La commission de contrôle de la campagne électorale a remis en question les chiffres énoncés dans la profession de foi de Marine Le Pen. Pourtant, ces données sont issues du Ministère de l’Intérieur.
Le Rassemblement national dénonce une manœuvre politique pour favoriser Emmanuel Macron.

Après la contamination par la redoutable bactérie Escheria coli, plus connue sous le raccourci E. coli, de cinquante personnes dont quarante-huit enfants et deux adultes, une enquête avait été immédiatement ouverte qui aboutit à la mise en cause des pizzas de marque Fraich’up commercialisées par la société Buitoni, elle-même filiale du géant Nestlé. Le bilan s’avère particulièrement lourd avec deux décès et des dizaines de cas d’insuffisance rénale grave nécessitant une dialyse à vie. Autant de jeunes vies brisées et de conséquences effroyables à endurer jusqu’à leur dernier souffle. Cette infirmité grave fait partie des conséquences les plus courantes de l’infection à l’E. coli.
Lire la suite : Pizzas contaminées : la piste de l’abattage halal

Lire la suite : La guerre de sécession de « A » à « Z » par Alain Sanders
La Chine et l’Inde ont préféré s’abstenir que de condamner l’intervention russe en Ukraine lors du vote au Conseil de sécurité de l’ONU le 2 mars dernier et se refusent même de parler d’invasion.
Si ces deux poids lourds de l’économie mondiale ont le risque de s’attirer les foudres de l’Europe et des États-Unis, c’est qu’ils tiennent visiblement à leurs relations avec la Russie. [...]

Les signaux provenant de la table des négociations, après plusieurs cycles de pourparlers entre l'Ukraine et la Russie, pourraient permettre de progresser et de surmonter la phase d'impasse, avec l'acceptation préalable par l'Ukraine de certaines conditions, mais les États-Unis y ont mis leur veto et leur marionnette Zelensky s'est pliée à leurs directives.
Lire la suite : Le plan américain de guerre en Ukraine implique aussi l'Europe

Entretien avec Gennaro Scala, auteur du livre Per un nuovo socialismo, édité par Luigi Tedeschi
Q : La question se pose aujourd'hui de savoir quelles formes de conflits sociaux pourraient apparaître à la fin de la crise pandémique. À l'ère du capitalisme mondialisé, les anciens protagonistes du conflit, c'est-à-dire les classes sociales, ont disparu. Selon Costanzo Preve, le néolibéralisme est un capitalisme sans classe. La division du travail au XXIe siècle est structurée selon une fonctionnalisation de compétences extrêmement spécialisées aux technologies de production. La classe sociale a disparu en tant que forme d'agrégation unitaire, en tant que groupe homogène identifiable aux intérêts, instances et valeurs représentatives du monde du travail. Le déclin des conflits de classe ne trouve-t-il pas son origine dans le processus « d'économisation des conflits » qui s'est déroulé au 20ème siècle et qui a impliqué l'intégration progressive des classes ouvrières dans le système capitaliste ? La structure élitiste assumée par le capitalisme absolu n'a-t-elle pas également entraîné la disparition de la raison d'être même de la confrontation et du conflit entre les classes sociales ?
Lire la suite : Capitalisme et conflits de classe dans la géopolitique du 21ème siècle
Suite aux attaques de l'extrême gauche notre survie est remise en cause.
Notre site internet : www.lesdeuxcites.fr
Notre adresse physique : 6 grande rue, 54000 Nancy
Sauvez-vous, sauvez-nous !
Le néo libéralisme est la matrice de notre société, tout découle de cette idéologie.
La plupart des discours politiques sont futiles puisque le néo libéralisme gouverne en amont. Tant que des libéraux dirigeront le monde, aucune politique sociale ne sera possible.
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