J’ai toujours eu beaucoup de respect et d’estime pour Roger Holeindre. Il incarnait le meilleur des traditions militaires françaises, aujourd’hui oubliées ou méprisées par ceux qui, y compris au sein d’une soi-disant « droite nationale », n’ont jamais entendu une balle siffler à leurs oreilles et sont incapables de courir cent mètres sans cracher leurs poumons et appeler leur maman.
Roger avait la rugosité, le franc-parler mais aussi la générosité des vrais guerriers. Il a toujours montré, sans mots inutiles, le courage des combattants dignes de ce nom. Il a rejoint le paradis aux portes duquel veillent des anges porteurs d’épée.
Salut à toi Roger.
Pierre Vial