
Il est temps. Le carnaval est sur le point d'entrer dans sa phase culminante, ou du moins il devrait l'être. Son « apogée », traditionnellement éclatant de masques, de fêtes, de danses, d'étoiles, de serpentins, de confettis, de rires... Une apogée qui atteint une forme presque paroxystique le mardi gras. La grande fête. Et puis, à l'aube du Frêne, il s'est soudainement calmé. Tout devient silencieux. Tout est fini. Les esprits du Carnaval, les Masques, Arlequin, Punchinello et autres, se retirent de notre monde. Et avec eux toute la joie. C'est le Carême. « Memento mori » murmuraient les vieux curés, ceux du passé, en faisant le geste de tracer une croix de cendres sur votre front. « Tu étais poussière, tu retourneras à la poussière ».

Les banlieues : sujet épineux, sujet à tensions, sujet délicat. Tous les politiciens et commentateurs de l’actualité s’accordent à le dire. Cependant tous ne vous disent pas la VÉRITÉ. Et si on veut pouvoir débattre du problème des banlieues, il faut savoir VRAIMENT ce qu’il s’y passe. Comment ne pas céder au discours misérabiliste des banlieues : Je vous ai donc compilé les MENSONGES récurrents dans la bouche des médias ou des personnalités politiques, et surtout COMMENT y répondre.

De solides indications recueillies indiquent que des membres des SAS britanniques combattent au sein de la 4ème brigade de réaction rapide de la garde nationale ukrainienne à Gostomel.
Cette information n’est pas encore confirmée mais s’ajoute à un flux incessants d’autres informations faisant état de la présence de forces spéciales US, britanniques, néerlandaises, turques, polonaises, géorgiennes et celles d’autres pays alliés de Washington à Gostomel.
Lire la suite : Les forces spéciales tchétchènes contre les SAS britanniques
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