les carnets de Nicolas Bonnal.
22 aout 2017
On connait mon souci citoyen et mes préoccupations citoyennes. Aujourd’hui je vais dénoncer à mes lecteurs et concitoyens respectables un des plus préjudiciables philosophes européens, j’ai nommé GWF Hegel !
Le célèbre philosophe prussien, idole de tous nos profs marxistes de philo, écrit dans « la raison dans l’Histoire » les horreurs suivantes :
Lire la suite : LES HORREURS DE CETTE ORDURE DE HEGEL SUR LES AFRICAINS.
4 sept. 2017, 22:02
RT France -
Le parquet de Nice a ouvert une enquête à l'encontre d'un journal gratuit tiré à 5 000 exemplaires et distribué par des commerçants de la ville. La publication vise les défenseurs des migrants de la vallée de La Roya, près de la frontière italienne.
Lire la suite : Nice : un journal gratuit hostile aux militants pro-migrants visé par la justice
Dr A. Ezzat
« Les Dix Commandements auraient dû être écrits en langue égyptienne ancienne, mais ce ne fut pas le cas. Alors, où est le chaînon manquant ? «
Le dieu des Israélites a-t-il délivré les soi-disant Dix Commandements à Moïse par voie orale ou sous forme écrite ? La Bible dit clairement dans plusieurs endroits qu’il a effectivement écrit les Dix Commandements lui-même (avec son propre doigt). Le verset le plus clair à cet égard se trouve dans (Ex 31:18).
Ce qui était si spécial à propos de ces dix commandements, en particulier, c’est qu’ils préconisaient une éthique commune donnée par l’intermédiaire d’une révélation divine alors que l’homme ancien l’avait déjà connu et apprécié – y compris l’idée d’un Dieu suprême, par le biais de l’évolution sociale. (En gros cette révélation divine était inutile)
Lire la suite : Dans quelle langue Dieu a-t-il écrit les 10 Commandements ?
Nicolas Bonnal.
C’est Orlov qui parle de race mourante à propos des blancs américains. Mais nos nations se crèvent, comme disait Flaubert.
Dans un de ses meilleurs textes, notre ami blogueur italien Maurizio Blondet – qui reprend certains de nos textes, à Philippe Grasset et moi-même – pourfend ses compatriotes mélomanes. Ils ont été 220 000 italiens ou plus en juillet à affronter intempéries, vie chère et conditions difficiles pour aller écouter un vieux rockeur dont je ne savais rien, moi qui enfant écoutais Canzonissima en Tunisie (on avait la Rai) ! Vasco quelque chose…. Rossi, oui le rebelle de façade, la star de pacotille qui aura joué toute sa vie, comme tous les sportifs ou presque, le rôle de dérivatif au troupeau fatigué des masses postmodernes, jadis décrites par Gustave Le Bon ou Joé Ortega Y Gasset. Ce n’est plus la « masse et puissance » du grand Elias Canetti, c’est masse et impuissance.
Lire la suite : Maurizio Blondet et le suicide spirituel européen.
Le dernier ouvrage de Régis Debray , « Civilsation » sous-titré comment nous sommes devenus américains, est un livre érudit, avec de délicieuses pointes d’humour, qui poursuit une réflexion de Simone Weill de 1943 selon laquelle une américanisation de l’Europe ferait perdre son passé à l’humanité, et une interrogation de Paul Valéry, de 1939 : « Je me demande si l’Europe ne finira pas par une démence ou un ramollissement ».
Par Dmitry Orlov – août 2017 – Source Club Orlov
Lorsque, au milieu d’une partie de cartes, vous vous rendez compte que vous êtes sur le point de perdre votre ferme, votre chemise et votre premier-né, vous pouvez décider d’opter pour l’option nucléaire : renverser la table en attrapant votre revolver. Les résultats peuvent varier, mais ils sont nettement préférables à celui qui est prévisible si vous ne faites rien : l’extrême humiliation et la pauvreté. Vous pourriez être trop lent et mourir d’une mort douloureuse mais rapide, criblé de balles. Vous pourriez être le plus rapide et tuer ou désarmer vos adversaires. Ou vos adversaires risquent de courir vers les sorties, et vous permettre de ramasser le pognon sur la table. Le premier de ces résultats peut sembler le moins attractif ; mais en supposant que vous vous pensiez bien armé et rapide à dégainer et que vos adversaires sont des lâches, vous pourrez peut-être vous persuader que c’est votre meilleur option. En ce qui concerne les pires scénarios, une possibilité est que vos ennemis vont vous désarmer avant que vous ayez eu une chance de tirer, vous coller un pruneau dans le ventre, prendre votre argent, se rire de vous, vous enfermer dans une cave et vous laisser mourir lentement.
De defensa : 16 août 2017 –
... Au fait, qui était Robert E. Lee, ce « salopard fasciste » dont on abat dans la plus extrême jubilation les statues encore en service dans certains État du Sud, et celle de Charlottesville qui fut la cause hautement progressiste-sociétale de l’attaque des Antifa contre la « crapule nazie » réunie dans cette ville pour menacer l’avenir de la Grande République US ? C’est en effet un des grands mouvements culturels en cours, cette liquidation des symboles du Sud venus de la Guerre de Sécession, bien dans les habitudes des révolutionnaires de notre “déchaînement de la Matière” favori, avec comme première application le néantissement du passé effectué par la Terreur de 1793 dont la France fait une si grande fierté... (*)
Lire la suite : Après Charlottesville, qui était Robert E. Lee ?
Par James Howard Kunstler – Le 7 août 2017 – Source kunstler.com
Le problème, bien sûr, est que même après que l’État profond (c’est-à-dire « Le Marais ») aura réussi à éjecter le président Trump, l’Amérique sera laissée à elle-même – à la dérive entre les souches de cyprès, vidée de spiritualité, d’espoir, de crédibilité et le pire de tout, d’une compréhension collective de la réalité, perdue dans le brouillard de l’effondrement.
Voici ce que vous devez savoir sur ce qui se passe et vers où nous nous dirigeons.
Article tiré de Blanche Europe.
AuteurHaken
Publié le16 Août, 2017
Dans le cadre général de l’apostasie civilisationnelle que réalise le monde occidental, dont la tête de pont est systématiquement le passé qui lui fait mauvaise conscience (savamment (((entretenue))) à cette fin), l’Amérique s’emploie actuellement, suite aux manifestations « fascistes » et antifascistes de la semaine, à effacer la part de son héritage historique qui correspond à la fois à une trace de son existence rétrospectivement vue comme inadmissible, et à la fois à un moment capital de son identité.
Par Pepe Escobar – Le 11 août 2017 – Source sputniknews
Dans le brouillard épais de la guerre – rhétorique – entre Washington et Pyongyang, il est encore possible de détecter un message fascinant sur le mur – allégorique.
On peut supposer que le président Trump utilise la Corée du Nord pour évacuer le récit obsédant, nuit et jour, 24/24, du Russiagate sur les ondes américaines. Cela fonctionne certainement. Après tout, dans le monde vu par l’Exceptionalistan, la perspective de la guerre et de ses récompenses possibles occulte certainement les accusations fumeuses de piratage et d’ingérence électorale russe.
Lire la suite : La Corée du Nord montre que le roi est nu (peut-être).
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