
« Heureux les doux, car ils hériteront la terre ».
Matthieu 5:5
Le Grand Remplacement existe. Il est réel. C'est la logique du Capital. Il n'y a pas de motivations raciales, mais des motivations économiques. Il ne s'agit pas d'une conspiration juive, musulmane, maçonnique, ni de quoi que ce soit de ce genre, mais de quelque chose d'aussi simple que la traite des esclaves vers la grande métropole qu'est l'Europe. Naturellement, ces esclaves ne sont pas comme les Européens : ils ne pensent ni aux vacances ni aux syndicats, mais plutôt à améliorer leur vie et à fonder une famille. Les Européens n'ont pas assez d'enfants et ne veulent pas renoncer à certains acquis sociaux, le remplacement est donc peut-être inévitable. La seule solution à court terme : la fermeture des frontières.
Lire la suite : Le grand remplacement : réflexions sur un concept polémique par Jordi Garriga

Les ports européens sont de plus en plus actifs quand il s'agit de gérer la transition des scénarios internationaux, et par conséquent de leurs activités économiques, vers une phase plus complexe et chaotique, marquée par une incertitude accrue sur le plan géopolitique et une nouvelle importance accordée à la préparation face à de potentielles crises mondiales. En cas de conflit à grande échelle, la logistique portuaire jouerait un rôle déterminant, et les pays européens doivent mobiliser largement leurs infrastructures pour se préparer à toutes éventualités.
Lire la suite : De Rotterdam à Gênes, les ports européens deviennent (aussi) des bases militaires

Un soldat israélien révèle « l’ordre étrange » d’annuler les patrouilles à la frontière de Gaza le 7 octobre. Cette révélation s’ajoute aux preuves suggérant qu’Israël était au courant de l’attaque du Hamas à l’avance, mais l’a néanmoins laissée se produire.
Un soldat israélien a déclaré que lui et ses camarades stationnés dans un avant-poste militaire près de Gaza ont reçu l’ordre de ne pas effectuer leur patrouille matinale habituelle le long de la barrière frontalière le 7 octobre 2023, ont rapporté les médias israéliens le 17 juillet.

Vouloir ruiner la Russie est une idée quasi fatale, a récemment déclaré l’ancien commissaire européen Günter Verheugen (SPD) dans la « Weltwoche » : il critique vivement la politique de l’UE et dénonce la politique de sanctions ainsi que le refus de tout dialogue et de toute diplomatie. Il semble que les Européens soient obsédés par l’idée qu’une attaque russe est une chose décidée depuis belle lurette et que tout ce qui reste à faire, c’est d’augmenter la production d’armements.
L’article ci-dessous a été publié pour la première fois par Deutschlandkurier :

© Académie bulgare des sciences
Une sépulture thrace récemment exhumée en Bulgarie révèle un rituel funéraire complexe, associant ornement royal, cheval sacrifié et symboles héroïques. Ce tombeau, richement équipé, témoigne d’une élite guerrière ancrée dans des pratiques hybrides, entre traditions locales et influences gréco-romaines, à un moment clé des recompositions politiques balkaniques.
Au sud de la Bulgarie, près de Topolovgrad, une équipe de l’Académie bulgare des sciences et de l’Université de Sofia « St. Kliment Ohridski » a mis au jour la tombe intacte d’un guerrier thrace du IIe siècle avant notre ère. Cette découverte, faite lors de fouilles de sauvetage, s’inscrit dans une série de recherches récentes qui éclairent les pratiques funéraires et le statut social des élites thraces à l’époque hellénistique, dans un contexte de transition vers l’influence romaine.
Le défunt, inhumé avec son cheval, des armes, et une parure cérémonielle, révèle des éléments tangibles d’une culture guerrière et aristocratique. En croisant les objets retrouvés, leur symbolique et la configuration des lieux, les archéologues reconstruisent un paysage social marqué par des rituels élaborés et des échanges culturels. Cette tombe, fouillée en 2025, apporte des données rares sur l’organisation hiérarchique thrace à cette période.
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