Etre Paîen
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Documentaire sous forme de voyage avec le druide Jean-Claude Cappelli, de la forêt de Huelgoat et des monts d’Arrée (Finistère), jusqu’au mont Beuvray et la cité de Bibracte (Morvan).
Qu’est-ce qu’être druide aujourd’hui? Qui étaient les druides antiques? Comment ces « très savants » concevaient le divin, l’univers, la conscience, la vie, la mort? Quel était le sens de l’arbre, de la forêt, des constellations, pour ces « rois du panorama »? Quels étaient les fêtes, les rituels, les initiations, de ces « philosophes chez les barbares » ?
En quoi consiste cette quête de mémoire propre aux néodruides? À quels écrits, témoignages, ou études se fier? Quelles traces des celtes et des gaulois trouve-t-on encore de nos jours? En quel sens peut-on dire qu’ils étaient, oui ou non, nos ancêtres? Comment procéder lorsqu’on se sent « appelé » par le druidisme?
Toutes ces questions et bien plus encore posées au cours de cette aventure en compagnie de « Celui du Pays de l’Ours ».
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Suite à l'affaire du Capitole et de la réduction du valknutr à un insigne "nazi", il est temps de prendre un peu de hauteur et d'analyser les causes profondes d'un phénomène déjà ancien. Peu importe ce qu'on en pense, les médias et politiques ont des projets qui font de tout païen, asatruarmen en première ligne, un ennemi. Pourquoi ? Comment ? Y a t'il un moyen d'y échapper ? Voici quelques informations et pistes de réflexions.
Lien nécessaire (et obligatoire) : https://www.youtube.com/watch?v=u54cA...
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Guillaume Faye nous parle ici de la façon dont il incarnait son paganisme. Entre vitalisme et culte de la puissance.
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II est bien connu que le vainqueur d'une guerre n’est pas celui qui gagne le plus de batailles, mais celui qui gagne la dernière.
Le choix de la stratégie comme le moral des troupes dépendent donc de la vision des limites historiques d'une guerre, c'est-à-dire de son réel commencement et de sa réelle issue.
Nous sommes engagés dans un combat millénaire qui débute avec la fuite hors d'Egypte et les commandements du Sinaï pour se terminer en l'an X... avec Siegfried tuant le dragon, ou le dragon tuant Siegfried. Si nous ne nous situons pas dans cette vision d'un combat millénaire, nous nous plaçons au-dessous des Sages de Sion et du Vatican et nous sommes alors déjà des vaincus.
Il n'y a là aucune allusion à une nécessité génocidaire. On ne saurait trop le répéter : la loi de Moïse n'a triomphé chez les juifs qu'au prix des plus sauvages persécutions. Les juifs ont été les premières victimes de cette maladie du désert dans laquelle ils ont fini par voir leur unique voie de salut. Il ne s'agit donc pas de démoniser une race, et encore moins de vouloir la détruire physiquement, mais de tirer au clair les engrenages historiques d'une maladie dont la planète entière est en train de crever.
Je veux d'abord faire une mise en garde aux « traditionnalistes ». Le plus grave défaut du traditionalisme est qu'il n'y a pas, ou plus, de tradition. Tout est à retrouver ; et, sans vouloir décourager aucun effort de recherche, je pense que les meilleurs terrains de restitution ne sont pas les vieux grimoires et les « secrets » chuchotés, mais la biophysique et la psychanalyse. Les mythes sont aussi très éclairants, mais ils sont parfaitement publics et ne relèvent donc pas de la tradition. Il suffit d'être capable d'en comprendre le sens réel ; et là, le meilleur instrument est bien la psychanalyse, non les élucubrations de « rêveurs », bien intentionnés, mais mal avertis.
Si je pousse ici une botte contre les traditionnalistes, c'est pour une raison bien précise, ils sont toujours prêts à se laisser embarquer dans des syncrétismes de pacotille. Un écrivain « traditionnaliste » me faisait remarquer en 69 : « L'opposition entre le monde nordique et le monde juif est dépassée. Notre recherche est exactement la même ». Ceci est complètement faux ! Je l'ai amplement démontré dans mes écrits et ceux qui croient cela s'attellent plus ou moins hypocritement au char rabbinique. Les tutoyeurs de Dieu n'ont rien en commun avec les écrasés par le soleil du désert.
Ni avec l'Islam (= abandon à la volonté divine). Pour nous, héritiers de la piété héroïsante, la volonté divine passe par notre canal intérieur. Nous ne connaissons ni Tables de la Loi, ni Livre Sacré, rien que les pulsions intérieures qui nous approuvent ou nous condamnent. C'est la Loi à la fois la plus vague et la plus sévère, car elle rend impossible toute justification extérieure et toute dérobade à ses commandements. La notion même d'Islam, au sens étymologique du terme, est pour nous dégradante et blasphématoire.
Le Coran contient trois interdits majeurs : la consommation d'alcool (compréhensible dans le contexte climatique, mais non comme interdit majeur), le prêt à intérêt (à peu près aussi respecté que les stationnements interdits en France) et enfin la fornication. Bien que largement violé, ce dernier ne l'est qu'avec les plus sérieuses précautions, car les mœurs et la loi ne plaisantent pas sur ce point. La morale islamique considère la faute cachée comme bien moins grave que la faute publique, parce qu'il n’y a alors pas de mauvais exemple. Mais comment concilier cela avec l'éthique viking et nietzschéenne de l’homme qui ne tient sa loi que de lui-même ?
