
Víðarr semble être un dieu mineur dans la mythologie, car il apparaît uniquement lors du Ragnarök. Pourtant, il s'avère que son rôle est l'un des plus importants dans le renouveau du monde. En effet, lors du Ragnarök, l'ordre du monde se trouve complètement brisé. Le soleil et la lune se font dévorer, Yggdrasillr tremble et un grand incendie ravage la terre. La majeure partie des dieux périssent, Þórr est tué par Jörmunganðr, Freyr par Surt et Óðinn se fait dévorer par Fenrir. L'univers bascule dans le désordre absolu et la mort d'Óðinn est le point culminant. C'est là, qu'intervient Víðarr en tuant Fenrir et en vengeant ainsi la mort d'Óðinn.
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Aux États-Unis, l'activiste conservateur Charlie Kirk (31 ans) a été abattu.
Mais qui était-il et pourquoi sa mort est-elle si explosive sur le plan politique ?
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Nous présentons ici une traduction de l'excellent article sur le dernier livre posthume de Guillaume Faye. Il est dû à la plume d'Andrea Falco Profili, animateur du GRECE-Italie.
Lire la suite : "Contre la russophobie", le livre inédit et posthume de Guillaume Faye

Au matin du 12 juillet 2025 au terme d’une dizaine de jours d’âpres négociations dans une salle réservée de l’hôtel Hilton de Bougival dans les Yvelines à l’Ouest de Paris, est signé un accord supposé régler la question néo-calédonienne.
Les représentants de la République hexagonale et les membres des délégations indépendantistes et loyalistes adoptent « Le pari de la confiance », un texte de treize pages… Paris se félicite de manière prématurée de cette belle unanimité. Or, à la mi-août, les indépendantistes du FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste) désavouent leurs émissaires et rejettent le document. Cette décision provoque une profonde division interne : une faction, l’Union nationale pour l’indépendance, qui rassemble le Palika (Parti de libération kanak) et l’UPM (Union progressiste en Mélanésie), continue à le défendre.
Lire la suite : Un hapax institutionnel par Georges FELTIN-TRACOL

Le nationalisme occidental européen est condamné. Autrefois, la fierté nationale était le moteur de la politique et de la société, aujourd'hui, il n'en reste que quelques vestiges cérémoniels. On voit notamment des drapeaux brandis lors d'événements sportifs, des costumes traditionnels dans des défilés folkloriques et un hymne national chanté chaque année lors d'une fête nationale. Mais ces symboles ne constituent plus une véritable force politique pour la nation. Ce n'est pas un hasard : la diffusion omniprésente des idées libérales a sapé les fondements du sentiment d'appartenance. Le libéralisme place en effet l'individu au-dessus du collectif, réduisant ainsi le nationalisme – l'idée d'une communauté populaire soudée – à une simple curiosité culturelle et historique.
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