit Rémi Tell, auteur d’une nouvelle traduction du livre de T.Kaczynski, La société industrielle et son avenir.
Est également présent pour évoquer l’ouvrage son éditeur : Sylvain Durain des éditions du verbe haut.
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Le 24 mars dernier, avec une participation s’élevant à 61,30 %, 54,28 % des électeurs sénégalais choisirent dès le premier tour Bassirou Diomaye Diakhar Faye à la présidence de la République de cet État francophone d’Afrique occidentale. Le 2 avril, conformément au cadre constitutionnel en vigueur, le plus jeune chef d’État sénégalais, 44 ans, prêta serment devant une quinzaine de dirigeants africains, en particulier le Nigérian Bola Tinubu, président en exercice de la CEDEAO (Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest). La cérémonie d’investiture mit un terme à un trimestre politique agité.
Lire la suite : L’alternance à Dakar par Georges FELTIN-TRACOL
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