bnbol47125mdssez320

 

Willis Eschenbach, un programmeur chevronné, a mené une analyse complète des modélisations qui servent à soutenir cette fumeuse théorie. Dans sa publication — Climate Models and Climate Muddles, paru dans NZW — il souligne que ces modèles sont fondamentalement défectueux. Il suffit d’ailleurs d’examiner les nombreux antécédents de prédictions inexactes, infructueuses et erronées que ces modèles ont générés. « Leur utilisation est d’ajouter une fausse légitimité aux craintes irréalistes du programmeur », souligne-t-il, car les programmes sont bâtis sur la base de l’hypothèse que le CO2 régule la température. Il n’est donc pas étonnant que tous les résultats qui en découlent s’alignent en conséquence !

En outre, Eschenbach explique que : « Les programmes sont des modèles itératifs, ce qui signifie que la sortie d’un pas de temps est utilisée comme entrée pour le suivant. En conséquence, toutes les erreurs sont reportées, ce qui permet aisément aux modèles de transformer la Terre en boule de feu ». En bref, les erreurs d’un programme sont intégrées dans le programme suivant, le rendant faux dès le départ et, évidence criante, aggravent les écarts avec la réalité. Si l’on en croit ces programmes, qui ne sont pas basés sur la physique, l’eau ne gèle plus et on a une formation négative de nuages (il peut y avoir –5 nuages dans le ciel) ! Eschenbach pointe du doigt la NASA, goulaguisée mentalement, qui accepte allègrement ces inepties afin d’arriver aux résultats voulus par le GIEC.

(Daily Sceptic, Net Zero Watch (NZW), Newstarget)

 e
 
 
3 fonctions
We use cookies

Nous utilisons des cookies sur notre site web. Certains d’entre eux sont essentiels au fonctionnement du site et d’autres nous aident à améliorer ce site et l’expérience utilisateur (cookies traceurs). Vous pouvez décider vous-même si vous autorisez ou non ces cookies. Merci de noter que, si vous les rejetez, vous risquez de ne pas pouvoir utiliser l’ensemble des fonctionnalités du site.