Agnès Delahaye revient aux sources des mythes fondateurs de l’Amérique. Son dernier ouvrage est organisé selon les trois moments fondateurs du peuplement que sont Jamestown, Plymouth, et les puritains de la baie du Massachusetts. Au plus près de l’expérience de ces premiers settlers, on comprend comment et pourquoi ils sont devenus des mythes, au sein d’un récit colonial digne des valeurs de la République et de la nation.
En plongeant dans l’univers des premiers settlers anglais, Agnès Delahaye souhaite revenir aux sources des mythes fondateurs de l’Amérique, dont la réalité est plus complexe et plus nuancée que ce qu’en a retenu l’historiographie américaine et européenne. Son dernier ouvrage est organisé selon les trois moments fondateurs du peuplement que sont Jamestown, avec John Smith, aventurier au service de la couronne britannique, Plymouth, avec les pèlerins du Mayflower, guidés par William Bradford et Edward Winslow, et les puritains de la baie du Massachusetts. Au plus près de l’expérience de ces premiers settlers, on comprend comment et pourquoi ils sont devenus des mythes, au sein d’un récit colonial digne des valeurs de la République et de la nation.
Saint Nicolas est fêté le 6 décembre. Ce saint populaire est à l’origine du personnage du Père Noël.
Saint-Nicolas, Fêtes et traditions populaires d’hier et d’aujourd’hui - Colette MéchinBerger-Levrault, 1978. Colette Méchin est chargée de Recherche CNRS, Cultures et Sociétés en Europe, UMB Université Marc Bloch Strasbourg 2. Dans cette étude ethnologique très précise, Colette Méchin remet en perspective le saint, les cycles alimentaires, le choix du conjoint, les interdits de l’hiver.
Un certain nombre de traditions populaires ayant trait à saint Nicolas trahissent en fait leurs origines païennes. Saint Nicolas, qui chevauche au-dessus des toits, est le dieu païen Wotan [Odin]. C’est aussi le chef de la chasse sauvage au cours de laquelle les âmes des morts rendent visite à la terre.
Donald Trump a choqué les bien-pensants en affirmant qu’un de ses premiers actes politiques serait d’en finir avec « l’imposture de l’hystérie climatique ». On a trouvé ces propos irresponsables et extrémistes. Ils sont pourtant euphémiques, au contraire. La propagande hystérique autour du changement de climat et l’ensemble des politiques dites « climatiques » préconisées par l’ONU et les COP, visant à produire et consommer « décarboné », ne sont pas seulement une imposture, elles sont pires : un crime, contre la terre, contre l’environnement, contre l’humanité. Un crime économique, sanitaire et humain. C’est ce qui apparaît clairement dans la partie du rapport d’experts déposé au procès Shell contre Milieudefensie et alii qui répond à la question :
Lire la suite : L’hystérie climatique n’est pas une imposture, c’est un crime !
Le gauchisme est une pathologie. Un cancer. Une idéologie totalitaire déguisée en humanisme. Depuis des décennies, cette minorité bruyante, arrogante et doctrinaire a infiltré et asservi la France. Leur terrain de jeu ? L’éducation nationale, les associations subventionnées, les syndicats parasitaires et toutes les institutions qui forgent les esprits et modèlent les consciences. Leur méthode ? Une rééducation morale et intellectuelle de masse, financée par l’argent public, imposée par la menace et soutenue par leur contrôle des médias, des universités, et des cercles culturels.
En plus de Gaza, de la Cisjordanie et du Liban, Israël semble maintenant avoir également jeté son dévolu sur un conflit larvé avec la Syrie, construisant des développements urbains dans une zone tampon critique entre les deux pays en violation d’un précédent accord de cessez-le-feu et suscitant des craintes d’une nouvelle escalade du conflit dans la région.
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