L’auteur, un responsable chinois décrit d’une manière argumentée et rationnelle l’absurdité derrière les guerres impitoyables, et invite « la société humaine » à adopter d’autres perspectives politiques correspondant aux traditions et intérêt de chacun pour la paix et le développement de tous. Il met à jour les contradictions de l’hégémonie des Etats-Unis, la distance entre les FAITS et leur narration, la manière d’attiser peurs et guerres pour le seul profit d’une poignée. La Chine qui veut passionnément la paix, et le développement planétaire, avec raison s’étonne que l’on ne voit pas qui a œuvré pour faire du conflit russo-ukrainien une escalade permanente nuisible au monde entier. Cette cécité est d’autant plus étrange qu’il s’agit d’une ultime reproduction des scénarios d’entrée en guerre, de sanctions, avec laquelle les Etats-Unis entretiennent leur domination, le pillage, la guerre et l’insécurité permanente sur la planète y compris depuis la guerre froide. Ce phénomène d’autodestruction planétaire ne cesse de prendre de l’ampleur et de prétendre attirer dans son piège de nouvelles victimes. Une analyse implacable. (Note et traduction de Danielle Bleitrach pour histoire et société)
Sous couvert de mettre fin aux fusillades de masse, un système de surveillance soutenu par de hauts responsables du Mossad, de la CIA et du FBI est en train d’être installé dans les écoles, les lieux de culte et d’autres lieux civils à travers le pays, en grande partie grâce au don récent d’un « philanthrope anonyme ».
L’Écosse, terre de mystères, de légendes et de paysages grandioses, possède une histoire riche et complexe. Des premières traces d’occupation humaine à l’époque préhistorique jusqu’à nos jours, cette nation du Royaume-Uni a traversé les âges et connu de nombreux bouleversements. Cet article vous propose de découvrir l’histoire de l’Écosse en abordant ses périodes clés, à quelques jours de la nomination du nouveau président du Scottish National Party.
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La parole quasi-divine de Larry Fink, PdG de BlackRock, se fait entendre chaque année au mois de mars depuis 2012. Cette lettre est devenue une véritable « table des commandements » qui a imposé les critères « environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance » (ESG) au monde des affaires. Les critères ESG permettent une analyse extra-financière des entreprises, introduisant des dogmes idéologiques qui ont supplanté les principes objectifs de la bonne gestion économique. BlackRock est le symbole de la puissance acquise par les fonds d’investissement qui, sous couvert d’intentions généreuses, cherchent à influencer la politique des États par le biais des entreprises qu’ils financent. Cette conduite remet en question les règles éprouvées d’une économie libérale fondée sur la liberté d’entreprendre et l’actionnariat privé. John Masko, pour UnHerd y voit aussi un danger grandissant pour les principes démocratiques.
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La tribune du Mouvement International Russophile (MIR) : Maria Zakharova, Nikolai Malinov, Steven Seagal et Pierre de Gaulle répondent aux questions des journalistes. France-Soir
Ce mardi 14 mars se tenait à Moscou le Congrès constitutif du Mouvement International Russophile (MIR). En tant que président tout juste élu, le Bulgare Nikolai Malinov a décrit la raison d’être du mouvement : lutter contre la russophobie et lancer un véritable « appel au secours » face aux atteintes dont seraient victimes la Russie et sa population dans le monde. Les représentants de 43 pays et plusieurs personnalités de renommée internationale étaient réunis. Participant à l’évènement, le Français Pierre de Gaulle a pris la parole afin de « défendre l’amitié entre la France et la Russie ». Le petit-fils du Général a aussi évoqué, dans un ton résolument engagé, la nécessité géopolitique de défendre « la sauvegarde d’un monde multipolaire » qui favoriserait « l’entente et la collaboration » entre les nations et les peuples.
Pour un beau coup, c’est un coup de maître que vient de réussir la Russie le 12 mars dernier. Un « home run » comme l’Otan n’en avait jamais vu et, comme nous l’espérons, il en verra encore beaucoup. Il serait temps en effet que les Yankees comprennent qu’ils ne sont plus les maîtres du monde et que les peuples qui ont subi et souffert de leur hégémonie n’en veulent plus. Alors quel plus bel exemple pouvait-on souhaiter pour se libérer du joug de ce camp des nuisibles que de les voir annihilés une bonne fois pour toutes ?
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