Cacher un livre dans une bibliothèque… il fallait y penser.
Si l’on vous dit Camelot, le Graal, la forêt de Brocéliande et Morgane, vous pensez tout de suite à la légende du roi Arthur et à Merlin, le magicien (ou l’enchanteur) de la Cour. Et bien, un manuscrit récemment retrouvé dans la bibliothèque de l’Université de Cambridge en Angleterre, sobrement déguisé en couverture pour un autre livre, traite de la légende arthurienne et plus précisément de ce qu’il s’est passé après qu’Arthur soit monté sur le trône. Une histoire particulièrement rare écrite en Vieux Français.
La stupidité humaine atteint son effet maximal quand elle ose aborder le domaine politique. Chaque jour en fournit une preuve supplémentaire, ce qui accentue la déliquescence avancée de ce monde post-moderniste.
Lire la suite : Une pétition puérile par Georges FELTIN-TRACOL
Lorsque Révolte contre le monde moderne (Rivolta contro il mondo moderno) a été publiée pour la première fois en Italie en 1934, le livre est passé presque inaperçu. Non pas qu'il n'ait pas trouvé ses lecteurs, car son auteur, le baron Julius Evola (1898-1974), alors âgé de trente-cinq ans, était déjà suffisamment célèbre dans certains cercles (artistiques, hermétiques, philosophiques et politiques), mais il a été écarté par les autorités locales. Six ans plus tôt, en 1928, au moment même du rapprochement de l'État italien avec l'Église catholique, qui aboutira bien vite à la conclusion des accords du Latran, le baron doit faire face à des attaques indiscriminées tant du côté catholique que du côté du régime - fasciste -, après avoir publié un recueil de ses essais sous le titre Imperialismo pagano (Impérialisme païen). Cela n'a cependant fait que contribuer à la notoriété du titre et de l'auteur. Cette fois, donc, les adversaires d'Evola ont décidé de passer son œuvre plutôt sous silence...
Lire la suite : L'histoire de « Révolte contre le monde moderne », le livre-culte de Julius Evola
Pour une fois, allons-y doucement. C'est-à-dire, ne nous contentons pas de décrire et d'analyser autant que possible les faits individuels, mais regardons-les avec un regard plus large. Une vue d'ensemble, en quelque sorte.
On va laisser en parler un qui a le don de les énerver, les médias et les « élites », j’ai nommé Alexis Carrel. Prix Nobel de médecine quand même, et grande star en Amérique à l’époque de Roosevelt. Le chirurgien avait enlevé ses gants pour dire ses quatre vérités, car il savait avant les Orlov, Kunstler et autres collapsologues que nous étions bien condamnés. On cite l’édition américaine que le prestigieux Carrel avait présentée à New York avant la Guerre :
Lire la suite : Alexis Carrel et notre civilisation destructrice
Alors qu'Orwell nous mettait en garde contre Big Brother, Alex Karp, PDG de Palantir, construit tranquillement sa salle de contrôle alimentée par l'IA - systématique, insidieuse et efficace, écrit John Mac Ghlionn.
Karp ne ressemble pas à un belliciste. Le PDG de Palantir se présente avec des cheveux ébouriffés, des lunettes sans monture et débite des citations d'Augustin ou de Nietzsche - comme s'il se préparait à une conférence TED sur le techno-humanisme.
Lire la suite : L'homme le plus dangereux d'Amérique n'est pas Trump, mais Alex Karp
Page 21 sur 823