Alors, que ceux qui se sont laissés piéger se ressaisissent ! Et que se ressaisissent aussi ceux qui considèrent Moïse comme un prophète authentique et pensent que le problème juif est dû à ce que les Juifs ne respectent pas la Loi mosaïque, alors que c'est celle-ci qui a créé le problème juif, le fanatisme, l'intolérance, le génocide anti-cananéen. Moïse fut un imposteur et un mégalomane sanguinaire, bien pire qu'Amin Dada, de nos jours... Ceux qui voudraient forcément trouver un point de convergence avec les Juifs, c'est chez Salomon qu'ils devraient le chercher, non chez Moïse.
Quant au Coran, il contient aussi de nombreux éléments qui relèvent du psychisme du désert. Il est exact que les Musulmans pratiquent la tolérance de fait alliée au fanatisme doctrinal ; mais il y a une bonne raison à cela : seuls les infidèles payent l'impôt. Alors... il faut bien qu'il en reste !
Quand Mohammed avait des doutes sur les origines célestes ou infernales ? de l'ange qui lui rendait visite, son épouse trouva la solution : « La prochaine fois que tu le verras, prends-moi dans tes bras : s'il est de Dieu, il se sauvera ; s'il reste, c'est qu'il est de Shaitân (Satan) ». Peut-on imaginer aveu plus direct de la démonisation de la sexualité ?
Le Coran connaît cinq catégories d'actions : les actions obligatoires, les actions conseillées, les actions neutres, les actions déconseillées, les actions interdites. Voilà du pharisianisme à l'état pur ! Pour nous, Aryens, la valeur d'un acte dépend de ses motivations réelles, non de la catégorie dans laquelle on peut le ranger. Toute classification précise est anti-culturelle et ne peut conduire qu'à un monde de tricherie et d'hypocrisie.
Les turpitudes du monde moderne ne viennent donc pas d'un Evangile ou d'un Coran mal appliqués. Elles ne sont pas non plus identiques à la loi de ces livres, mais elles en sont pourtant le produit inévitable.
Opposons donc un « non » irréconciliable à toutes les religions « révélées », à toutes les doctrines et philosophies du désert. Allions la glace de la conscience parfaitement éveillée à la braise de l'enthousiasme et...
ENROLONS-NOUS POUR LE COMBAT MILLENAIRE !
Quant au contenu positif de ce Combat, il convient de préciser un sérieux point de doctrine. Le fait que la femme ait été, plus que l'homme, victime de la démonisation de la sexualité, le fait que tout le grand ensemble des Vanes (Atlantes nordiques) ait vécu en situation matriarcale avant le grand reflux des Ases vers 1500 avant notre ère, ne signifie nullement qu'il faille rétablir le matriarcat pour retrouver la tradition nordique. Jean MARKALE a raison en invoquant ce matriarcat comme une caractéristique de la société celtique ; mais ce n'est vrai qu'à une époque très décadente. Et ROSENBERG a non moins raison de poser le patriarcat comme signe distinctif des établissements aryens dans la zone méditerranéenne. Son analyse des mythes de Thésée, de Jason et de Bellérophon contre les Amazones, également des mythes de Zeus contre les Danaïdes (puissance insatiable d'engloutissement), d'Oreste et de Clytemnestre est géniale et ne peut être résumée. L'équilibre doré de l’Hellas (pays des hommes clairs) est à égale distance du patriarcat maladif des religions du désert et du matriarcat non moins maladif des cultures hétaïriques. Cet équilibre est proclamé par Pallas et Artémis qui tendent la main aux divinités féminines vaincues par Apollon et Zeus.
Notre combat est avant tout de ne pas laisser perdre le message de ceux qui
nous ont rendu une vision claire de notre nature.
Robert DUN
Sources : Le Devenir Européen – N° 13 – ETE 1980.
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Que peut-il y avoir de si manifeste et de si évident, quand nous avons levé les yeux au ciel et contemplé les corps célestes, que le fait qu’il y a une divinité d’un esprit très remarquable qui les dirige ?
Celui qui en douterait, je ne comprends vraiment pas pourquoi il ne pourrait pas également douter si le soleil existe ou s'il n'existe pas. En quoi en effet cette affirmation est-elle plus évidente que la première?
Si nous n'en avions en nous la connaissance et la perception, la croyance (en dieu) ne demeurerait pas si ferme, ne serait pas confortée avec le temps et elle n'aurait pas pu s’incruster avec les siècles et les générations humaines. En effet nous voyons que les autres croyances inventées et fausses ont disparu avec le temps. Qui, en effet, pense qu’il y a eu un hippocentaure ou une Chimère ? Le temps détruit les croyances fictives et confirme les jugements de la nature.
C’est pourquoi, chez notre peuple et chez les autres, le culte des dieux et les pratiques sacrées augmentent et s'améliorent de jour en jour. Cela se fait non par fantaisie ni par hasard mais parce que les dieux manifestent souvent leur présence.
De natura deorum, II, 2.
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