Quand il s'agit de valoriser l'action, on n'a généralement pas de mots assez durs pour condamner le pessimisme, qui semble synonyme de défaitisme. Mais n'y a-t-il pas là une équivoque ? L'optimiste, qui croit que tout va pour le mieux - ou que tout ira pour le mieux -, n'est-il pas plutôt le premier dont il faut se méfier, lui qui ne se rend pas compte des grandes difficultés que comportent ses rêves ? La conscience de la fragilité des choses humaines n'est-elle pas, paradoxalement, la base de toute action qui a du sens et de l'avenir ? Tel était l'avis de Georges Sorel, qui nous a montré toute la valeur d'une éthique vitaliste et pessimiste dans le combat politique.
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L'Inde, ce pays-monde, change de nom pour « Bharat », sous l'impulsion du Premier ministre Narendra Modi.
C’est en sa qualité de présidente « du Bharat » que la cheffe d’État indienne, Droupadi Murmu, a convié les dirigeants au dîner officiel du G20, qui s’est tenu le 9 et 10 septembre à New Delhi. Le terme « Bharat », qui signifie l’Inde en sanskrit, pourrait bientôt devenir le principal nom de l'un des pays les plus peuplés au monde. Le projet, qui s’inscrit dans la politique nationaliste du Premier ministre Narendra Modi et de son parti « Bharatiya Janata » (BJP), sera discuté dans les prochaines semaines au parlement, sur fond de polémique.
Peut-on réconcilier Confucius (qui serait né en 551 av. J.-C. et mort en 479 av. J.-C.) et Marx (1818-1883) ? En Chine, c'est possible. La République populaire de Chine au 21ème siècle les a miraculeusement et étonnamment réunis.
Est-il logique de combiner l'éthique de l'ordre, de la vertu, de la méritocratie et de la culture de l'inégalité naturelle de l'homme (au profit de l'homme et de la société) avec Marx ? C'est-à-dire combiner Confucius avec une praxis révolutionnaire visant à vaincre le capitalisme, avec le progrès techno-scientifique et le contrôle de l'usure. Dans la Chine d'aujourd'hui, c'est possible, et même nécessaire. Méritocratie, vertu, hiérarchie et pragmatisme, le tout au service d'un État impérial qui a surmonté la lutte des classes et promeut la prospérité socialiste à outrance.
LA PLACE ROUGE
Tout au long de son histoire, la Russie, forte de ses racines slaves, a eu à prendre en compte des influences occidentales, que ce soit en matière de politique, de stratégie militaire ou de géopolitique. Mais aussi dans les arts (musique, danse, peinture). C’est l’éternel antagonisme entre le conservatisme traditionaliste russe et le modernisme occidental.
On retrouve cette défense du traditionalisme russe contre l’occidentalisme décadent aujourd’hui dans l’environnement idéologique de la Russie. Ce rejet de l’occidentalisme par la Russie n’est pas nouveau et a commencé au XIXe siècle.
Lire la suite : La Russie : slavophilisme et eurasisme au XIXe siècle
A entendre la presse gauchiste mainstream ces derniers jours, l’immigration serait une fatalité. Impossible en endiguer. Il faut régulariser tous les migrants. Il faut ouvrir les frontières et laisser des millions d’Africains venir se partager notre territoire. C’est comme ça. Vous n’avez plus votre mot à dire bien que cela fasse 50 ans que vous votiez contre l’immigration sans être écouté par vos élus.
Et bien si pourtant, il y a des solutions simples contre l’immigration.
Plongez dans le monde fascinant de John Soh Chee Wen, un homme d'affaires malais et de sa complice singapourienne, condamnés pour une gigantesque escroquerie boursière de 8 milliards de dollars. Découvrez les dessous de cette fraude sophistiquée, utilisant plus de 180 comptes de trading pour manipuler les cours des actions. Cette vidéo révèle les enjeux majeurs de la régulation financière et met en garde contre les conséquences dévastatrices de telles manipulations sur la confiance des investisseurs et les marchés et ses conséquences sur l'économie réelle.
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Les robots feront-ils bientôt la guerre à notre place ? C'est en tout cas ce que laisse croire le « Replicator Project », annoncé le 28 août dernier par la Secrétaire de la Défense des États-Unis, Kathleen Hicks. En clair, il s'agit d'une armée de drones intelligents et autonomes, prévue pour 2025 au plus tard. Une étape de plus dans l'innovation qui pose de nombreuses questions.
Lire la suite : Les États-Unis veulent une armée de robots intelligents pour 2025
De 1948 à 1990, la CIA a utilisé des personnalités issues de l'Organisation des nationalistes ukrainiens, accusée d'avoir collaboré avec le Troisième Reich pendant la Seconde Guerre mondiale, pour tenter de déstabiliser l'Ukraine et mettre en crise l'Union soviétique. Une opération hautement secrète, baptisée Aérodynamique, qui peut nous aider à comprendre les événements de notre époque.
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